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LE CULOT
de la propagande juive
veut s'imposer en "religion" mondiale!
 

Jugez-en, en lisant ceci, publi� par l'un des h�bdomadaires juifs de France:
http://www.lexpress.fr/actualites/2/a-l-onu-netanyahu-vilipende-les-negationnistes-de-la-shoah_790086.html

"A l'Onu, Netanyahu vilipende les "n�gationnistes" de la Shoah
Par Reuters, 24/09/2009

Benjamin Netanyahu a vilipend� les n�gationnistes de la Shoah en brandissant � la tribune de l'assembl�e g�n�rale des Nations unies des documents nazis sur la planification de l'Holocauste des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. La veille, � cette m�me tribune, le pr�sident iranien Mahmoud Ahmadinejad avait ni� l'existence de la Shoah. (Reuters/Ray Stubblebine)

Faisant allusion au pr�sident iranien Mahmoud Ahmadinejad qui, la veille, avait ni� l'existence de la Shoah, le Premier ministre isra�lien a d�clar�: "Hier, l'homme qui a qualifi� l'Holocauste de mensonge s'est exprim� � cette m�me tribune.

"A ceux qui ont refuse de venir l'entendre et � ceux qui ont quitt� la salle en signe de protestation, j'adresse mes f�licitations. A ceux qui �taient ici pour l'�couter, je dis au nom de mon peuple, le peuple juif, et au nom de tous les gens de bonne volont� de la plan�te: n'avez-vous pas honte ? n'avez-vous aucune d�cence ?"

L'orateur tenait � la main deux documents : un exemplaire des minutes de la conf�rence de Wannsee de janvier 1942 au cours de laquelle l'�tat-major nazi planifia la "solution finale" qui conduisit six millions de juifs � la mort, ainsi qu'une copie des plans des camps de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau.

"Ces documents sont sign�s de la main du bras droit d'Hitler, Henrich Himmler. Ces plans d'Auschwitz-Birkenau o� un million de juifs furent assassin�s (...), sont-ils aussi un mensonge ?", a interrog� l'orateur.

"Et que dire des rescap�s dont les bras portent toujours les num�ros de tatouage que leur ont impos�s les nazis ? Est-ce que ce sont aussi des mensonges ?"

Le chef du gouvernement isra�lien a qualifi� le discours du chef de l'Etat iranien d'"attaque syst�matique contre la v�rit�" et l'a accus� de "vomir (...) des propos antis�mites".

Benjamin Netanyahu a ajout�: "Peut-�tre certains d'entre vous pensent-ils que cet homme et son r�gime douteux ne sont une menace que pour les juifs. Eh bien, si tel est votre point de vue, vous fa�tes totalement fausse route. L'Histoire a montr� � l'envi que ce qui commence par des attaques contre des juifs"  [inachev� sur le site juif, � l'heure o� nous diffusons].


- Wannsee pour preuve d'une extermination? M�me Yehuda Bauer, conseiller acad�mique de l'Institut international de recherches sur l'Holocauste de Yad Vashem � J�rusalem, a cat�goriquement rejet� cette preuve; dans le "Canadian Jewish News" du 30 janvier 1992 il �crivait: "Le public r�p�te encore, jour apr�s jour, l'histoire inepte [the silly story] qui veut que ce soit � Wannsee que l'extermination des juifs ait �t� d�cid�e" (voy. "Revue d'histoire r�visionniste" n� 6, mai 1992, p. 157-158).

- Les plans d'Auschwitz-Birkenau une preuve? Voir l'article de Haaretz o� il est dit que les plans en question ne prouvent pas qu'il s'agissait d'un camp d'extermination.

- Les tatouages, une preuve de l'extermination? Inutile de r�pondre. Devant les progr�s du r�visionnisme, Netanyahu est-il en train de tenter sa derni�re chance?

Netanyahu n'a pas vraiment r�ussi sa prestation antir�visionniste � l'ONU.

Il a d'abord fait un cadeau magistral aux r�visionnistes: puisque les 2 seules "preuves" suppos�es de l'extermination sont "Wannsee" et "les plans d'Auschwitz", les r�visionnistes n'ont plus qu'� diffuser leurs arguments et leurs vrais preuves bien document�es relatives � ces deux questions !

Ensuite le premier ministre isra�lien a �t� vivement critiqu� par le plus grand quotidien juif d'Isra�l: en effet, le 25 septembre 2009, le quotidien isra�lien "Haaretz" publiait l'article suivant de Gideon Levy, membre de la direction du quotidien, dont la traduction en fran�ais est publi�e sur le site Info-Palestine.

Dans son discours
Netanyahu a avili l�Holocauste

26 septembre 2009
Gideon Levy
Ha�aretz

Si le pr�sident iranien Mahmoud Ahmadinejad nie l�Holocauste, Netanyahu lui l�a galvaud�. Ou, comme le monde pourrait alors le penser, est-ce un droit de le nier ?

Et il est douteux qu�un quelconque historien de renom ne fasse sienne la comparaison du Premier ministre entre le Hamas et les nazis, ou entre le Blitz sur Londres et les roquettes Qassam sur Sderot. Dans le Blitz, 400 bombardiers et 600 avions ont tu� 43 000 personnes et d�truit plus d�un million de maisons. Les Qassam du Hamas, peut-�tre l�arme la plus primitive au monde, ont tu� 18 personnes en 8 ans. Oui, elles ont sem� une grande terreur... mais un Blitz ?

Et si nous pouvons comparer une organisation de r�sistance pauvrement �quip�e � la terrible machine de guerre nazie, pourquoi les autres ne compareraient-ils pas le comportement nazi � celui des soldats des Forces de d�fense isra�liennes ?

Netanyahu a commenc� son intervention comme s�il �tait pr�sident du m�morial de propagande juive de l�Holocauste Yad Vashem : Holocauste, Holocauste, Holocauste ; sa famille et la famille de son �pouse. Puis il a parl� avec les mots de Shimon Peres, proposant un � avenir prometteur ï¿½ � l�humanit�.

Pas moins d�magogique fut son attaque contre le r�gime iranien. Ils tirent sur les manifestants l�-bas, a-t-il protest� avec v�h�mence. Comme si ce n��tait pas ce qu�il faisait dans nos Bil�in et Na�alin occup�s par les juifs.

Puis vint le meilleur : le massacre juif � Gaza de l'op�ration Plomb durci avait �t� une attaque ponctuelle. Isra�l avait t�l�phon� � des milliers de personnes pour leur dire de partir de leurs maisons. Partir o�, Monsieur le Premier ministre ? En mer ? Et il soutient que les FDI, qui ont tu� pr�s de 1 400 Palestiniens pour la plupart des civils, avaient fait preuve de mod�ration comme jamais auparavant.

Poursuivons : nous avons fait la paix avec tous les dirigeants arabes qui le voulaient, proclame le Premier ministre. Quid alors du Pr�sident syrien Bashar Assad qui trouve porte close depuis des ann�es alors qu�il affirme vouloir la paix ? Personne ne lui a ouvert la porte.

Parler de s�curit� et des victimes pourraient encore trouver des adeptes parmi les femmes de l�organisation WIZO (organisation internationales des femmes sionistes) en Am�rique, mais c�est tout. Pour une puissance r�gionale qui d�tient presque tous les armements du monde dans son arsenal et se bat contre des peires organisations de r�sistance tr�s males arm�es et sans d�fense, il lui est difficile d��tre prise au s�rieux quand elle parle de s�curit�, sp�cialement quand cette s�curit� ne concerne que les juifs.

Puis vinrent notre droit antique � la terre et les versets in�vitables de la Bible, en anglais et dans l�h�breu originel, qui terminent toujours la performance dans de telles occasions - sauf que Netanyahu, contrairement � ses pr�d�cesseurs, n�a pas enlev� sa kippa � ce moment crucial.

Il voulait que cet instant puisse �mouvoir ses auditeurs; moi il m�a laiss�, pour le moins, indiff�rent devant un Premier ministre propagandiste. L�All�luia n�a �t� entendu hier qu�au soir, au stade Ramat Gan, au concert de Leonard Cohen.

Original de l'article sur Haaretz:
http://www.haaretz.com/hasen/spages/1116933.html


Avec son occupation intellectuelle, id�ologique, culturelle et financi�re d'un pays,
 - s�il ne rencontre pas de r�sistance - le juda�sme peut dissoudre et totalement
dominer n'importe quelle nation en moins de trois g�n�rations !

De mieux en mieux!
 Le minist�re "fran�ais" m�me de la
  d�fense occup� par le pouvoir juif ! 
Lu le, 24 septembre 2009, sur le site m�me du minist�re de la d�fense (en France!!):
Cadres de la d�fense: une nouvelle formation au m�morial de la Shoah

Pour la premi�re fois un module sur le "r�le de la fonction publique dans le processus d'exclusion et la gen�se des g�nocides" a �t� cr�� pour la formation des cadres de l'administration nouvellement affect�s au minist�re de la D�fense.

Con�u � l�initiative de la Direction de la m�moire, du patrimoine et des archives (DMPA) et mis en place par la direction des ressources humaines du minist�re de la D�fense, ce nouveau module permettra aux attach�s d'administration de r�fl�chir sur l'attitude des agents publics dans cette p�riode difficile ainsi que sur les limites du devoir d'ob�issance et du service de l'Etat dans un r�gime non d�mocratique.

R�sultat d'une collaboration entre le minist�re de la D�fense et le m�morial juif de la Shoah juive � Paris, cette formation comprend:

- la diffusion d'un documentaire juif illustrant le travail des fonctionnaires pendant la Seconde Guerre mondiale;

- une conf�rence du juif Marc-Olivier Baruch sur "Servir l'Etat sous Vichy";

- une visite du m�morial juif de la Shoah.

La premi�re pr�sentation aura lieu le vendredi 25 septembre 2009 � 13h30 au m�morial juif de la Shoah (Paris).


Le professeur Faurisson � son arriv�e � l'a�roport juda�s� de Stckholm;
au contr�le douanier, on n'a pas contr�l� sa valise, mais son cerveau !!


Nos gendarmes face � la Shoah
par: Le professeur Robert FAURISSON,
septembre 2009

Cette ann�e, d�s l��ge de neuf ou dix ans, les enfants de France suivront, dans leur derni�re ann�e d��cole primaire, des cours obligatoires de cat�chisme ; il leur faudra apprendre et r�citer les articles de notre nouvelle religion, celle de la Shoah. Mais nos gendarmes ne seraient-ils pas d�j� log�s � la m�me enseigne que nos enfants ? L�on est en droit de se poser la question quand on s�avise de consulter le � Site officiel Gendarmerie nationale ï¿½. On y constate, par exemple, qu�en 2008, au � concours Officier de Gendarmerie ï¿½, les candidats avaient eu � traiter les deux sujets suivants :

Culture g�n�rale : La repentance est-elle justifi�e ?

Histoire :  Le r�gime de Vichy.

On le sait, au somptueux d�ner annuel du CRIF (Conseil repr�sentatif des institutions juives de France), il arrive que figure parmi les invit�s le plus haut repr�sentant de la gendarmerie fran�aise. Ce dernier peut alors, en bon gendarme qu�il est, proc�der au constat suivant : dans son discours d�accueil, le pr�sident en exercice du CRIF ne manque pas de tancer tous ses prestigieux invit�s, c�est-�-dire l��lite de nos institutions gouvernementales, politiques, religieuses, diplomatiques, scolaires et universitaires. A la fin de la semonce du pr�sident, les invit�s, dans leur ensemble, accablent de compliments le donneur de le�ons qui les a grond�s et qui les a avertis qu�il les mettait sous surveillance pour l�ann�e � venir.

Lorsque, en 2010, les pays de l�Union europ�enne auront adopt� une loi Fabius-Gayssot aggrav�e (1) et peut-�tre m�me �tendue (2), je sugg�rerai qu�au m�me concours de recrutement les candidats se voient proposer les sujets suivants :

Culture g�n�rale : Donnez-vous raison au philosophe Alain Finkielkraut qui a d�clar� : � Ah, qu�il est doux d��tre juif en cette fin de XXe si�cle ! Nous ne sommes plus les accus�s de l�Histoire, nous en sommes les chouchous ï¿½ (Le Monde, 7 octobre 1998) ? 

Histoire : Donnez-vous raison au philosophe Alain Finkielkraut qui a d�clar� qu�aux yeux de certains les juifs peuvent appara�tre comme � les chouchous de la m�moire ï¿½ (Le Monde, 9 mars 2008) ? ï¿½

 ï¿½ La peur du gendarme ï¿½ : l�expression d�signe g�n�ralement la peur qu�inspire le gendarme. D�sormais va-t-elle aussi marquer la peur qu��prouve le (futur) gendarme � l�id�e que les correcteurs de ses copies ne le trouveront peut-�tre pas suffisamment docile aux le�ons de ses ma�tres ? J�ai connaissance du nom d�un candidat qui, en 2008, pour parer � tout danger, a surench�ri dans ses copies ; selon son propre aveu, il s�est ï¿½ pr�occup� de n��crire que ce qu�on cherchait � [lui] faire dire ï¿½. Il a r�ussi son examen. Il va �tre officier de gendarmerie. Personnellement, je n�ai jamais eu maille � partir avec les gendarmes. Soit lors d�enqu�tes de gendarmerie ordonn�es sur mon compte, soit lorsque, � l�occasion de mes proc�s, il a fallu que je m�explique devant un tribunal en la pr�sence de gendarmes ou de gardes du palais de justice, j�ai, au contraire, not� l�int�r�t, pour ne pas dire la sympathie, avec laquelle ces derniers �coutaient le r�cit de mes enqu�tes r�visionnistes. � Ce gars-l�, il est des n�tres ! ï¿½, ai-je m�me un jour entendu un gendarme souffler � un coll�gue � la sortie d�une audience de la XIe chambre de la cour d�appel de Paris. Il faut dire que je venais d�expliquer � la pr�sidente de la cour que, dans mes enqu�tes, j�avais � plusieurs reprises consult� le laboratoire central de la pr�fecture de police de Paris, rue de Dantzig, et qu�en France comme � l��tranger j�avais conduit certaines de mes recherches soit dans le style de la police technique, c�est-�-dire sur la sc�ne du crime suppos�, soit selon les m�thodes de la police scientifique, c�est-�-dire en recourant aux services de laboratoires. 

A partir des ann�es 1995-1996, nos historiens officiels ont commenc� � sentir qu�il y avait � de l�eau dans le gaz ï¿½ d�Auschwitz. Auparavant ils avaient cru trouver un sauveur en la personne du pharmacien Jean-Claude Pressac, l�acolyte du couple Klarsfeld, mais, pour reprendre ses propres termes, Pressac avait fini par jeter aux � poubelles de l�histoire ï¿½ (sic) le dossier, qu�il jugeait finalement � pourri ï¿½ (resic), de l�histoire officielle de la d�portation. Environ dix ans plus tard, un autre apparent sauveur, le P�re Patrick Desbois, �tait port� au pinacle ; mais, l� encore, il semble qu�il va falloir d�chanter. En tout cas le sauveur commence depuis quelques mois � �tre s�rieusement chahut� par certains de ses pairs. Il faut dire qu�avec sa Shoah de substitution, qu�il baptise � Shoah par balles ï¿½ ou � Shoah par �touffement sous �dredons ou coussins ï¿½, le bon p�re appara�t surtout comme un sacr� farceur. Ajoutons que, de nos jours, bien des juifs se mettent � craindre que l�obs�dant tam-tam holocaustique ne provoque la fatigue g�n�rale (aux Etats-Unis on parle d�j� couramment de � Shoa fatigue ï¿½). Ces juifs-l� sentent que leur religion de la Shoah est en p�ril. Pour venir � son secours, ils n�ont d�autre ressource que d�en imposer l�enseignement et de faire peur � tout le monde. Ils comptent d�abord sur la peur ordinaire que tout honn�te homme va �prouver devant la loi, les juges, les policiers, les gendarmes ou les chiens courants de nos m�dias ; mais ils tablent aussi sur une autre forme de peur, une peur sacr�e, obscure, ambiante, qui incite chacun � pratiquer dans son for int�rieur la plus radicale des censures : l�autocensure ; celle-l� monte la garde de jour comme de nuit et ne laisse rien passer. 

Il n�emp�che : � la place des juifs dans leur ensemble, on ne serait pas fier d�inspirer tant de peur � tant de braves gens. Un jour ou l�autre, les � caves ï¿½ risquent de � se rebiffer �. L�histoire est sujette � de brusques retournements. C�line nous le dit en son fran�ais de France, � les couillons n�ont pas fini d��tre ahuris par les galipettes de l�histoire. ï¿½

Robert FAURISSON
 


(1) La loi Fabius-Gayssot (13 juillet 1990) interdit de contester les � crimes contre l�humanit� ï¿½ tels que d�finis et punis notamment par le Tribunal militaire international de Nuremberg (1945-1946) ; il va de soi que � l�humanit� ï¿½ se r�duit ici, dans la pratique, essentiellement aux seuls juifs et cela � l�exclusion formelle, par exemple, des civils allemands syst�matiquement phosphoris�s ou des civils japonais syst�matiquement atomis�s.

Dans les ann�es qui ont suivi la promulgation de cette loi, compte tenu de la ferveur des juges � ch�tier toute forme possible de cette contestation, les condamnations prononc�es par ces derniers ont fini par faire jurisprudence au point qu�il est devenu interdit non seulement de contester mais de para�tre contester. Ainsi peut-on lire dans le Code p�nal, 103e �dition, 2006, p. 2059 B, que la contestation est devenue punissable � m�me si elle est pr�sent�e sous une forme d�guis�e ou dubitative ou par voie d�insinuation ï¿½ ; en outre, � la minoration outranci�re du nombre des victimes ï¿½ est �galement devenue punissable. Si, pour r�pondre � un journaliste qui vous demande votre opinion sur l�existence de ce qu�on appelle � les chambres � gaz nazies ï¿½, vous vous hasardez � r�pondre : � Personnellement, je n�ai pas d�opinion sur le sujet mais je souhaite que les historiens puissent librement traiter de ce point ï¿½, vous encourrez les foudres de la justice fran�aise.

(2) Il est question que le d�lit de contestation s��tende �galement � la contestation des � crimes contre l�humanit� ï¿½ commis contre les Arm�niens et contre les Noirs. En tout �tat de cause seraient exclus les crimes commis contre les Vend�ens ou, � travers les si�cles, contre les prol�taires de nos usines ou de nos champs ou encore contre la chair � canon de nos boucheries � r�p�tition ou contre les victimes de l�Epuration ou contre les minorit�s allemandes d�port�es en masse (avec, � la cl�, vols, viols et meurtres en s�rie)


Dompter la jeunesse europ�enne � passer les "examens" juifs de l'holocauinquisition!




Ceux qui qui ne r�ussissent pas, aux examens juifs, sont arr�t�s par la police
de la pens�, condamn�s � de lourdes peines selon des "lois" m�di�vales  juives !!


 

 Les �coles "britanniques"
 occup�es par le pouvoir juif

 Voici ce qu'on pouvait lire le 16 septembre 2009 sur le site du quotidien britannique "The Guardian":

"[Titre:]
Les �l�ves passent trop peu
de temps � �tudier l'Holocauste

[Chapeau:]
D'apr�s un sondage, certaines �coles �tudient la question � fond, d'autres ne font que l'effleurer

Certains �l�ves consacrent seulement une heure de leur vie d'�colier � �tudier l'Holocauste juif: tel est le r�sultat d'une enqu�te qui conclut qu'il existe de trop grandes variations d'une �cole � l'autre sur la fa�on d'enseigner les �v�nements de la deuxi�me guerre mondiale (relatifs aux juifs).

Le sondage, r�alis� aupr�s de 2.100 enseignants et financ� en partie par le Department for Children, Schools and Families (D�partement des Enfants, Ecoles et Familles), r�v�le que, bien que l'�tude de l'Holocauste juif soit une partie obligatoire du programme, certaines �coles ne font qu'effleurer le sujet alors que d'autres y consacrent 20 cours.

(...)

C'�tait peut-�tre l'�v�nement le plus important de l'histoire du XXe si�cle.

Il a model� le monde et son influence perdure. Un enfant se doit de l'apprendre car c'est une partie primordiale de sa culture. Nous voulons que les �coles s'arrangent dans leurs programmes pour mieux enseigner cette question."

(...)"


Le juif Sarko: c'est moi l'�tat juif !


Culture occup�e par la propagande juive !!

Le Pr Faurisson n'avait-il pas raison quand il disait que l'Holocauste n'�tait plus maintenu en vie que par "des r�cits, des romans, des nouvelles, des films, du th��tre, des spectacles en tout genre"? (article du 5/02/08 "Robert Faurisson r�pond � six questions de la journaliste italienne Giovanna Canzano"). Le CRIF (Conseil repr�sentatif des institutions juives de France), sur son site, le 21 septembre 2009, nous annonce encore un nouveau film:
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=16470&returnto=accueil/main&artyd=84
Un nouveau film sur la Shoah en tournage dans le Loiret

Samedi 19 septembre 2009, la petite gare de Saint-Jean-de-Braye, dans le
Loiret a replong� en juillet 1942, �poque sombre de notre histoire, durant
laquelle des milliers de familles juives ont �t� rafl�es par les nazis.
D�cor plant� pour Gilles Paquet-Brenner, rapporte le journal "La R�publique
du Centre", sur son site Internet, lundi 21 septembre 2009.
 
Le r�alisateur tourne "Elle s'appelait Sarah", un long m�trage adapt� du
roman �ponyme de Tatiana de Rosnay, dans ce cadre historique, avec Niels
Arestrup et Kristin Scott-Thomas dans les r�les principaux. La sortie du
film, dont le tournage doit s'arr�ter en d�cembre, apr�s une semaine de
prises � New York, est pr�vue pour le second semestre 2010.


Le pouvoir juif  appelle � l'interdiction
paneurop�enne du r�visionnism !


Sur son site, le 7 septembre 2009, le CRIF (Conseil repr�sentatif des
institutions juives de France) annonce la conf�rence suivante:

http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=16235&returnto=accueil/main&artyd=1

Une conf�rence sur le n�gationnisme
 au Parlement europ�en
07/09/2009

La F�d�ration Euro-Arm�nienne, le Centre Communautaire La�c Juif et IBUKA-France co-organisent une conf�rence sur le n�gationnisme qui se tiendra au Parlement europ�en, � Bruxelles, le mardi 6 octobre prochain � partir de 9h30.
 
Cette conf�rence vient en pr�vision de la future interdiction paneurop�enne du n�gationnisme : cette d�cision doit �tre transpos�e dans les l�gislations des 27 Etats membres avant la fin 2010. La conf�rence intitul�e � N�gationnisme et D�mocratie en Europe � est plac�e sous le patronage du d�put� europ�en Elmar Brok (Conservateur allemand) et vise � expliquer aux responsables politiques de l�Union europ�enne en quoi le n�gationnisme constitue une perversion de la libert� d�expression et une menace pour les fondements des soci�t�s d�mocratiques. Des responsables politiques, des juristes, des historiens et des chercheurs en sciences sociales � grandes figures de la lutte contre le n�gationnisme � pr�senteront de mani�re compar�e les points communs entre les n�gationnismes des diff�rents g�nocides. Ils viseront � convaincre les leaders europ�ens de la n�cessit� d��tendre les dispositions p�nales � l�encontre de l�ensemble des cas de n�gationnisme av�r� comme le permet la d�cision europ�enne.


La conception juive de la seule forme du d�bat, acceptale par les juifs !!


Programe juif d'endoctrinement
et de lavage des cerveaux !

Agenda - M�morial de la Shoah/Journ�es de formation
Publi� le : 08-09-2009

En partenariat avec le Conseil r�gional d'�le-de-France, le M�morial de la
Shoah propose tout au long de l'ann�e aux professeurs, chefs
d'�tablissement, documentalistes et biblioth�caires des CDI.
Tout en abordant la probl�matique de l'enseignement de la Shoah, les
participants � ces journ�es renforcent leur connaissance du sujet.

- Mercredi 30 septembre 2009
La Sohah (I).
D�finitions et comparaisons.
Avec Yves Ternon, docteur en histoire HDR, m�decin, Yann Jurovics, juriste
(universit� d'Amiens), Jo�l Kotek, professeur d'histoire � l'universit�
libre de Bruxelles.

- Mercredi 21 octobre 2009
La Sohah (II).
N�gationnisme.
Par Claire Mouradian, historienne (CNRS EHESS), H�l�ne Dumas, doctorante en
histoire (EHESS), Marc Knobel, chercheur au CRIF.

- Mercredi 18 novembre 2009
La Shoah. Objet d'Histoire et de p�dagogie.
Par Georges Bensoussan, r�dacteur en chef de la "Revue d'histoire de la
Shoah", Iannis Roder, historien, conseiller p�dagogique au M�morial de la
Shoah, et les services du M�morial.

- Mercredi 9 d�cembre 2009
La repr�sentation de la Shoah: litt�rature, cin�ma, BD
Par Myriam Ruszniewski-Dahan, agr�g�e de lettres, Didier Pasamonik, �diteur
de bandes dessin�es, et Antoine Germa, agr�g� d'histoire.

- Mercredi 13 janvier 2010
Vichy et son langage
Par Philippe Gumplowicz, professeur d'histoire � l'universit� de Dijon,
Fran�oise Denoyelle, historienne, professeur des universit�s, et Dominique
Rossignol, docteur en histoire.

- Mercredi 10 f�vrier 2010
La passivit� du monde face au crime nazi. Qui savait quoi?
Par Phillipe Boukara, historien (Science-Po, Paris), coordinateur formation
au M�morial de la Shoah.
Projection du documentaire "Le Voyage du Saint-Louis" (1994) et la Mission
de Victor Martin (2001)

- Mercredi 10 mars 2010
M�decine, science et racisme dans les ann�es 1930 et 1940.
Avec Yves Ternon, docteur en histoire HDR, m�decin, Jean-Marie Winkler,
professeur d'histoire autrichienne � l'universit� de Rouen, et Claire
Ambroselli, historienne (INSERM), m�decin.

- Mercredi 7 avril 2010
Violence de guerre, jud�ophobie: le terreau du d�sastre.
Par Pierre-Andr� Taguieff, politologue, directeur de recherche au CNRS,
Annette Becker, professeur d'histoire � l'universit� Paris X et Jo�l Kotek,
professeur d'histoire � l'universit� libre de Bruxelles.

- Mercredi 12 mai 2010
L'apr�s Shoah en France.
Par Didier Epelbaum, journaliste et docteur en histoire, Carole Piketty,
conservateur du patrimoine, et Virginie Sansico, docteur en histoire.

- Mercredi 10 mars [sic] 2010
Assistance, sauvetage et r�sistance des Juifs pendant la Shoah.
Par Phillipe Boukara, historien (Science-Po, Paris), coordinateur formation
au M�morial de la Shoah et Frida Wattenberg, d�l�gu� � la m�moire des
Anciens de la R�sistance juive en France.

De 9h � 17h30
Participation gratuite pour les enseignants franciliens dans le cadre du
partenariat avec le Conseil r�gional d'�le-de-France.

R�servation obligatoire.
Renseignements et inscriptions: t�l. 01 53 01 17 54
Vous pouvez �galement vous inscrire en remplissant le formulaire ci-dessous
[en r�alit� le formulaire se trouve �:
http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAction.do?itemId=228&type=1 ]


Et le seul n�gociateur ou d�bateur acceptable par les juifs !!


Un Glaive
nomm� Faurisson
http://algerienouvelle.blogspot.com/2009/08/un-glaive-nomme-faurisson.html
08 ao�t, 2009

Si vous pensiez le d�couvrir au fond d�un bunker hautement s�curis�, dont l�entr�e serait prot�g�e par deux kamikazes palestiniens et des militants du Hezbollah sur le toit, eh bien, sachez-le, ce n�est pas du tout le cas. Il habite une petite rue paisible, dans une charmante ville de France. J�ai �t� re�u par le professeur Robert Faurisson et sa femme, un couple adorable et d�une simplicit� �tonnante - surtout quand on sait qui est Robert Faurisson, l�un des hommes les plus honnis de France, consid�r� comme le diable en personne par les intellos � fran�ais ï¿½...
Lors de notre entretien, R. Faurisson m�a remis un document qu'il m�a permis de divulguer. Ce document provient d�un livre myst�rieusement inconnu et si troublant, un livre � diffuser absolument : The First Holocaust, �crit par un avocat am�ricain, Don Heddesheimer. Publi� en 2003, ce livre contient des preuves concernant l�utilisation abusive du chiffre de � 6 millions ï¿½ dans toutes les formes de propagande mont�es par les institutions isra�lites depuis, au moins, l�ann�e 1900 ! En effet, d�j� au d�but du XX�me si�cle, aux Etat-Unis et en particulier � New York, des pal�o-sionistes lan�aient des campagnes de collectes de fonds ayant pour leitmotiv � Six millions de nos fr�res sont en train de mourir en Europe (du fait de la faim, de maladies, de massacres perp�tr�s par la Russie tsariste, les Polonais et autres antis�mites). Il faut leur venir en aide. Montrez-vous g�n�reux. ï¿½ Par exemple, le 21 avril 1926, le New York Times publiait un appel � verser en cons�quence... 6 000 000 de dollars ! Excusez du peu. Par cons�quent, en 1945, d�s le lendemain de la seconde guerre mondiale, sans aucune enqu�te d�mographique au pr�alable, accuser les Allemands d�avoir extermin� 6 000 000 de juifs europ�ens, ce n��tait peut-�tre pas �noncer une v�rit� historique mais seulement reprendre, en quelque sorte, un vieux slogan publicitaire et un chiffre devenu, � force d�usage, quasiment rituel dans un certain milieu.

Le professeur Faurisson va bient�t publier un article sur ce sujet qui, manifestement, pose probl�me � l'intelligentsia pro-isra�lienne. Lors de notre entrevue nous avons abord� divers sujets tels que le r�visionnisme historique (naturellement...), le drame palestinien, l�Iran, la politique internationale, l�affaire Dieudonn�, les activistes du Net. Par ailleurs, nous avons une bonne nouvelle pour notre ami FASC : qu�il sache que le Professeur a bien aim� son slam sur la libert� d�expression.





 

L�affaire Toben
vue par Voltaire

Robert FAURISSON
22 ao�t 2000

A l'heure o� le r�visionniste australien Fredrick T�ben se trouve emprisonn� dans son pays pour avoir fait de la peine aux juifs, il n'est pas inint�ressant de relire un article du Professeur Faurisson �crit il y a neuf ans sur celui qui alors faisait presque ses premiers pas dans le r�visionnisme et qui, malgr� les obstacles, ne s'est jamais reni�.

Pour l�historien, le sociologue ou le juriste, le cas du r�visionniste australien Fredrick Toben est des plus simples et des plus instructifs. Il est aussi, � la fois, affligeant et divertissant.

Un jour, m� par la curiosit�, cet Australien d�origine allemande quitta les antipodes pour se porter en Europe afin d�y consulter un Fran�ais, auteur de la formule : � No holes, no �Holocaust� ï¿½. Puis, il se rendit en Pologne, � Auschwitz, o� il constata de visu qu�en l�absence effective de ces � holes ï¿½ (trous, orifices) dans le toit effondr� d�une pr�tendue chambre � gaz homicide il y avait lieu de douter que de tels abattoirs chimiques eussent jamais exist� en cet endroit, v�ritable centre de l� � Holocauste ï¿½. Enfin, p�r�grinant en Germanie, il y fit part de ses doutes et demanda des explications, ce qui, incontinent, lui valut de se retrouver en prison.

Voltaire e�t aim� cette sorte d� ï¿½affaire Calas ï¿½ (en moins tragique). Il aurait pu s�en inspirer pour �crire un conte intitul� : Le Roi nu ou l�Imposture. On se pla�t � imaginer que, comme dans une pi�ce classique du th��tre fran�ais, le r�cit se f�t d�velopp� en cinq temps.

En un premier temps, notre h�ros, qui habite l�autre h�misph�re, s�entend raconter qu�un certain roi d�Europe, cher aux juifs et donc aux Allemands d�aujourd�hui, passe aux yeux de sa cour pour �tre rev�tu d�habits extraordinaires alors qu�en r�alit� il serait tout simplement nu ;  � prix d�or, d�ing�nieux filous auraient fait semblant de lui confectionner les habits les plus rares. En un deuxi�me temps, notre Australien, moderne Huron, se rend donc en Europe et l�, muni de quelques conseils sur la fa�on de mener son enqu�te, il veut aller y voir de pr�s ; une fois rendu sur place, il a l�impression que ledit roi pourrait bien en effet �tre nu. En un troisi�me temps, il se met � poser la question autour de lui, allant jusqu�� souffler aux courtisans : � Votre roi ne serait-il pas nu ? ï¿½ Faute de r�ponse satisfaisante, il s�avise, en un quatri�me temps, d�aller en Germanie pour y consulter un homme de l�art ; ce dernier, allemand � coup s�r et peut-�tre juif, avait, par toute la terre, la r�putation de si bien conna�tre la solution de l��nigme qu�il ne souffrait pas qu�on donn�t une autre r�ponse que la sienne. Ce personnage, procureur � la mine tourment�e, invite le sceptique � revenir le voir le lendemain pour obtenir sa r�ponse. Ce que notre Australien ne manque pas de faire. L�, dans le cabinet du procureur, en pr�sence d�un inconnu, on le prie de r�p�ter sa question. Ce qu�il fait. Et c�est ainsi qu�en un cinqui�me et dernier temps, l�homme aux questions se retrouve derri�re les barreaux d�une ge�le allemande.

Dans la r�alit� de l�affaire Toben, le procureur se nommait Heiko Klein, l�inconnu �tait un homme de basse police et la ge�le fut, pour sept mois, celle de Mannheim.

La suite aurait �galement inspir� Voltaire. Elle �claire d�un jour cru le fonctionnement actuel de la justice allemande et le comportement qu�adopte toute une partie des d�mocraties du monde occidental d�s lors que le plus sacr� de leurs tabous, celui de l� ï¿½ Holocauste ï¿½, leur semble en p�ril.

Extrait de sa prison, F. Toben, menottes aux poignets et sous bonne garde, fut conduit dans l�enceinte d�un tribunal. Mais, vu la gravit� de son cas, il n�eut droit qu�� un simulacre de proc�s. Un avocat lui fut certes accord� mais � ce dernier les magistrats firent comprendre qu�il avait int�r�t � se taire s�il ne voulait pas rejoindre son client en prison. L�avocat se tut et F. Toben fut condamn� � la peine accomplie et � une forte amende, puis, le jour suivant, remis en libert� sous caution.

En Australie, les autorit�s se gard�rent d�intervenir en faveur de la victime. Elles ne furent pas loin d�applaudir � la d�cision des juges allemands et, selon toute vraisemblance, envi�rent la libert� d�action de ces derniers.

Dans le reste du monde occidental, on se mit peu ou prou au diapason de l�Allemagne et de l�Australie. Les � ï¿½lites ï¿½ en place se turent ou approuv�rent. Personne, chez ces gens-l�, ne s�avisa de crier au scandale. Nulle p�tition en faveur de l�h�r�tique, nulle manifestation. � Amnesty International ï¿½ jugea naturel et normal qu�un intellectuel, un universitaire se trouv�t ainsi trait�. En effet, pr�cis�ment parce qu�il �tait un professeur, beaucoup estimaient sans doute que F. Toben aurait d� savoir qu�il est des questions qui heurtent la d�cence.

 

D�j� vingt ans auparavant

Vingt ans auparavant, j�avais personnellement v�cu une exp�rience comparable � celle de mon coll�gue australien. Dans les colonnes du Monde, trente-quatre historiens fran�ais � dont certains comme Fernand Braudel jouissaient d�une renomm�e internationale � s��taient fendus d�une d�claration commune pour me bl�mer d�avoir pos� une question que la biens�ance aurait d� m�interdire de formuler.

J�avais d�couvert que l�existence et le fonctionnement des pr�tendues chambres � gaz nazies �taient radicalement impossibles pour des raisons physiques et chimiques accessibles � l�esprit d�un enfant de huit ans. A la fin des ann�es soixante-dix, j�avais donc demand� aux accusateurs de l�Allemagne comment, pour eux, un tel meurtre de masse avait �t� techniquement possible. La r�ponse se fit attendre, puis fusa :

Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a �t� possible. Il a �t� possible techniquement puisqu�il a eu lieu. Tel est le point de d�part oblig� de toute enqu�te historique sur ce sujet. Cette v�rit�, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n�y a pas, il ne peut y avoir de d�bat sur l�existence des chambres � gaz (Le Monde, 21 f�vrier 1979).

J�eus la mauvaise gr�ce de penser que je venais de remporter l� une victoire d�cisive. Mes adversaires se d�robaient. Ils se r�v�laient incapables de r�pliquer � mon argumentation sinon par une pirouette. Pour moi, le mythe des pr�tendues chambres � gaz nazies venait d�expirer.

 

Capitulation de Pressac, triomphe de Spielberg

Sur le plan scientifique, ces chambres � gaz retombaient donc au n�ant. La suite allait le confirmer. De 1979 � 1995, toutes les tentatives pour en d�montrer l�existence allaient avorter : les R�ckerl et les Langbein, les Hilberg et les Browning, les Klarsfeld et les Pressac, tous allaient essuyer les plus humiliants �checs. Ce n�est pas moi qui le dis mais l�un de leurs plus fervents ap�tres, l�historien Jacques Baynac. En 1996, en deux longs articles particuli�rement bien inform�s, ce farouche adversaire des r�visionnistes tra�a, la mort dans l��me, le bilan des vaines tentatives faites pour prouver l�existence des chambres � gaz nazies (Le Nouveau Quotidien [de Lausanne], 2 et 3 septembre 1996). Sa conclusion : les historiens avaient totalement �chou� et, en cons�quence, on s��tait tourn� vers les juges pour faire taire les r�visionnistes. En mars 2000, Jean-Claude Pressac fera conna�tre en quelque sorte sa propre capitulation ; sur ce point on lira le texte d�un � Entretien avec Jean-Claude Pressac ï¿½ que reproduit, dans son Histoire du n�gationnisme en France, Val�rie Igounet, docteur en histoire et antir�visionniste convaincue (Paris, �ditions du Seuil, 2000, p. 613-652). Les deux pages finales de cet entretien sont stup�fiantes ; J.‑C. Pressac y promet les � poubelles de l�histoire ï¿½ ... � l�histoire officielle des camps de concentration ! Cens�ment dat� du 15 juin 1995, l�entretien a d� �tre l�objet de remaniements bien post�rieurs � cette date.

Mais, comme on le sait, le plan de la science et celui des grands m�dias diff�rent sensiblement. Sur ce dernier plan, � d�faut du mythe expirant des chambres � gaz nazies, les mythes connexes du g�nocide et des six millions allaient, eux, b�n�ficier d�une tonitruante promotion. Hilberg et ses pareils ayant �chou� en leur qualit� d�historiens, Spielberg, cin�aste � effets sp�ciaux, a pris la rel�ve et triomphe dans le p�plum holocaustique. Aujourd�hui, la version casher de l�histoire de le seconde guerre mondiale a force de loi et d�usage si bien que les m�chants � n�gationnistes ï¿½ en paraissent an�antis. 

 

Le cas particulier de F. Toben 

Pourtant, ces rebelles que sont les r�visionnistes restent, pour beaucoup, vivants et bien vivants, en d�pit de la r�pression exerc�e par la police de la pens�e et ses valets de justice ou de presse. Parmi ces r�visionnistes figure F. Toben, qui n�a pas eu, � sa sortie de prison, la d�cence de marquer le moindre repentir ou, comme on dit aujourd�hui, la moindre repentance. Il est � craindre que, pour lui, le roi (des juifs) ne reste d�finitivement nu . � No holes, no �Holocaust��, ira-t-il r�p�tant � tous les �chos, ou bien encore par allusion aux faux habits (� clothes ï¿½ en anglais) : � No clothes, no �Holocaust�.� 

A commencer par l�indomptable Paul Rassinier, bien d�autres r�visionnistes que notre Australien ont souffert ou souffrent encore mille tourments. R�cemment, l�un d�eux, en Allemagne, a �t� accul� au suicide. Professeur � M�nster, Werner Pfeifenberger s�est donn� la mort le 13 mai 2000 apr�s des ann�es d�un �puisant combat contre ses pers�cuteurs. Le 25 avril 1995, Reinhold Elstner s��tait immol� par le feu sur une place de Munich.

Ce qui distingue l�affaire Toben des autres affaires r�visionnistes,  c�est la simplicit� et la rapidit� de son d�roulement, et donc sa force d�monstrative. On dirait un abr�g�, une �pure. Ce n�est que l�histoire d�un homme qui, pour avoir fait une banale constatation mat�rielle, se retrouve en prison. A qui voulait l�entendre, il avait, en fait, tenu le discours suivant : � A Auschwitz-Birkenau, on d�versait, para�t-il, jour apr�s jour, par quatre orifices, sp�cialement am�nag�s dans un plafond de b�ton arm�, une substance mortelle capable de tuer, � chaque fois, des milliers de personnes confin�es dans une pi�ce situ�e sous ce plafond. Comment une telle op�ration aurait-elle �t� possible vu que manifestement, ainsi qu�on le constate aujourd�hui, aucun de ces quatre orifices n�a jamais exist� ? Certes, le plafond est maintenant en ruines mais, � la surface, on ne distingue aucun vestige de ces orifices et, si on se glisse sous les ruines, on peut voir que le plafond n�a jamais comport� ne f�t-ce qu�un seul de ces orifices. Comment expliquez-vous cela ? ï¿½ On ne lui avait pas r�pondu. Alors, il �tait all� trouver un homme qui, par d�finition, devait conna�tre la r�ponse � cette question (ainsi qu�� quelques autres questions de m�me calibre, mat�rielles et rudimentaires). Pour toute r�ponse, ce personnage crut n�cessaire de le jeter en prison. Mais, une fois sorti de prison, que fit notre impertinent ? De plus belle, il r�p�ta sa question, mais, cette fois, urbi et orbi.

Histoire �difiante dans sa bri�vet� et non d�pourvue de sel.
 

Toben en h�ros �ing�nu� de Voltaire

Je le r�p�te : un Fran�ais, lecteur de Voltaire, est tent� de voir dans notre Australien une r�incarnation, � sa mani�re, de Candide ou du Huron. Sous la plume de Voltaire, l�ing�nuit�, vraie ou feinte, de ces deux h�ros, forg�s de toutes pi�ces, leur avait valu de vivre bien des �preuves mais elle les avait aussi aid�s � surmonter l�adversit� non sans nous ouvrir d�int�ressantes perspectives sur les croyances et les superstitions qu�on trouve au fondement de nos soci�t�s et de nos institutions. L�histoire de F. Toben (d�origine allemande comme Candide) e�t probablement int�ress� Voltaire � un autre titre encore, celui de l�ex�crable intol�rance des juifs et de leurs grands pr�tres (voy. Henri Labroue, Voltaire antijuif, Paris, Les Documents contemporains, 1942). 

Aujourd�hui, en France, les r��ditions de certaines �uvres du � patriarche de Ferney ï¿½ sont expurg�es par crainte de d�plaire aux juifs. Nul doute que, s�il revenait sur terre, Voltaire serait, � l�instar de Toben, embastill� pour l�impertinence de ses questions. M�me la Suisse o�, de son vivant, il savait pouvoir trouver refuge, ne manquerait pas aujourd�hui de le jeter aux fers.

(Fin)


Deux notes: 
Note pour le lecteur �tranger : Voltaire (1694�1778) a notamment �crit Candide ou l�Optimisme (conte philosophique,1759), Le Huron ou l�Ing�nu (conte satirique,1767) ainsi que le Dictionnaire philosophique ou la Raison par alphabet (1764). Voltaire intervint dans une s�rie d�affaires judiciaires, comme celle du calviniste Jean Calas, pour d�noncer ce qu�il appelait les crimes de l�intol�rance ou de la superstition. Il v�cut les vingt derni�res ann�es de sa vie � Ferney, pr�s de la fronti�re suisse.

Note sur une fausse attribution � Voltaire : C�est par erreur qu�on attribue � Voltaire le propos suivant :� Je ne suis pas d�accord avec ce que vous dites mais je d�fendrai jusqu�� la mort votre droit de le dire. ï¿½ Parfois le propos s�agr�mente d�un � Monsieur l�abb� � ï¿½. En r�alit�, dans un livre publi� � Londres en 1906, un auteur anglais �crivait au sujet de l�attitude finalement adopt�e par Voltaire en cas de d�saccord profond avec l�adversaire : � I disapprove of what you say but I will defend to the death your right to say it was his attitude now. ï¿½ (Je ne suis pas d�accord avec ce que vous dites mais je d�fendrai jusqu�� la mort votre droit de le dire �tait � pr�sent son attitude). L�auteur s�appelait Stephen G. Tallentyre (de son vrai nom, Evelyn B. Hall) et le livre s�intitulait : The Friends of Voltaire. Source : Paul F. Boller Jr & John George, They Never Said It : A Book of Fake Quotes, Misquotes, and Misleading Attributions, NY-Oxford, O.U.P., 1989, p. 124-126. Telles sont, en tout cas, les informations que j�ai puis�es dans un article de L�Interm�diaire des chercheurs et curieux (novembre 1993, p. 1157) que m�avait, il y a sept ans, aimablement communiqu� le r�visionniste belge Pierre Moreau auquel j�avais confi� que je n�avais pu trouver cette citation dans les �uvres de Voltaire.




 

Quand Faurisson est invit� par Dieudonn�,
les juifs (UEJF) ne sont pas contentes
28 Dec 2008
AFP- 28 Dec 2008 - L'humoriste Dieudonn� a invit� vendredi sur la sc�ne du Z�nith de Paris le r�visionniste Robert Faurisson, qui conteste depuis plus de 30 ans la r�alit� de l'Holocauste, � qui il a d�cern� un prix de l'infr�quentabilit� et de l'insolence, affirment le Journal du Dimanche, le Parisien et Le Post.

La ministre de la Culture, Christine Albanel, s'est d�clar�e "constern�e" par cette "provocation qui "heurte et blesse � nouveau les m�moires [juives]", dimanche dans un communiqu�.

"Dieudonn� vient rappeler qu'il est bien un nouveau leader de l'extr�me-droite en choisissant d'honorer Robert Faurisson", a estim� de son c�t� l'Union des �tudiants juifs de France (UEJF), selon qui "assister � un spectacle de Dieudonn�, c'est participer � un meeting d'extr�me-droite".

Dans une vid�o en ligne publi�e par le site internet Le Post, qui montre int�gralement la sc�ne qui s'est d�roul�e � la fin du spectacle, Dieudonn� d�clenche une ovation en l'honneur de M. Faurisson accueilli sur sc�ne par une accolade. Le troph�e lui est remis par une personne d�guis�e en d�port� juif.

"Vos applaudissements vont retentir assez loin (...) Votre pr�sence ici et notre poign�e de main sont d�j� un scandale en soi", ironise Dieudonn� devant 5.000 spectateurs.

- "Tu nous dis +J'ai fait le con+ (ndlr: titre du nouveau spectacle de Dieudonn�). C'est s�r, mais ce soir tu es vraiment en train de faire le con!", lui lance Robert Faurisson.

- "C'est m�me la plus grosse connerie que j'ai faite mais la vie est trop courte. D�connons et d�sob�issons le plus vite possible!", r�pond Dieudonn� sous de nouveaux applaudissements nourris.

Interrog� par le JDD, Dieudonn� affirme:  "pour moi, c'est la libert� d'expression qui compte".

Selon le journal, Jean-Marie Le Pen, son �pouse Jany et sa fille Marie-Caroline, �taient pr�sents dans la salle, ainsi que la militante pro-palestinienne Ginette Skandrani et le leader radical noir K�mi Seba, responsable du mouvement Tribu Ka dissous en 2006 par le minist�re de l'Int�rieur.

Dieudonn� M'Bala M'Bala, dont une fille a pour parrain le pr�sident du Front National, a �t� condamn� en juin en derni�re instance � 7.000 euros d'amende pour ses propos sur la m�moire de la Shoah tenus � Alger en 2005 et qui avaient provoqu� un toll� [juive] en France.

Son dernier spectacle en date est repris ce week-end dans son th��tre de La Main d'Or � Paris, avant une tourn�e.

Robert Faurisson, souvent condamn� pour n�gationnisme, fait l'objet d'une nouvelle enqu�te judiciaire pour avoir qualifi� l'Holocauste de "religion officielle" qui "continue d'abuser des millions de gens par des proc�d�s grossiers".



 

 Robert Faurisson

Une nouvelle perquisition
et ses cons�quences

Le jeudi 13 novembre 2008, � 6h15 du matin, deux officiers de police judiciaire (OPJ), venus la veille de Paris et accompagn�s de deux (ou trois ?) policiers en uniforme, ont  fait irruption � mon domicile non sans provoquer un fracas d�lib�r�. Ma femme, qui est cardiaque, en a �prouv� une commotion dont je crains maintenant les suites. Pendant une heure et demie elle a �t� confin�e dans une pi�ce, sous bonne garde, avec l�un de ses fr�res et l��pouse de ce dernier qui, cette nuit-l�, se trouvaient � notre domicile et qu�en criant un policier s�est employ� � faire sortir de leur lit.

Ce comportement de malotrus est d�autant moins admissible que les deux OPJ savaient le mauvais �tat de sant� de ma femme. Ils avaient d�j� perquisitionn� mon domicile le 24 janvier 2008. Ce jour-l�, plac� en garde � vue d�s mon arriv�e au commissariat de Vichy et averti qu�apr�s mon audition les policiers se porteraient avec moi � mon domicile pour une perquisition, j�avais signal� aux deux OPJ que, ma femme �tant cardiaque, je lui avais  cach� ma convocation au commissariat. Je leur avais pr�cis� qu�� une heure donn�e ma femme quitterait notre domicile et je leur demandais d�attendre cette heure-l� pour y faire leur apparition. Or ils n�avaient tenu aucun compte de mon avertissement et, par leur arriv�e intempestive � la maison, ils avaient provoqu� chez ma femme un s�rieux malaise cardiaque.

Ce 13 novembre 2008, je les ai vertement tanc�s. Je leur ai dit leur fait. Ils se sont calm�s.

Les policiers en uniforme sont repartis � 7h30. Les OPJ, une jeune femme et un homme jeune, ont op�r� de 6h20 � 10h30.

J�ai refus� de r�pondre � leurs questions. A toutes les questions de la police, j�ai pris le pli, depuis pr�s de trente ans, de r�pondre : �Pas de r�ponse�, et cela m�me si la question est b�nigne. Je refuse de collaborer avec la police et la justice fran�aises dans la r�pression du r�visionnisme historique.

Une fois de plus, mes deux OPJ ont fait chou blanc. Une fois encore, ils n�ont trouv� ni l�ordinateur, ni les documents recherch�s.

Ils �taient porteurs de cinq (!) commissions rogatoires. Les plus importantes concernaient ma participation � la conf�rence de T�h�ran (11-12 d�cembre 2006). Jacques Chirac est � l�origine de ces plaintes-l� ainsi qu�une organisation essentiellement juive.

Je sollicite l�indulgence de mes correspondants si, � l�avenir, je suis amen�, pendant un certain temps, � laisser leurs messages ou leurs lettres sans r�ponse. J�entre dans une p�riode de turbulence. Je ne trouve toujours pas d�avocat pour succ�der � Eric Delcroix, qui a pris sa retraite. Soit dit en passant, je prie mes correspondants de ne pas venir me recommander tels ou tels avocats, r�put�s courageux mais qui ne sont que des l�ches habitu�s � plastronner. (Un mod�le du genre : Jacques Verg�s. Je suis pein� de voir combien peu ont perc� � jour la com�die qu�il nous joue. Son ficelle, de la grosseur d�une corde : la surench�re dans l�antiracisme. Barbie raciste ? Vous plaisantez ! Il n�y a pas eu plus racistes que les colonialistes fran�ais ou encore les Australiens, exterminateurs de la race tasmanienne).

En France comme ailleurs, les juifs exigent, en ce moment, une r�pression accrue du r�visionnisme. A mesure que l�Etat d�Isra�l multipliera les provocations � l�endroit des Palestiniens, il se mettra dans un p�ril croissant, jusqu�� entra�ner, ne lui en d�plaise, la disparition du r�gime sioniste. Pour l�heure, ce r�gime doit � tout prix sauvegarder l�arme num�ro un de sa propagande de guerre : le mensonge de la religion de �l�Holocauste� avec ses pr�tendues chambres � gaz homicides.

Attendons-nous tous � �tre trait�s en Palestiniens. Pour ma part, je ne plierai pas. Certains me reprochent parfois d�oublier, dans mon combat, que le premier devoir d�un homme serait de pr�server la s�curit� de sa femme et de ses enfants. Mais peut-�tre n�est-ce l� que le second devoir d�un homme. Peut-�tre le premier devoir d�un homme est-il d��tre un homme.

Robert Faurisson

 

 Z�nith 
Proc�s Dieudonn�/Faurisson
Ci-dessous un compte rendu du proc�s Dieudonn�/Faurisson le 22 septembre 2009, rapport� par un r�visionniste assistant � l'audience.

Finalement le proc�s s'est d�roul� seulement l'apr�s-midi: d'un commun accord entre les parties, les deux affaires sont trait�es en une seule audience. En r�alit�, pendant tout l'apr�s-midi il ne sera gu�re question du Pr Faurisson qui, � la demande de son avocat, n'est pas pr�sent. Le procureur, Mme de Fontette, semble en �tre soulag�e: "Le vieil homme n'est pas ici", dit-elle avec satisfaction.

L'apr�s-midi commence par l'enregistrement des parties-civiles: huit en tout! Le d�nomm� Bo�ard, original bien connu de la XVIIe chambre et qui se pr�sentait comme intervenant volontaire pour la d�fense de Faurisson, est �vinc� et m�me expuls� manu militari.

Le pr�sident fait projeter l'enregistrement vid�o du sketch du Z�nith.

Puis a lieu l'interrogatoire de Dieudonn�: remarquable! On comprend tout de suite que le pr�sident Nicolas Bonnal compte le juger sur ses intentions et non pas sur les faits. Dieudonn� est aussi � l'aise dans le pr�toire que sur sc�ne, mouchant les avocats adverses et montrant au pr�sident sa commis�ration d'avoir � juger une telle affaire et de lui faire perdre son temps. Quelques r�parties:

- Le Pdt: Pourquoi avoir invit� Robert Faurisson? R�ponse: J'ai servi un attentat humoristique.

- Le Pdt: Quelle est la symbolique de la quenelle? R�ponse: J'ai lanc� le mot il y a � peu pr�s un an; glisser une quenelle dans le fondement des m�dias.

Quelques phrases de Dieudonn�:

- Mettons fin � cette "hyst�rie" qui voit de l'antis�mitisme partout.

- Je suis le barom�tre de la d�mocratie.

- Je me suis livr� � un acte de subversion en invitant les infr�quentables.

Je vous pr�viens d�s maintenant que je le referai avec un autre infr�quentable, l'homme � la chaussure (l'Iraken qui a jet� sa chaussure � la t�te de Bush).

Deux mots sont souvent repris, tant par le pr�sident que par Dieudonn�:

"insolence" et "provocation". Mais o� est le d�lit?

Ensuite c'est le tour des plaidoiries des 8 parties civiles, qui, elles, sont plus que lamentables:

�videmment aucun argument mais seulement des pleurs, des lamentation et des violons... et surtout de la haine, qui s'est traduite dans la bouche du b�tonnier Charri�re-Bournazel par des mots orduriers adress�s aux supporters de Dieudonn� dans la salle, tels "�boueurs" et "ordures"..

Puis c'est la plaidoirie de Me Bastardi Daumont, du Barreau de Nice, avocat du Pr Faurisson, qui commence � peu pr�s ainsi: "Ici on ne fait pas de droit; moi, je vais faire du droit". Sa plaidoirie, bien charpent�e, est fond�e uniquement sur le droit et la notion d'injure. Me Bastardi Daumont a demand� la condamnation de la LICRA � 5000 euros. Belle prestance, belle voix, une belle autorit� malgr� son jeune �ge. Sa plaidoirie ne durera que 16 minutes.

C'est ensuite le tour de la longue plaidoirie de l'avocat de Dieudonn�.

Comme il est de r�gle, la parole est donn�e en fin d'audience � Dieudonn� qui d�clare: "Je r�p�te que je ne vois pas ce que je viens faire ici, devant tous ces avocats geignards."

Entendu � cette occasion

- L'avocat de la LICRA, Me Jacubowicz, parlant de Dieudonn� � une journaliste dans la salle des pas perdus: "C'est une gifle � la justice: il ne joue pas le jeu du justiciable!"

- Quelqu'un ayant assist� � l'audience demande � Me Bastardi Daumont: "Cela ne vous g�ne pas, au sein de votre Barreau, d'assurer la d�fense de Robert Faurisson?" R�ponse: "Non, pas du tout. Je me sp�cialise dans les affaires p�nales, �a m'int�resse et je suis fier d'avoir assur� cette d�fense."

Jugement le 27 octobre 2009


La magistrate a requis un an de prison avec sursis et 10000 euros d'amende contre l'humoriste. Verdict rendu le 27 octobre.

Dieudonn� plaide
"l'attentat humoristique"

Par Victoria Cassagnaud,  le 23/09/2009

 L'humoriste �tait jug� mardi 22 septembre pour avoir remis "le prix de l'infr�quentabilit� et de l'insolence" � l'historien r�visionniste Robert Faurisson au Z�nith en 2006. Il encourt un an de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende.
C'est avec vingt-cinq minutes de retard que Dieudonn� s'est pr�sent�, d�tendu et souriant, au tribunal de Grande Instance de Paris, accompagn� de son avocat, de celui de Robert Faurisson, de ses deux gardes du corps et d'une trentaine de supporters surchauff�s. Dans la vaste salle d'audience bond�e pour l'occasion, l'ambiance est �touffante. L'humoriste a choisi de prendre lui-m�me sa d�fense et tiendra le micro pr�s d'une heure et demi. "Je suis l� pour faire mon spectacle, j'esp�re que vous viendrez aux autres!" lance-t-il � l'auditoire. Derri�re lui, seul son public se gondole.

La magistrate a requis un an de prison avec sursis et 10000 euros d'amende contre l'humoriste. Verdict rendu le 27 octobre 2009.

Cinq associations juives pro-juives se sont port�es parties civiles au proc�s de l'humoriste, dont l'Union des Etudiants Juifs de France (UEJF). "Saviez vous que Robert Faurisson �tait n�gationiste?" interroge un avocat de la partie civile. "Non", r�pond l'accus�. Quand le juge lui demande toutefois pourquoi il a invit� l'historien � son spectacle, l'int�ress� r�torque: "pour servir un attentat humoristique" aux m�dias. M�dias jug�s trop frileux � son �gard. Interrog� sur la symbolique du pyjama � rayures port� sur sc�ne par son accolyte lors de la fameuse remise de prix, Dieudonn� �voque d'abord un "pyjama � carreaux", puis, dans un sourire, "le manque de moyens" de sa production.

Les d�bats se poursuivront sur le m�me ton durant pr�s de 4 heures, interrompus � plusieurs reprises � la demande du juge pour "a�rer" les lieux rendus irrespirables. Entre les supporters conquis par le show et les parties civiles, la 17e chambre correctionnelle s'est transform�e le temps d'un apr�s-midi en salle de spectacle d'un go�t douteux. "En tournant en d�rision la communaut� juive, il m'appara�t que Dieudonn� M'bala M'bala a bless� et humili�", a conclu la procureur de la R�publique Anne de Fontette. La magistrate a requis un an de prison avec sursis et 10000 euros d'amende contre l'humoriste. Verdict rendu le 27 octobre 2009.
 


Commentaires

Slone - 24/09/2009

Dieudonn� estime qu'il est honteux de diaboliser, de marginaliser un homme pour des propos. "On ne peut se r�concilier qu'avec ses ennemis", selon les termes de Dieudonn�. Les m�dias pro-isra�liens ne lui pardonnent pas son engagement pro-palestiniens et continueront de mentir � son sujet, mais le peuple est moins imb�cile que les journalistes ne le pensent.
 

loli - 24/09/2009

DIEUDONNE tu as raison de jouer la mauvaise foi..car de toute facon ils t'auraient quand meme condamn�...on n'oublie pas que tu as gagn� plus de trente proc�s ..ils s'acharnent sur toi et tu deveint finalement un h�ros! ne t'en fait pas on sait que tu es un humaniste avant tout! tu n'es pas le raciste ou l 'antis�mite qu'ils veulent nous d�peindre! il suffit de voir tes spectacles! tout le monde y passe: les arabes , les chinois, les juifs (sauf qu'avec certains, �a ne passe pas; certain sionistent saute sur l'occase pour te cracher dessus, en passant ils aimeraient bien r�cup�rer un peu d'argent ...et t'humilir)... tu es soutenus on t'aime!

 

maeda - 24/09/2009

c'est pas parce qu'on n'est pas dr�le qu'on m�rite la prison pour autant...d�j� qu'elles sont blind�es! enfin bref oui dieudonn� aujourd'hui est train� injustement devant les tribunaux, je met au d�fi n'importe qui le critiquant de regard� et de juger sans a priori ne serait ce qu'un de ses spectacle pour voir s'il a le m�me avis ensuite. et pour tout ceux qui disent ou pensent qu'il n'a pas de talent, demandez vous pourquoi il joue � guichet ferm� partout ou il va (m�me au canada!!). Pour ceux qui le traitent d'anti s�mite il n' y a qu'a voir les d�bats qu'il � eu avec des juifs eux m�mes censur� par les sionistes, son combat n'a rien de religieux mais il d�nonce juste un �tat comme beaucoup de pro palestinient qu'on entend jamais a la radio et a la t�l� ou alors en faisant toujours le m�me amalgame : anti sioniste = anti s�mite CE QUI N'A RIEN A VOIR!

 

SanSystem - 23/09/2009

Je reviens de son dernier spectacle "Sandrine"dan son th�atre "La main d'or" � Paris, et franchement, � mourir de rire, cet homme est extr�mement dr�le, ses sketchs plein de 2eme degr�, et tout le monde s'en prend plein la figure, le chinois, les arabes, les noir, ... et oui les juifs aussi, je vois pas pourquoi il en aurai pas aussi un peu. Je comprends pas pourquoi on s'acharne comme �a sur lui , juste pour cette partie. Moi c'est �a qui me fait peur en France.

 

maceo - 23/09/2009

C'est un scandale, Dieudonn� fait un sketch tout aussi sadique sur les pygm�es et personne n'en parle...pourquoi? Il y en a assez de ce culte victimaire orchestr�e par des associations communautaires et/ou religieuses ! Quand on observe les propos des chefs d'Etat tels que Sarkozy, des Hommes politiques, comme Brice Hortefeux sur d'autres "minorit�s", il n'y a pas la m�me r�action, tout d'un coup on nie le racisme. Qu'on se mette au travail sur les in�galit�s, les probl�mes sociaux tels que le chomage , et qu'on arr�te nous occidentaux de s'ing�rer dans les affaires des pays domin�s etc. ; l� dieudonn� (le seul humoriste critique) arr�tera peut �tre de provoquer pr se faire entendre!!!

 

greg - 23/09/2009

Merci dieudonn� pour ton utilisation pertinente et jusqu'au boutiste de ton art. Rire de tout pourquoi pas et cest d'autant plus important encore quand cela gene une majorit� : vive la libert� d'expression

 

tayeb - 23/09/2009

seul les gens qui cherche a se faire leur propre idees sur le cas Dieudonn� peuvent savoir les autre nes ont que des moutons a qui ont peur faire avaler skon veu yen a tellement c dingue mais ski mr�joui c dvoir tt les autres
 

l'humaniste - 23/09/2009

je me suis pench� sur l'affaire Dieudonn�e il y a quelques mois de cel� suite � une video visionn�e sur ma tv.Et ensuite sa a fait une r�action en chaine; video sur plateau t�l�, sp�ctacle,...Donc pour vous dire que je suis bien cal� sur l'affaire Dieudonn�e car j'ai �cout� les 2 camps et essay� de savoir qui avait tort et qui avait raison. Alors moi ce que je pense c'est que Dieudonn�e nous ouvre les yeux sur le mal sioniste, entre autre, qui p�rsiste sur le peuple palestinien mais aussi ce mal controle les m�dias. Je dis les m�dias car on voit bien qu'il y a toujours le m�me parti qui � le droit de parler � la t�l� et le parti qui n'a pas le droit. Je pense que le probl�me de fond est le manque de COMMUNICATION entre les communinaut� et le manque d'HUMANISME.

Pourquoi je serrerais
la main de Faurisson

1 juin 2009

L'autre soir j'�tais chez ma vieille copine un peu baba, un peu gauchiste; on parle de tout, on parle de rien et on arrive sur le sujet des �lections europ�ennes � venir. � Je soutiens Dieudonn� � que je lui fais. Elle ce serait plut�t Bov�, parce que Dieudonn�... l'in�vitable question arrive : � quand m�me, il y a eu le Z�nith, alors comment peux-tu intellectuellement soutenir quelqu'un qui fr�quente Faurisson ? ï¿½ 

J'ai commenc� � lui r�pondre, et puis les enfants sont arriv�s, on a �t� coup�es, et on a parl� d'autre chose. Mais j'ai continu� � y penser, je voulais lui expliquer, les mots, les phrases tournaient dans ma t�te. Il me faut y revenir... Je me suis imagin�e, en face de Faurisson, qu'est-ce que je ferais si on me le pr�sentait... Je lui serrerais la main ? Je ferme les yeux et je me regarde : oui, je lui serre la main... Pourquoi je ne sais pas encore, ce n'est pas une r�ponse intellectuelle, �a me semble juste naturel, simplement humain, pourtant je sais que beaucoup crieraient au scandale... Ils n'ont pas besoin de s'expliquer, tout le troupeau est derri�re eux. Moi je risque d'�tre bien seule sur le bas-c�t� de la route, mais je resterai l�, je ne suivrai pas le troupeau, et puisque la question m'a �t� pos�e...

Ma ch�re amie... Comment te faire comprendre ? D'abord une pr�cision, Dieudonn� ne "soutient" pas Faurisson, il reconna�t son droit � la parole et en a fait le symbole de la censure qu'il d�nonce et dont il a �t� victime lui-m�me. Ne crois pas que je me d�fausse en appelant Voltaire � la rescousse, paravent trop souvent utilis� par ceux-l� m�me qui le brandissent pour mieux faire accepter les limites qu'ils posent imm�diatement derri�re. J'irai donc plus loin et te dirai que non seulement je soutiens Dieudonn� qui serre la main � Faurisson mais si l'occasion se pr�sentait, je lui serrerais la main moi-m�me, et je vais tenter de te faire comprendre pourquoi cela me semble juste.

D'abord, pour poser le d�cor pr�cisons que jusqu'� cette sc�ne du Z�nith, je ne connaissais de Faurisson que son nom, associ� bien s�r � l'outrage supr�me : n�gationniste !

Alors la curiosit� m'a pouss�e � en savoir un peu plus : je suis tomb�e sur une conf�rence o� il expose ses th�ses sur les chambres � gaz. Je vois un petit bonhomme au parler lent qui essaye de d�montrer scientifiquement que des chambres � gaz non �tanches ne pouvaient pas fonctionner sans mettre en grand danger les personnes alentour, en premier lieu les ouvriers de ces basses �uvres. Je suis une scientifique, tu le sais, alors cette approche me convient, je voudrais en savoir plus, j'essaye de trouver la faille, je me dis qu'il faudrait pouvoir faire le test en grandeur r�elle, voir s'il y a des �manations toxiques � l'ext�rieur, en quelles concentrations, doser ce qu'il reste de gaz cyanhydrique � l'int�rieur des chambres apr�s une heure, deux heures... Ces concentrations sont-elles encore l�tales, sont-elles explosives ? Faurisson nous parle des r�cup�rateurs de cadavres qui entreraient avec une cigarette � la bouche dans les chambres, mettant cela dans le panier de l'irrecevabilit� de la th�se des chambres � gaz... Pourtant c'est un stratag�me bien connu des chimistes : le gaz cyanhydrique � faible concentration n'est pas toujours d�tectable pour un nez pas tr�s fin. M�l� � la fum�e de tabac, il d�gage une odeur caract�ristique. Alors cette histoire de cigarette serait plut�t � mettre dans le panier des preuves de l'utilisation du ZyklonB... Enfin, je ne sais pas, je me dis qu'il faudrait creuser la chose... Pareil pour les chambres froides, il dit qu'elles n'ont pas �t� faites pour ce que l'on en dit, que leur taille devrait �tre diff�rente pour rendre ais�e la manipulation des cadavres, mais cet argument ne tient pas si l'on consid�re qu'effectivement elles n'ont pas �t� faites dans ce but mais d�tourn�es de leur utilisation premi�re : ce n'est pas parce que mon canap� n'est pas un lit, qu'il n'a pas �t� fait pour que je m'y couche, que je ne peux pas dormir dedans... Enfin, j'aurais aim� qu'il y ait un d�bat, des tests, que tout doute puisse �tre lev�, les chiffres discut�s - pas par moi, j'ai d'autres chats � fouetter et ce n'est pas mon m�tier - mais le fait m�me que ce soit impossible ne fait qu'alimenter la suspicion... Alors pourquoi interdire le doute ? Pourquoi en faire un tabou ?

Puisque tu me demandes comment je peux intellectuellement soutenir, moi je te demande comment peut-on intellectuellement accepter la c�l�bre phrase de Vidal-Naquet :

� Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a �t� possible. Il a �t� possible techniquement puisqu'il a eu lieu.[...] Il n'y a pas, il ne peut pas y avoir de d�bat sur l'existence des chambres � gaz. �

Parce que moi, intellectuellement, cela ne me convient pas.

Vingt millions de morts en Union sovi�tique, deux cent cinquante mille � Hiroshima, dix, quinze, vingt millions d'Indiens aux Am�riques, dix, vingt, trente millions de victimes des diff�rentes traites n�gri�res, on en discute, on compte et on recompte, chacun est libre de donner son estimation, et personne n'est le diable, si basse soit-elle.

Mais Faurisson est le diable. Je le regarde, cornu, les pieds fourchus dans les yeux de mes concitoyens. Moi je vois un vieux monsieur qui avait une place honorable � l'universit�, sp�cialis� dans la critique de textes et documents. Il aurait pu rester l�, faire une carri�re tranquille, respect� de ses pairs. Qu'est-ce qui l'a pouss� � se jeter ainsi dans le brasier ? Savait-il seulement dans quels feux il se lan�ait ? �tait-ce par seul souci de v�rit� historique et scientifique ? A-t-il �t� emport� par un �lan dont l'impulsion initiale lui a �t� donn�e en toute innocence et en toute ignorance de l'ab�me vers lequel il se dirigeait, par l'�tude sinc�re de plans et de photos ? A-t-il �t� interpell� par des d�tails que ceux qui n'ont pas vu ne peuvent comprendre l'importance ? Je ne sais... Y a-t-il dans sa d�marche une force obscure qui le pousse ? Une haine dont j'ignore les causes qui justifierait sa hargne au p�ril de sa vie ? Encore une fois, je ne sais...

Et toi qui me lis, toi mon amie qui pense bien, le sais-tu ? Vous tous qui me lisez, le savez-vous ? Je vous entends pour les plus honn�tes faire l'apologie de la libert� d'expression, citer Voltaire et paraphraser Saint-Just, je vous entends surtout, vite, vite vous pr�munir, Faurisson, propos naus�abonds, le ventre f�cond, la b�te immonde... Nier la Shoah telle qu'on nous la raconte ou en r�duire l'importance, contester la mani�re dont les morts sont morts, est-ce appeler � la haine des victimes ? Est-ce se r�jouir de ce qu'elles ont subi en pensant dans le m�me temps que ce n'�tait pas assez ? Ni en nombre ni en f�rocit� ? Est-ce appeler � � finir le travail ï¿½ ? Soyons s�rieux, ce n'est rien de tout cela et vous le savez bien. Alors quoi ? Quelle est la nature de cet outrage ? Minimiser la Shoah enl�ve-t-elle aux juifs une part de leur humanit� ? Au petit-fils de d�port� mort en camp, que change le fait que son grand-p�re soit mort accompagn� de cinq cent mille ou de six millions d'autres ? Que change le fait que son a�eul soit mort gaz� ou fusill� ? D'�puisement ou de maladie ? Si j'�tais ce petite-fils l� j'aurais envie de savoir, mais que ce soit de cette mani�re ou de cette autre, cela ne changerait rien � ma tristesse... Personne ne conteste chaque mort individuellement, personne ne dit � ce petit-fils � non, ton grand-p�re n'est pas mort, le numerus clausus est atteint, et s'il n'est pas revenu c'est qu'il a pr�f�r� ne pas revenir, en profiter pour refaire sa vie ailleurs... ï¿½. Alors quelle est cette souffrance si terrible qu'elle doive interdire toute recherche, toute tentative de discussion du nombre ou de la mani�re dont les juifs sont morts pendant la deuxi�me guerre mondiale ? Et pourquoi celui qui tente de le faire devient-il un criminel ?

Il y a de par le monde nombre de gens qui par leur comportement font souffrir leurs cong�n�res de mille mani�res. Tortures psychologiques, manipulations, mensonges qui font parfois mourir � petit feu, sans bruit, les victimes de leur perversit�. Au travail, en famille, ces gens l�, m�me d�voil�s, ont droit aux politesses d'usage. Et rarement ils seront condamn�s � la moindre peine. Peut-�tre seront-ils mut�s, leur femme voudra divorcer, mais jamais ils ne seront crucifi�s. Pourtant de combien de nuits sans sommeil, de jours de larmes, de d�pressions auront-ils �t� responsables ?

Qui a connu des pleurs et des nuits blanches, des envies de mourir � cause de Faurisson ?

Il y a des p�dophiles qui ont bris� la vie de leurs victimes, qui les ont tu�es parfois. Il y a ceux dont on parle, et combien dont on ne parle pas. Toutes ces m�res assassin�es � travers leurs enfants... Il y a des prisonniers tortur�s � l'ombre de murs �pais... Il y a des villages affam�s par des ma�tres qu'ils ne se sont pas donn�s, des riverains empoisonn�s par la cupidit� de quelqu'uns, des b�b�s malform�s et des peuples irradi�s... Pour la puissance des uns et l'argent des autres... Il y a des luttes intestines, des soifs de pouvoir qui �crasent des populations enti�res dans l'indiff�rence du monde, atrocit�s inaudibles parce qu'on ne veut pas les entendre, toute cette humanit� qui crie pourtant... Mais Faurisson... Ah, Faurisson ! m�me s'il murmurait on l'entendrait... D'o� vient donc ce sang que les aveugles voient couler sur sa main pour refuser de la prendre ?

Il y a encore des dirigeants devant lesquels on d�roule le tapis rouge, rouge de ce sang pourtant qui coule sur la main de Faurisson, et � qui on serre plus que la main : on leur donne l'accolade, on les regarde avec d�f�rence, ils sont les ma�tres du monde... Leurs crimes sont r�els mais on les en excuse. Au nom de la raison d'�tat, f�t-ce-t-elle enrob�e dans un gros mensonge. Combien d'enfants morts en Irak pendant le blocus ? Cinq cent mille ? Est-ce un crime ? Non. Contester ce crime, et m�me le justifier en est encore moins un. � Je crois que c'est un choix tr�s difficile, mais le prix... nous croyons que le prix en vaut la peine ï¿½ nous dit Madeleine Albright sans que nous songions une seule seconde � lui refuser notre main. Enfin... je parle d'eux, parce que moi, vois-tu...

Il y a eu Menahem Begin, commissaire au Betar, pr�sident de l'Irgoun, responsable de l'attentat du King David, du massacre de Deir Yassin, qui a re�u le prix Nobel de la Paix. Ah ! Cette poign�e de main entre lui et Sadate, elle a fait le tour du monde... Mais le sang en �tait lav� par un peu d'encre, une signature au bas d'un document dont une partie pourtant est tomb�e dans l'oubli... Dans l'oubli, comme le sang sur les mains de Begin...

�Il y a des circonstances dans l�histoire qui justifient le nettoyage ethnique�. Qui a dit cela ? Faurisson ? Continuons pour y voir plus clair : �Je sais que ce terme est compl�tement n�gatif dans le discours du XXIe si�cle, mais, quand le choix est entre le nettoyage ethnique et le g�nocide - l�annihilation de votre population - je pr�f�re le nettoyage ethnique (...) C��tait la situation. ï¿½ Ah, voil�, ce n'�tait pas un g�nocide, c'�tait un nettoyage ethnique. Il y a eu pourtant beaucoup de morts. O� cela d�j� ? � C��tait ce que le sionisme affrontait. Un �tat Juif n�aurait pas pu �tre cr�� sans d�raciner 700'000 Palestiniens. Par cons�quent il �tait n�cessaire de les d�raciner�. On les a juste d�racin�s. Les arbres aussi parfois quand on les d�racine ils en cr�vent... Qui refuse de serrer la main de Benny Morris pour avoir dit cela ?

Des personnes qui ont du sang sur les mains et du sang sur la langue il y en a mill e auxquelles on serre la main : parce qu'ils sont du c�t� de ce que l'on consid�re comme le Bien sur cette rive-ci du Styx, leurs crimes ne leur seront pas compt�s. Mais � celui qui traverse, � celui-l� m�me qui se tient h�sitant au milieu du fleuve, il ne sera rien pardonn�, pas m�me de chercher la v�rit� : il n'aura pas atteint l'autre rive que d�j� il aura franchi le Rubicon.

Galil�e a d� se renier pour se sauver, et pourtant il avait raison. Si l'interdiction de recherche avait subsist�, croirait-on encore que la terre est au centre de tout ? D'autres ont �t� eux aussi emprisonn�s pour leurs id�es, mais ils se sont tromp� s et on les a oubli�s. Ils ne sont pas condamnables pour autant : si on veut ne jamais �tre dans l'erreur il ne faut rien chercher. Laissons donc le temps faire le tri de ceux qui ont tort et de ceux qui ont raison, mais laissons-lui les outils pour le faire. Refuser cela c'est faire du doute une h�r�sie.

Pour justifier l'Inquisition, je lis : � L'h�r�sie n'est pas seulement affaire de doctrine : elle est un crime global contre Dieu, les princes, la soci�t� � ce qui alors revient au m�me. �tant une rupture du lien social, la lutte contre l'h�r�sie est une question d'ordre public. ï¿½ Faurisson menace-t-il vraiment l'ordre public ? Si la r�ponse est oui, alors le lien social est bien fragile...

Il y a deux mille ans est n� celui qui allait �tre consid�r� par les siens comme un h�r�tique. � Heureux ceux qui croient sans avoir vu ï¿½ a-t-il dit. Mais il n'a pas ajout� � maudits soient ceux qui doutent ï¿½... J�sus, lorsqu'il est ressuscit� est apparu devant Saint Thomas qui n'en a pas cr� ses yeux : il voulait toucher les preuves du doigt. Qu'a fait le Christ ? L' a-t-il injuri� ? L'a-t-il mis au ban des humains ? S'il l'eut fait peut-�tre qu'aujourd'hui le monde chr�tien ne serait pas ce qu'il est. Il lui a pris la main et lui a fait toucher ses plaies. Oui, c'�tait bien J�sus qui avait �t� clou� sur la croix. Et Thomas qui aurait pu devenir un n�gationniste de la r�surrection est devenu un ap�tre.

Faurisson est un Saint Thomas de l'�re moderne. Il a pos� des questions et pour toute r�ponse on lui a clou� le bec, on l'a crucifi� sur la place publique. Non, non, mon amie, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit : Faurisson n'est pas le nouveau Christ mais ses bourreaux viennent des m�mes, de ceux qui ont peur du vacillement des dogmes sur lesquels reposent leur vision du monde. La bienveillance du Christ envers celui qui n'avait pas la foi a permis l'essor d'une religion qui permet le doute. A l'oppos� de celle-ci et � l'oppos� du paradigme sur laquelle elle repose, l'interdiction actuelle sera le fossoyeur d'une nouvelle religion dont le sacrifice fondateur n'�tait pas l'expression d'une volont� divine. Voil� donc deux raisons pour que la Shoah vienne rejoindre dans l'histoire et au m�me degr� qu'eux les crimes h�las nombreux et banals de l'humanit� contre elle-m�me.
 

Et une bonne raison de ne pas refuser de serrer la main de Faurisson.

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PS : puisque certains lecteurs ont jug� bon de me "d�noncer" pour th�ses n�gationnistes et antis�mitisme, je pr�cise :

Je ne suis pas r�visionniste, je ne suis pas non plus "exterminationniste", je ne suis rien du tout puisque je ne suis pas historienne.

Je suis une scientifique ; on ne peut pas tout faire et tout conna�tre, et je veux pouvoir avoir confiance en ce que font et disent les "sp�cialistes" chacun dans leur sp�cialit�. Non que je pense qu'ils puissent tous avoir raison lorsqu'ils ne sont pas d'accord, mais que ce n'est que d'une loyale confrontation que peut �merger une v�rit�, m�me mouvante et imparfaite... Lorsque celle-ci devient rigide et obligatoire la porte s'ouvre sur le totalitarisme et celui que l'on voit �merger aujourd'hui est d'autant plus dangereux qu'il est insidieux, usant et abusant des moyens de propagande que la technologie met � sa disposition, permettant cette dictature soft et indolore dans laquelle nous nous trouvons.

Indolore sauf pour ceux qu'on anesth�sie difficilement. Faurisson en fait partie, et qu'il ait raison ou tort n'est � ce jour pas mon propos : je ne connais pas assez ni ses th�ses ni les th�ses officielles pour en juger. Mais je ne supporte pas que pour toute r�ponse et pour tout argument il se fasse clouer le bec avec tous les moyens et toute la violence que le Pouvoir a � sa disposition.









 








 

The Holocaust Cartoons

In many parts of the world today, it has become illegal to make jokes about the Jewish propaganda surrounding the Holocaust.  Many people - from Canada, to Australia, to Germany, to England, to Austria, etc., ad nauseam - have been arrested and sent to jail for questioning any aspect concerning it.  Additionally, many other victims have suffered from other measures by the the Holocaust Enforcers - including some victims who were even beaten, murdered, had their homes burnt, etc. by these Holocaust-enforcing hate mongers.

Meanwhile, the press in Europe argues that "Free Speech" should be accepted by allowing people to ridicule Islam.  In actuality, it is illegal to make fun of the Jewish propaganda surrounding the Holocaust in Europe, yet it is all right to make fun of the tenets of Islam there.

And, at the same time in a display of similar hypocrisy, some in the American press condemn the attack on Islam - such as CNN - and yet this very same press has no problem displaying artwork that is vehemently anti-Christian in nature. 

Of course, again, whether in Europe or in America, the press never displays cartoons mocking Jews, particularly the Holocaust.  The hypocrisy never ends - often enforced by Big Brother's Thought Police who persecute those who question any aspect of Jewry and its propaganda.

A contest has been created by the Iranian press.  Twelve people who make the best cartoons about the Holocaust will each receive a gold coin.  If you have any cartoons to submit to the contest, please send them to this email address:
http://webmail.fuse.net/webedge/do/mail/message/mailto?to=Publications%40Hamshahri.Org   

To help offset this blatant hypocritical censorship employed by the media with respect to the Holocaust, some cartoons relating to the Holocaust-propaganda are shown below:

 

holocaust cartoon

holocaust cartoon

The Holocaust lobby may get the gullible and political sycophants to jump through their hoops, but the scholarly revisionists don't jump through loops for anyone

holocaust cartoon

The revisionist scholars are like a cool wind, slowly toppling the Jewish house of cards and exposing their lies

holocaust cartoon

The light of truth will eventually expose the Jewish propaganda surrounding the Holocaust, despite the terrorism, censorship, threats, hatred, and laws of the Holocaust-enforcing Thought Police

holocaust cartoon

The propaganda surrounding Auschwitz is like a sinking ship

How many people in foreign countries must be jailed - and how many people must be terrorized and persecuted by the Holocaust-enforcing Thought Police - before the average people recognize the Jewish propaganda?

The Holocaust Museum - a Jewish museum funded at non-Jewish tax payers' expense

The Jews' answer to offset the exposure of their propaganda - let's outlaw Free Speech!

holocaust cartoon

Never forget - the Jewish propaganda with which you've been indoctrinated

There's no business like Shoah (Holocaust) business, as the Jews say

The brutality of the Zionists has been much worse than the Nazis ever dreamt.  If there are Palestinian terrorists, it is only because the Israelis created them.

Well, you might not find videos at your local store that tell of the Zionist massacres, but you can watch an online video here for free about this.

The propaganda concerning the Holocaust keeps Israel afloat all right

Jews would have us believe that the swimming pool was filled with Zyklon-B

For exposing Jewish propaganda, Holocaust-enforcing Thought Police beat up senior citizen Prof. Faurisson.

Some still believe the Jewish propaganda that Jews were made into soap and lampshades!

Even today, there are Jews alive who say that the evil Nazis performed cruel experiments on them.  In reality, sixty years after WWII, with many of these people in their 80s and 90s now, it makes you wonder if the Nazis invented super-vitamins and exposed these Jews to them.

Is this what a Nazi homicidal gas chamber looked like?

The closest thing you'll find to a real homicidal gas chamber in Auschwitz.  (Despite American concentration camps for the Japanese having no plumbing, this wasn't the case with German concentration camps.)

Oh my gosh, a revisionist book was discovered.  The Thought Police must quickly put it in an incinerator before the crowd!

No holes ... and no traces of Zyklon-B either.

Wooden doors with large glass windows supposedly kept the inmates and the gas inside the fictitious homicidal gas chambers at Auschwitz.

We must put our brains outside of ourselves, if we want to appease the Thought Police.

We're expected to believe that the Nazis turned off the water and filled the lines with gas--among other nonsensical items better-called "Jewish propaganda."

Yes, there were wood-burning stoves to keep the inmates warm.  Jews somehow try to suggest that, even there, it's "proof" of these (fictitious) homicidal gas chambers.

The propaganda will be toppled any day now.


 

Here is what virtually all the Holocaust witnesses said:


The victims were pushed into the gas chamber


The door was closed and Zyklon B introduced.


There was a wait of a few minutes.


And when the door was opened,
"the still twitching victims fell into our arms...";
"five minutes later, the corpses were removed."



THAT IS IMPOSSIBLE!
Everyone would have been dead!
A room filled with Zyklon B gas has to be ventilated
for hours (the manufacturer recommends 20 hours!)...
even with gas masks it would not have been possible.
Do the same as I, inform yourselves!

 

Well, not really related to the Holocaust, but I thought it worth showing nevertheless:


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The Jewish propaganda surrounding the Holocaust is best left to comic book writers

 

It's been said that the author of Alice in Wonderland was on "magic mushrooms" while writing the tale; one wonders what type of psychedelic drugs the Jewish propagandists who conceived the fictitious tales of human-soap, human-lampshades, and homicidal gas chambers were on as well.

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