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No hate. No violence
Races? Only one Human race
United We Stand, Divided We Fall
Know Your enemy!
-No time to waste. Act now!
Tomorrow it will be too late
You are what you know and what you do with what you know -¤- Freedom of Speech - Use it or lose it!
 
Le boucher de Beyrouth contre
contre
La conférence de Beyrouth!
Mais....
Les préparatifs de la
conférence de Beyrouth
[du 31 mars au 4 avril 2001]
vont bon train


Mark Weber, directeur de l'Institute for Historical Review, confirme que les préparatifs de la conférence de Beirouth [du 31 mars au 4 avril 2001) vont bon train. Trois grandes organisations juives exigent du gouvernement libanais son interdiction: il s'agit du Congrès juif mondial, de l'Anti-Defamation League et du Centre Simon Wiesenthal . A ces organisations se sont joints le gouvernement américain et un certain nombre de membres du Congrès americain.

A ce jour, des journalistes américains, britanniques, allemands, japonais, libanais, égyptiens et iraniens se sont déjà inscrits pour couvrir l'événement. Les interventions se feront en arabe, en français et en anglais.

"En exigeant l'interdiction d'une telle réunion pacifique et privée, ces groupes sionistes trahissent un double langage", dit Mark Weber, qui fait remarquer que de telles réunions se tiennent depuis 20 ans aux Etats-Unis. "Que ces groupes juifs, supporters ardents de la politique tyrannique et criminelle d'Israël, osent exiger quoi que ce soit du Liban, pays qui a été à plusieurs reprises victime de l'agression sioniste, est d'une arrogance effrontée", ajoute M. Weber.

"Cette tentative scandaleuse d'étouffer la liberté de parole et d'expression montre d'autant mieux combien une telle conférence est nécessaire. Nous espérons que les autorités libanaises traiteront cette exigence des sionistes avec le mépris qu'elle mérite", dit M. Weber.

Parmi les participants à cette conférence, citons:

- Robert Faurisson
- Maître Eric Delcroix
- Henri Roques
- Roger Garaudy
- René-Louis Berclaz
(Suisse, de l'Association Vérité & Justice)
- Horst Mahler
(avocat allemand de renom)
- Fredrick Toben (directeur de l'Adelaide Institute d'Australie)
- Oleg Platonov
(historien russe)
- et bien d'autres intervenants dont le nom n'est pas divulgué pour le moment, le tout sous la direction de Jürgen Graf et Mark Weber.

Pour toute information sur la conférence de Beyrouth, y compris les formalités d'inscription, reportez-vous à la section "Beirut 2001" du site de l'IHR: http://ihr.org

***
Rivarol
23 fevrier 2001

"USA: Des "négationnistes"
qui éclipsent Sabra et Chatila
Remarquable concours de circonstances: alors que le "boucher de Beyrouth"
est élu premier ministre d'Israël, la police de la pensée crie haro sur une
colloque d'histoire qui est censé se dérouler dans la capitale libanaise au
début du printemps.
C'est pourtant dès le 26 décembre 2000 que la conférence internationale sur
le thème "Révisionnisme et sionisme", prévue pour quatre jours à partir du
31 mars prochain, a fait l'objet d'une publicité de la part de l'Institute
for Historical Review (IHR), co-organisateur états-unien de l'événement.
Du côté européen, on note la collaboration de l'organisme "Vérité et
Justice" que dirige Jürgen Graf. Cet auteur suisse a été condamné à quinze
mois de prison pour avoir diffusé des thèses non-conformistes sur la IIe
Guerre mondiale, notamment dans son ouvrage L'Holocauste au scanner. 
Au lieu de purger une peine qui déshonore la justice helvétique, il a préféré s'exiler. A la mi-novembre, Graf a été chaleureusement accueilli à Téhéran où il |oevre depuis dans le milieu universitaire. [L´organisation juive] Anti-Defamation League du B'naï B'rith
(ADL) a mis
beaucoup de temps à réagir à l'avancée de l'IHR au Proche-Orient. Elle ne l'a
fait que le 11 février - cinq jours après la victoire d'Ariel Sharon -, au moyen d'un communiqué dans lequel elle s'alarme de "la première conférence importante sur la négation de l'Holocauste qui ait été programmée dans un pays de langue arabe". D'après cette
ADL qui sait tout et devine tout, les
éventuelles délibérations se résumeront à de "la haine envers Israël et le peuple juif". Il est à souligner que, selon le libellé même de l'anathème, celui-ci a été jeté non pas à Washington mais à "Jérusalem (Israël)". Il se trouve que l'inamovible directeur de l'
ADL, Abraham Foxman, s'est rendu là-bas à la suite de l'élection de Sharon. Le leader du Likoud a accordé un entretien au grand inquisiteur de l'ADL, la rencontre ayant lieu - "par hasard" sans doute - le 11 février. S'il faut en croire le quotidien israélien "Ha'aretz" (13 février), Sharon table sur les groupes judéo-américains pour bien inspirer le Congrès et le gouvernement des Etats-Unis, à la différence de son prédécesseur Ehoud Barak qui comptait d'abord sur de nombreux appuis à la Maison-Blanche. L'intervention de Foxman ressemble fort à un écran de fumée derrière lequel évolue Sharon, figure emblématique du sionisme extrême et criminel de guerre qui se fait passer pour un guerrier. Le mouvement politique fondé par Theodor Herzl est décidément en fâcheuse posture si ses porte-drapeau en sont réduits à des procédés d'influence aussi grossiers. L'affaire IBM qui, "par pure coïncidence" évidemment, a éclaté sur les deux bords de l'Atlantique le 11 février avec le concours du "Sunday Times", de "L'Express", du "Washington Post", etc. sent elle aussi la panique. Avant le géant de l'informatique, nulle firme états-unienne majeure n'avait été mise en cause avec tant de véhémence dans la dernière ronde des revendications
[chantages] liées au IIIe Reich. Que l'Europe ne soit plus l'unique théâtre du chantage politico-financier [juif], cela paraît trahir un certain désarroi. Petits faits troublants, une poursuite a été engagée à New York le 10 février et
l'avocat qui est responsable du recours collectif, Michael Hausfeld, a déclaré que
les dommages-intérêts que la société IBM risque de verser "seraient affectés
[à la propagande juive], à l'éducation holocaustique ["Holocaust education"] et
n'irait pas aux demandeurs" (dépêche de l'Associated Press, 12/02/2001). Voilà qui est clair. Gilbert GENDRON.

9 mars 2001
Les vrais négationnistes sont ceux qui
nient l'existence du peuple palestinien

Puisque "les vrais négationnistes sont ceux qui nient l'existence du peuple palestinien", lequel serait lui-même "victime d'un véritable génocide" (ce qui nous paraît pousser le bouchon un peu loin si les mots ont encore un sens), c'est à Beyrouth qu'est prévue du 31 mars au 3 avril la "Conférence internationale sur le Révisionnisme et le Sionisme" organisée par l'Association Vérité et Justice (1). Aura-t-elle effectivement lieu? L'Elysée et Matignon notamment exercent de très fortes pressions sur le Premier ministre libanais Rafic Hariri, intime de Jacques Chirac de passage à Paris cette semaine, et sur le président Emile Lahoud, qui doit justement se rendre en visite officielle en France, pour que cette conférence soit différée, voire interdite. Jusqu'à présent, Beyrouth a toutefois tenu bon.

 

(1) CP 355, CH-1818 Châtel-Saint-Denis, <http://ihr.org>.

***
Tehran Times
4 mars 2001

"Washington déconseille au Liban d'accueillir une conférence sur le sionisme.

Selon un quotidien libanais, Washington aurait déconseillé au Liban d'accueillir une conférence sur le sionisme. Le quotidien Al-Safir, dont le siège se trouve à Beyrouth, a rapporté samedi que le Département d'Etat américain avait transmis la demande par l'intermédiaire de l'ambassadeur américain à Beyrouth et l'ambassadeur libanais à Washington.

Il était dit également que des députés américains ainsi que des organisations juives de ce pays avaient tenté de présenter la conférence, intitulée "Sionisme et Révisionnisme", comme antisémite et raciste. D'après le quotidien, le Congrès aurait laissé entendre que la tenue de cette conférence risquerait d'avoir une incidence sur l'attitude de l'Amérique et l'aide apportée au Liban.

La conférence a été organisée par l'association suisse Vérité & Justice et par l'Institute for Historical Review dont le siège se trouve en Californie, lisait-on encore.

Le journal ajoutait que la conférence avait pour but de réfuter les allégations des sionistes au sujet du prétendu Holocauste. Le quotidien citait également des sources américaines affirmant que, compte tenu de la liberté d'expression existant au Liban, les autorités ne seraient pas en mesure d'interdire la conférence."


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