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Un pape qui déclare la
"guerre sainte" à la résistance

Par:
Ahmed Rami
Extrait d´un
discours prononcé par Ahmed Rami dans une réunion publique

- à Stockholm, en Suède - le  25 novembre 2006

Oui c´est bien l´"Allemagne" occupée d´aujourd´hui. La chancelière "allemande" a déclaré avoir envoyé ses troupes  au Liban pour défendre Israel! Le nouveau pape "allamand" - totalement juivé et "israelisé" - a aussi - pour défendre Israel - déclare la guerre à ceux qui résistent contre l´occupation juive en Palestine! 

Le précédent Pape Jean Paul II recherchait l´amitié et le dialogue avec l'islam.

Le présent pape Benoît XVI, lui, préfère la confrontation et se fait l'avocat d'un christianisme judaisé qui, doit appliquer la fois de la loi juive !

Il n´a que de l´amour et du respect pour le Judaisme et le sionisme qui légitime l´occupation, les massacres et toutes les formes de violence contre le peuple palestinien!

Jamais un pape de l'époque moderne n'avait cité autant de sourates du Coran pour s´attaquer au Coran et à la notion de la résistance contre les occupants juifs (jihad) qui occupent la Palestine depuis maintenant plus de 60 ans!.

A l'université de Ratisbonne, en Bavière orientale - où il a enseigné de 1969 à 1977 -, Benoît XVI a traité, le 12 septembre2006, devant un amphithéâtre comble d´auditeurs juifs, des "maladies mortelles" de l´Islam et dénoncé la la résistance (le Jihad), "contraire", selon lui "à la lettre du Coran" et à la "nature même de Dieu".

Avec un aire de provocation: il a rappelé un épisode ayant opposé, au XIVe siècle, les empereurs chrétiens de Constantinople aux juristes musulmans. "Montrez-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau. Vous ne trouverez que des choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l'épée la foi qu'il prêchait" : c'est une citation de l'empereur Manuel II Paléologue en 1391).

Un peu plus tôt, dans une homélie, il avait déjà mis en accusation l'Islam, cette "pathologie" de la religion, et "les destructions de l'image de Dieu provoquées par la haine et le fanatisme". Et souligné : "Il est important aujourd'hui de dire, avec clarté, en quel Dieu nous croyons et de professer, avec conviction, le visage humain de la religion."

Pour le pape c´est Israel  qui symbolise aujourd´hui "le visage humain de la religion." de sa nouvelle "religion"!

Il s'en prend à l'héritage des Lumières, qui conduit la science à rechercher "une explication du monde dans laquelle Dieu devient superflu". Mais, s'exclame-t-il, "les comptes n'y sont pas" !

Etonnant retournement de la part d'un pape qui défend avec ardeur la "raison" pour lutter contre les "maladies" de l`Islam.

En tous cas, cette longue "leçon" à l'université de Ratisbonne a été reçue par des applaudissements nourris de la part de l´assistance constituée en majorité de juifs fraichement venus de l´Est pour s´installer confortablement en Allemagne comme d´autres juifs se sont istallés - en occupants - en Palestine
 

Dans son discours, Ahmed Rami cita Quelques textes du nouveau pape, Benoît XVI, sur les relations israelo-chrétiennes
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Extrait du journal juif L’Arche n°565, mai 2005

http://www.col.fr/arche/article.php3?id_article=110

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« Un nouveau respect du Vatican pour l’interprétation juive de l’Ancien Testament »

En 2001, la Commission biblique pontificale publiait un ouvrage intitulé Le peuple juif et ses saintes écritures dans la Bible chrétienne (la traduction française est parue aux Éditions du Cerf). Ce texte théologique, destiné à servir de référence au sein de l’Église catholique pour ce qui touche au regard que l’Église porte sur les Juifs et pour les rapports judéo-catholiques. Ce livre a été rédigé et préfacé par le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Joseph Ratzinger qui est aujourd´hui le nouveau pape. On peut donc y voir une indication quant à l’approche de celui qui est aujourd’hui le pape Benoît XVI. Voici un extrait de la préface.)

Dans son travail, la Commission Biblique ne pouvait pas faire abstraction de notre contexte actuel, où le choc de la Shoah a mis toute la question dans une autre lumière. Deux problèmes principaux se posent : les Chrétiens peuvent-ils, après tout ce qui est arrivé, avoir encore tranquillement la prétention d’être des héritiers légitimes de la Bible d’Israël ? Ont-ils le droit de continuer à proposer une interprétation chrétienne de cette Bible ou ne doivent-ils pas plutôt renoncer avec respect et humilité à une prétention qui, à la lumière de ce qui est arrivé, doit apparaître comme une usurpation ? La deuxième question se rattache à la première : la façon dont le Nouveau Testament lui-même présente les Juifs et le peuple juif n’a-t-elle pas contribué à créer une hostilité contre le peuple juif, qui a fourni un appui à l’idéologie de ceux qui voulaient anéantir Israël ?

La Commission s’est posé ces deux questions. Il est clair qu’un rejet de l’Ancien Testament de la part des Chrétiens, non seulement, comme on l’a indiqué ci-dessus, abolirait le christianisme lui-même, mais en outre ne pourrait pas favoriser la relation positive entre les Chrétiens et les Juifs, car ils perdraient précisément le fondement commun. Mais ce qui doit résulter de ce qui s’est passé, c’est un nouveau respect pour l’interprétation juive de (de la bible des juifs) l’Ancien Testament.

À ce sujet, le Document dit deux choses. D’abord, il déclare que « la lecture juive de la Bible est une lecture possible, qui se trouve en continuité avec les Saintes Écritures juives de l’époque du Second Temple, une lecture analogue à la lecture chrétienne, laquelle s’est développée parallèlement » (no 22). Il ajoute que les Chrétiens peuvent apprendre beaucoup de l’exégèse juive pratiquée depuis plus de 2000 ans.


« Une plus grande estime et un plus grand amour envers ce peuple »

Le 29 décembre 2000, le journal du Vatican, l’ Osservatore Romano, publiait un article du cardinal Joseph Ratzinger intitulé « L’héritage d’Abraham, don de Noël ». Nous reprenons ici de larges extraits de l’article, dans la traduction de l’italien effectuée par Menahem Macina et disponible sur le site internet www.rivtsion.net. 

Le Dieu de la Bible des Juifs, créateur du monde et auteur de l’un et l’autre Testament. La conscience néotestamentaire de Dieu, qui culmine dans la définition johannique (1 Jn 4, 16), ne contredit pas le passé mais au contraire synthétise toute l’histoire du Salut dont le protagoniste initial était Israël.

Le psautier d’Israël est aussi le grand livre de prière de l’Église. Par conséquent, l’Église primitive ne s’est pas opposée à Israël, mais a cru, en toute simplicité, qu’elle en était la continuation légitime. La splendide image d’Apocalypse 12, la femme enveloppée de soleil, couronnée de douze étoiles, enceinte et souffrant les douleurs de l’enfantement, c’est Israël qui donne naissance à celui « qui doit gouverner toutes les nations avec un sceptre de fer » (Ps 2, 9) ; et pourtant, cette femme se transforme en un nouvel Israël, mère de peuples nouveaux. Cette unification de trois significations - Israël, Marie, Église - montre comment, pour la foi des Chrétiens, Israël et l’Église étaient et sont indissociables.

L’Église fut considérée par sa mère (le Judaïsme) comme une fille dégénérée. Et même si l’ultime et exécrable expérience de la Shoah fut perpétrée au nom d’une idéologie antichrétienne, qui voulait frapper la foi chrétienne à sa racine juive, en l’espèce du peuple d’Israël, on ne peut nier qu’une résistance insuffisante des Chrétiens à ces atrocités s’explique par l’héritage antijudaïque, présent dans l’âme d’un nombre non négligeable de Chrétiens. C’est peut-être précisément à cause du caractère dramatique de cette ultime tragédie qu’est née une nouvelle vision de la relation entre l’Église et Israël, une volonté sincère de vaincre toute forme d’antijudaïsme et d’inaugurer un dialogue constructif de connaissance réciproque et de réconciliation.

Mais, pour être fructueux, un tel dialogue doit commencer par une prière à notre Dieu pour qu’il donne, avant tout à nous autres Chrétiens, une plus grande estime et un plus grand amour envers ce peuple, ces « Israélites, à qui appartiennent l’adoption filiale, la gloire, les alliances, la législation, le culte, les promesses, et aussi les patriarches, et de qui le Christ est issu selon la chair, lequel est au-dessus de tout, Dieu béni éternellement ! Amen. » (Rm 9, 4-5), et ce non seulement dans le passé, mais également au temps présent, « car les dons et l’appel de Dieu sont sans repentance » (Rm 11, 29). Nous prierons également pour qu’il donne aussi aux enfants d’Israël une plus grande connaissance de Jésus de Nazareth, leur fils et le don qu’ils nous ont fait. Et puisqu’eux et nous sommes dans l’attente de la Rédemption finale, prions pour que notre chemin parvienne à des lignes convergentes.

Il est évident que le dialogue entre nous, Chrétiens, et les Juifs se situe sur un plan différent, par rapport à celui que nous avons avec les autres religions. La foi dont témoigne la Bible des Juifs, qui est l’Ancien Testament des Chrétiens, n’est pas pour nous une autre religion, mais le fondement de notre foi. C’est pourquoi les Chrétiens - et aujourd’hui encore davantage en collaboration avec leurs frères juifs - lisent et étudient avec une telle attention, comme une partie de leur héritage même, ces livres de la Sainte Écriture.


















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