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Le professeur Robert Faurisson
devant le tribunal juif !
Une nouvelle fois, le professeur Robert Faurisson a comparu le mardi 11 juillet 2006 devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris dans un nouveau proc�s politique juif qui juge un professeur et chercheur fran�ais uniquement pour les r�sultats de ses recherches et pour ses opinions. Qui "forme", ou - � vrai dire - qui d�forme - ces "juges" ou cette "justice"? Qui g�re ces proc�s m�di�vaux juifs, � l�aube duvingt-et-uni�me si�cle, pour appliquer une vieille "justice" juive d�j� vue en action dans le proc�s qui a condamn� J�sus et graci� le voleur Barabbas !? Pour r�pondre � cette question, il convient de savoir que cette audience du 11 juillet 2006 �tait pr�sid�e par Nicolas Bonnal, vice-pr�sident du Tribunal de grande instance de Paris. Qui est ce Nicolas Bonnal ? Selon une note officielle du CRIF (Conseil Repr�sentatif des Institutions Juives de France) en date du 5 juillet 2006: "Pour la seconde ann�e cons�cutive, l�Ecole Nationale de la Magistrature (ENM ) a convi� Marc Knobel (un activiste extr�miste juif du CRIF ), � participer � la formation continue de l�ENM, qui porte cette ann�e sur la 'Cybercriminalit� et les atteintes � la dignit� humaine en Europe' et que "Une cinquantaine de magistrats fran�ais assistent � cette formation" ... dont ledit Nicolas Bonnal, " juge" ainsi juivement juridiquement d�form� en policier juif de la penss�e! Un v�ritable scandale "judiciaire", et un vrai massacre juif de la justice en France! Pour plus de d�tails voici , trouv� sur Internet, un communiqu� du professeur Robert Faurisson dat� du 8 juillet 2006, relatif � ce sujet :
Professeur Robert FAURISSON 8 juillet 2006
Vais-je compara�tre devant un juge form� par le CRIF et le Centre Simon-Wiesenthal ?
Le CRIF (Conseil repr�sentatif des institutions juives de France) est pr�sid� par le banquier Roger Cukierman, qui a autrefois exerc� de hautes responsabilit�s au sein du groupe Edmond de Rothschild.
Dans un communiqu� en date du 5 juillet 2006, le CRIF rappelle clairement qu�il assure une � formation � des magistrats europ�ens ; or, au nombre desdits magistrats qui ont assist� � ces stages de formation, dirig�s par Marc Knobel, attach� de recherches au Centre Simon-Wiesenthal, le CRIF cite Nicolas Bonnal, qui, dans trois jours, va pr�sider le tribunal devant lequel je suis cit� � compara�tre, et le procureur adjoint Fran�ois Cordier.'D�apr�s l�Annuaire de la magistrature 2000 (p. 476), Nicolas Bonnal, n� le 2 novembre 1960 � Plaisir (Yvelines), poss�de un � dipl�me de l�Institut d��tudes politiques de Paris �.
Le mardi 11 juillet 2006, � 13h30, il pr�sidera le tribunal de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris (m�tro : Cit�), o� je compara�trai pour avoir accord�, le 3 f�vrier 2005, un entretien de caract�re r�visionniste � la station de t�l�vision iranienne Sahar 1.
En la circonstance, le d�lateur a �t� le CSA (Conseil sup�rieur de l�audiovisuel), pr�sid� par Dominique Baudis.
Fran�ois Cordier, n� le 27 juillet 1952 aux Sables-d�Olonne (Vend�e), poss�de une licence en droit et une licence d�anglais.
Le 9 mai 1995, il s��tait permis de requ�rir contre moi une peine de trois mois d�emprisonnement ferme pour avoir publi� une R�ponse � Jean-Claude Pressac sur le probl�me des chambres � gaz. Pressac avait pr�tendu poss�der des ��l�ments de preuves � de l�existence de chambres � gaz nazies.
J�avais obtenu sa comparution � l�audience. Devant un Fran�ois Cordier d�contenanc� et une pr�sidente, Martine Ract-Madoux, stup�faite, le malheureux Pressac avait alors manifest� un tel d�sarroi devant les questions pos�es que les larmes lui en �taient mont�es aux yeux.
Peu apr�s, Pressac signait une sorte d�acte de capitulation, dont le texte ne nous a �t� r�v�l� qu�en 2000 par Val�rie Igounet tout � la fin de son Histoire du n�gationnisme en France (Paris, Gallimard, p. 651-652).
Pressac reconnaissait, comme l�avait fait avant lui le professeur Michel de Bo�ard, que le dossier de l�histoire officielle de la d�portation �tait, en fin de compte � pourri � par trop de mensonges, irr�m�diablement pourri au point d�en �tre vou�, �crivait-il, aux � poubelles de l�histoire �.
� Le CRIF partie active de la
formation des magistrats europ�ens �Le 12 octobre 2004, le CRIF �tait intervenu avec efficacit� aupr�s du CSA pour que ce dernier refuse de conventionner une t�l�vision arabe qui, malheureusement pour elle, se trouvait d�plaire aux sionistes (http://www.col.fr/breve�1778.html).
Le 7 juin 2005, sous son en-t�te habituel, � Le Crif en action �, il titrait : � S�minaire d��tude � l�ENM [Ecole nationale de la magistrature] : les nouveaux visages du racisme et de l�antis�mitisme �. Et cette ann�e, sous le m�me en-t�te il vient de publier le communiqu� suivant, dat� du 5 juillet 2006 :
Le Crif en action
Le CRIF
partie active de la formation
des magistrats europ�ens
05/07/06
Internet
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7222&artyd=2&stinfo=297.376.1467Pour la seconde ann�e cons�cutive, l�Ecole Nationale de la Magistrature (ENM) a convi� Marc Knobel, Chercheur au CRIF, � participer � la formation continue de l�ENM, qui porte cette ann�e sur la � Cybercriminalit� et les atteintes � la dignit� humaine en Europe. �
L�apparition des nouvelles technologies de la fin du XX�me si�cle n�est pas sans incidence sur la d�linquance tant nationale qu'internationale. Ainsi, il a �t� possible d�observer un double mouvement : d�une part les criminalit�s classiques se sont mises � utiliser, de plus en plus, les nouveaux m�dias et, d�autre part, sont apparues de nouvelles formes sp�cifiques d�activit�s illicites, notamment le racisme, l�antis�mitisme et le n�gationnisme sur l�Internet. Contre ce ph�nom�ne tr�s pr�occupant et cette cybercriminalit�, des r�ponses techniques, pr�ventives et r�pressives, ainsi que juridiques existent : signature �lectronique, techniques d�investigation et de preuve, harmonisation des infractions, renforcement de la proc�dure et de la coop�ration internationale. Lors de ce s�minaire, Marc Knobel a expliqu� que les extr�mistes et les fondamentalistes utilisent syst�matiquement et rationnellement l�Internet pour embrigader de nouvelles recrues, pr�parer des actions militantes, inciter � la violence ou faire l�apologie du terrorisme. Il a �galement parl� des autres outils et supports qui sont utilis�s par les extr�mistes : cassettes, vid�os, CD, DVD, jeux, disquettes, t�l�visions�
Une cinquantaine de magistrats fran�ais assistent � cette formation (de m�tropole, de Martinique, Guadeloupe, Guyane, R�union, Polyn�sie Fran�aise, Nouvelle Cal�donie), ainsi que des repr�sentants des diff�rents minist�res (Justice, Int�rieur�). Le s�minaire est organis� sur financement de la Commission europ�enne et il est �galement ouvert aux magistrats europ�ens, dans le cadre du R�seau Europ�en de Formation Judiciaire (REFJ). Une quarantaine de magistrats d�Allemagne, Belgique, Espagne, Gr�ce, Hongrie, Italie, Luxembourg, Pologne, R�publique Tch�que, Roumanie, participent � cette formation exceptionnelle. Ont �galement particip� � ce s�minaire : Nicolas Bonnal, vice-pr�sident au Tribunal de grande instance de Paris, Fran�ois Cordier, Procureur de la R�publique adjoint pr�s le Tribunal de grande instance de Paris, Brigitte Pesquie, membre du bureau des �tudes et de l�informatique � la Direction des Affaires Criminelles et des Gr�ces au Minist�re de la Justice et Myriam Quemener, sous-directrice de la justice p�nale g�n�rale, au Minist�re de la Justice.
Le CRIF constitue un Etat dans l�EtatPr�tendant repr�senter un tiers des 600 000 juifs de France, c�est-�-dire un tiers de un pour cent de la population fran�aise, le CRIF constitue un Etat dans l�Etat. J�ai suffisamment trait� du sujet dans mes �crits ant�rieurs pour ne pas avoir � y revenir ici (voy., par exemple, � Juivre ou mourir �, 22 mars 2003 avec les additifs de 2004, 2005 et 2006).
En chaque d�but d�ann�e, une quinzaine de nos ministres en exercice et un nombre consid�rable de repr�sentants de l�autorit� politique, judiciaire, polici�re, universitaire, sans compter les ambassadeurs, y compris parfois notre � ambassadeur itin�rant en charge de la dimension internationale de la Shoah � (sic), se pressent au d�ner casher donn� par le CRIF. L� ils �coutent Roger Cukierman lancer � la face du Premier ministre et des autres membres du gouvernement fran�ais r�criminations, remontrances et MENACES, pr�c�d�es de flatteries.
Dans leurs propres discours en r�ponse, nos Premiers ministres ne manquent jamais de se confondre en remerciements et de promettre qu�ils feront plus, encore plus et toujours plus, contre l�hydre de l�antis�mitisme et du � n�gationnisme �, c�est-�-dire du r�visionnisme historique.
M�me des militants de l�antiracisme
d�noncent l�action du CRIFLe pouvoir du CRIF est devenu si exorbitant que m�me l�Observatoire du communautarisme, connu pour sa lutte
contre le racisme et l�antis�mitisme, a fini par s�en �mouvoir.
Le 20 mars 2004, cet observatoire, fond� en juillet 2003 par Julien Landfried, a publi� le communiqu� suivant :[Observatoire du communautarisme.� Informations sur la la�cit�, les discriminations et le racisme. Observatoire ind�pendant d�information et de r�flexion sur le communautarisme, la la�cit�, les discriminations et le racisme - http://www.communautarisme.net index.php?action=syndication]
� Le CRIF promu gendarme du Net ? �
L�Etat peut-il d�l�guer certaines de ses attributions � des associations communautaires, f�t-ce au nom de la lutte contre le racisme et l'antis�mitisme ?
En compte rendu du troisi�me comit� interminist�riel de lutte contre le racisme et l'antis�mitisme, le site du premier ministre annonce ce jour un partenariat renforc� entre le minist�re de l�int�rieur et le Conseil repr�sentatif des Institutions Juives de France dans la lutte contre les contenus racistes et antis�mites sur la toile (1).Ce partenariat devrait notamment prendre la forme d�� une liaison Internet directe entre le CRIF, les fournisseurs d'acc�s et l�Office Central de Lutte contre la Criminalit� sur Internet ...
pour permettre le signalement imm�diat des sites racistes et antis�mites et le d�clenchement des investigations polici�res. �Nul ne contestera au CRIF une comp�tence sp�cifique en mati�re d�antis�mitisme.
Dans le contexte particulier d�une recrudescence des violences commises � l�encontre de juifs, l�institution s�est notamment dot�e d�un � service de protection de la communaut� juive � dont l�action la plus visible a �t� la mise en place d�un � num�ro vert � (2) pour recueillir le signalement des victimes potentielles.
Il peut aussi compter dans ses rangs sur l�expertise d�un sp�cialiste de la lutte contre les contenus racistes et antis�mites sur la toile en la personne de Marc KNOBEL, attach� de recherches au Centre Simon-Wiesenthal et pr�sident de l�association � J�accuse - AIPJ ( Action Internationale Pour la Justice) � ( http://www.chez.com/aipj ).
Toutefois, et sauf � ce que cette collaboration que l�on esp�re fructueuse ne soit ult�rieurement �tendue � l�ensemble des associations antiracistes ( le cas �ch�ant au moyen d�un dispositif ad�quat de coordination ), on s��tonnera que cette d�cision semble m�conna�tre le principe de neutralit� de l�Etat en confiant l�identification des contenus racistes et antis�mites de l�Internet � une organisation particuli�re et exclusivement communautaire.
Il conviendrait, pour le moins, de s�assurer que l�association d�sormais d�l�gataire (?) dispose des ressources n�cessaires � la prise en compte dans ses recherches de toutes les formes de x�nophobie, et surtout en manifeste la volont�.
Enfin, il n�est pas d�montr� que le CRIF ait exactement la m�me appr�ciation que la puissance publique sur la caract�risation des actes antis�mites, si l�on s�en r�f�re du moins � quelques d�clarations h�tives sur le sujet et � l�activisme judiciaire qu�il a r�cemment d�ploy� � l�encontre de personnalit�s � pour un certain nombre relax�es des accusations d�antis�mitisme port�es contre elles � qui ne partagent pas sa vision tr�s personnelle du conflit proche-
oriental.Quant aux esprits chagrins, ils ne pourront s�emp�cher de noter qu�une telle d�claration minist�rielle intervient fort opportun�ment � quarante-huit heures d��ch�ances �lectorales que d�aucuns pr�disent mal engag�es pour le parti majoritaire.
La XVIIe chambre d�Epuration ?
A Paris, pendant plusieurs ann�es � partir de l�automne 1944, des tribunaux sp�ciaux ont comport� des jur�s � issus de la R�sistance � et donc form�s, format�s ou pr�format�s dans le sens n�cessaire pour prononcer les plus lourdes sanctions contre leurs adversaires politiques.
Appartenant d�j� au camp des vainqueurs, ils jugeaient les vaincus. C�est pr�cis�ment, me semble-t-il, dans l�enceinte aujourd�hui occup�e par la XVIIe chambre correctionnelle que, quelques ann�es apr�s la fin de la guerre j�ai assist� au proc�s, r�voltant, du milicien Pierre Gallet.
Le 11 juillet 2006, � la XVIIe chambre, je serai entendu par un juge qui vient d��tre en partie form�, format� ou pr�format� par le CRIF de Roger Cukierman et par le d�nomm� Marc Knobel du Centre Simon Wiesenthal.
En acceptant, de leur plein gr� et non en service command�, de participer � ce stage de formation apparemment technique mais en r�alit� de propagande id�ologique, Nicolas Bonnal et Fran�ois Cordier se sont compromis avec deux officines, le CRIF et le Centre Simon-Wiesenthal, qui sont toutes deux connues pour leur extr�misme en faveur de l�Etat d�Isra�l.
On comprend que lesdites officines se soient h�t�es de publier les noms de ces deux magistrats fran�ais qui, oublieux de leurs obligations professionnelles et morales, ont � ce point apport� leur caution � une entreprise de l�extr�me droite isra�lienne.
Robert FAURISSON
Notes de ce communiqu�
- (1) Troisi�me comit� interminist�riel de lutte contre le racisme et l�antis�mitisme - communiqu� du Premier ministre, Paris, 18 mars 2004
http://www.premier-ministre.gouv.fr/fr/p.cfm?ref=42896&d=1- (2) 0 800 18 26 26. Num�ro vert est une marque d�pos�e de France Telecom.
Samedi 20 mars 2004. �Observatoire du communautarisme - Depuis juillet 2003 - Nous �crire 66 rue de l�Arbre sec 75001 Paris et courriel [email protected]
"La m�moire Juive"... plat de
r�sistance au menu du d�ner du CRIFLe 3 octobre 2006
, le tribunal de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris a
rendu son jugement dans l'affaire de l'interview qu'on me reprochait d'avoir
accord�e � un journaliste de Sahar 1 (station de radio-t�l�vision
iranienne). L'audience avait eu lieu le 11 juillet 2006.
Je suis condamn� � 3 mois de prison avec sursis, � 7 500 euros d'amende. Je
devrai en outre verser 1 euro de dommages-int�r�ts � chacune des trois
associations venues plaider contre moi ainsi que 1 500 euros � chacune
d'entre elles pour frais d'avocat.
J'interjetterai appel et je vous invite � venir nombreux � l'audience d'appel,
en 2007. J'y serai encore plus ferme et encore plus net qu'en premi�re instance.
Les magistrats de Paris sont d�cid�ment � la g�ne avec ces proc�s pour d�lit
de r�visionnisme.
Pas moi. Ni Me Eric Delcroix, mon avocat, que je remercie de sa prestation
et que je f�licite pour sa bravoure.
Robert Faurisson
Robert Faurisson commente sa condamnation
Tue, 03 Oct 2006
Parmi les divers communiqu�s, voici celui de l'Agence
France-Presse sign� "ben/mck/bg" accompagn� [entre crochets] des
rectifications du professeur Faurisson et suivi d'un commentaire:
Justice-histoire-n�gationnisme,LEAD
Le n�gationniste [non : Le r�visionniste] Robert Faurisson condamn� � trois
mois avec sursis
" PARIS, 3 oct 2006 (AFP) - L'ex-professeur de litt�rature [non: je ne suis
pas ex-professeur mais professeur d'universit� � la retraite et ma
sp�cialit� �tait la critique de textes et documents (litt�rature, histoire,
m�dias)] Robert Faurisson a �t� condamn� mardi � trois mois de prison avec
sursis par le tribunal correctionnel de Paris pour des propos niant [non:
contestant] la r�alit� de l'Holocauste diffus�s sur une cha�ne satellitaire
iranienne en f�vrier 2005.
M. Faurisson est �galement condamn� � payer une amende de 7.500 euros.
M. Faurisson, 77 ans, a �t� reconnu coupable par la 17e chambre du
tribunal correctionnel de Paris de "complicit� de contestation de
l'existence de crime contre l'humanit�" pour avoir ni� [non: contest�] la
r�alit� du g�nocide juif et l'existence des chambres � gaz sur la cha�ne
satellitaire gouvernementale Sahar 1, le 3 f�vrier 2005.
"Il n'a jamais exist� une seule chambre � gaz d'ex�cution chez les
Allemands, pas une seule (...). Par cons�quent, ce que des millions de
touristes visitent � Auschwitz, c'est un mensonge, c'est une falsification,
c'est une tromperie pour touristes", avait notamment d�clar� l'ex-professeur
de litt�rature [non: voyez ci-dessus] � l'Universit� de Lyon.
Le 11 juillet 2006, le minist�re public [invoquant "Yahweh, Dieu protecteur de
son peuple �lu"] avait requis de la prison assortie ou non de sursis. M.
Faurisson, qui � l'audience s'�tait livr� � une diatribe [non: � une
d�fense] r�visionniste en "maintenant" ses d�clarations � la t�l�vision
iranienne, encourait un an de prison et 45.000 euros d'amende.
La LICRA juive (Ligue juive internationale raciste), le MRAP juif (Mouvement
raciste juifs) et la Ligue des droits (uniquement) des juifs (LDH) �taient "partie
civile". M. Faurisson devra leur verser un euro de dommages et int�r�ts
[et, � chacune de ces organisations, 1.500 euros pour leurs frais d'avocat].
ben/mck/bg
Le professeur Faurisson a d�clar�:
"C'est d�risoire en comparaison de ce qu'on nous a inflig�, durant ces
vingt-cinq derni�res ann�es, � ma femme, � mes enfants et � moi-m�me.
C'est encore plus d�risoire en comparaison de ce qu'on inflige � Z�ndel, �
Reynouard et � bien d'autres r�visionnistes fran�ais ou �trangers."
AFP-MAIL : Justice-histoire-r�visionnisme-r�actions
Condamnation du r�visionniste Robert Faurisson: Les organisations juives la
Licra et la LDH satisfaites !!
PARIS, 3 oct 2006 - La Licra Juive et la LDH juive se sont f�licit�es mardi
3 oct 2006 de la condamnation � trois mois de prison avec sursis du professeur
Robert Faurisson pour des propos contstant la r�alit� de l'Holocauste diffus�s en
f�vrier 2005 sur une cha�ne satellitaire iranienne.
Ces organisations juives �taient partie civile.
Dans ce proc�s et M.Robert Faurisson, 77 ans, �galement condamn� � une
amende de 7.500 euros, devra leur verser un euro de dommages et int�r�ts.
l'Homme (LDH) Jean-Pierre Dubois.
La loi antir�visionniste fran�aise
Par:
Jessie Aitken
9 octobre 2006La loi antir�visionniste fran�aise date du 13 juillet 1990. Elle est connue sous diverses appellations : � loi Gayssot �, � loi Fabius-Gayssot �, � loi Faurisson �, � lex Faurissonia � ou encore � article 24bis � (de la loi du 29 juillet 1881 sur la libert� de la presse). Elle pr�voit une peine d�emprisonnement qui peut aller jusqu�� un an ainsi qu�une amende d�un maximum de 45 000 euros pour toute personne contestant publiquement l�existence d�un ou plusieurs � crimes contre l�humanit� � tels que d�finis et condamn�s essentiellement par le Tribunal militaire international de Nuremberg en 1945-1946. A la peine de prison et � l�amende peuvent s�ajouter le versement de dommages-int�r�ts au profit d�associations juives ou autres ainsi que de lourds frais de publication du jugement de condamnation dans les m�dias ; enfin, peut aussi �tre prononc�e la confiscation du mat�riel de travail et des livres et documents saisis par la police.
Il est inexact de dire que cette loi interdit la contestation de la totalit� du jugement de Nuremberg. Elle n�interdit que la contestation des crimes cens�ment commis contre � l�humanit� �, c�est-�-dire, d�abord et avant tout, contre les juifs. Or la portion du texte du jugement de Nuremberg qui traite de ce sujet-l� n�occupe que 2% de l�int�gralit� dudit jugement. On reste donc libre, du moins en principe, de contester publiquement les 98 autres pour cent de ce jugement. Ne sont, par cons�quent, d�cr�t�s incontestables que les seuls crimes qui auraient �t� commis, avant tout, contre les juifs. Saluons l� un �tonnant privil�ge accord� au b�n�fice exclusif du � peuple �lu � de Dieu !
Ce sont les juifs de France qui, en mai 1986, ont �t� les premiers � r�clamer l�instauration d�une telle loi. A l��poque, l�Etat d�Isra�l s�appr�tait � voter une loi antir�visionniste qui allait finalement �tre adopt�e par la Knesset deux mois plus tard, en juillet 1986. Le promoteur de la loi antir�visionniste fran�aise a �t� le grand rabbin de France Ren�-Samuel Sirat. C�est sous son �gide qu�en mai 1986 ont r�clam� une telle loi des universitaires juifs, tel Pierre Vidal-Naquet, et des propagandistes juifs, tels Serge Klarsfeld et Georges Wellers (Bulletin quotidien de l�Agence t�l�graphique juive, 2 juin 1986, p. 1 et 3).
Ces juifs ont d� attendre quatre ans pour obtenir satisfaction. Un gouvernement de coalition socialo-communiste, sous la pr�sidence de Fran�ois Mitterrand, a enfin vot� cette loi le 13 juillet 1990. Mais, bien avant l�instauration de ladite loi, le r�visionnisme historique avait �t� l�galement r�prim�. Les motifs les plus divers �taient invoqu�s : apologie du crime, diffamation raciale, provocation � la haine raciale, publication d�ouvrages dangereux pour la jeunesse, dommage � autrui, etc. Par exemple, c�est pour � apologie de crime � que Maurice Bard�che a �t� mis en prison pour avoir publi� en 1948 Nuremberg ou la Terre promise.
L�homme politique dont l�action a �t� d�terminante pour la r�daction et pour le vote de la loi du 13 juillet 1990 est Laurent Fabius. Candidat possible, aujourd�hui, � la pr�sidence de la R�publique en 2007, L. Fabius est un juif, un millionnaire et un socialiste. En 1990, il �tait pr�sident de l�Assembl�e nationale. Dans cette assembl�e se trouvait un communiste assez fruste et inculte, Jean-Claude Gayssot, ministre des Transports. Ce dernier voulait pr�senter, au nom du Parti communiste, une loi antiraciste visant Jean-Marie Le Pen, responsable du Front national. Mais le texte de sa proposition de loi �tait mal r�dig�. C�est alors que L. Fabius a conclu un arrangement avec son coll�gue communiste. Au texte mal r�dig� il a substitu� un texte qu�avait pr�par� le Parti socialiste et qui visait � la fois Jean-Marie Le Pen pour � racisme � et le professeur Robert Faurisson pour � n�gation de l�extermination des juifs � et L. Fabius a accord� � J.-C. Gayssot le privil�ge de pr�senter sous son nom ce projet de loi devenu, pour le coup, � la fois antiraciste et antir�visionniste. L�affaire une fois conclue entre le juif L. Fabius et le communiste J.-C. Gayssot, il restait � d�fendre ce projet de loi devant l�Assembl�e nationale et le S�nat. La t�che s�annon�ait ardue. Nombre de juristes, d�universitaires et d�hommes politiques s��levaient contre le principe d�une telle loi, jug�e stalinienne, quand, soudain, un �v�nement providentiel en a permis le vote par la majorit� socialo-communiste. En effet, le 11 mai 1990, �clatait dans la presse du monde entier le scandale de tombes juives � profan�es � dans un cimeti�re de Carpentras, petite ville du midi de la France. L. Fabius prenait alors la t�te d�une tonitruante op�ration de propagande destin�e � faire croire que l�antis�mitisme ressurgissait en France, un antis�mitisme nourri par le r�visionnisme. Des dizaines de milliers de manifestants, brandissant des drapeaux isra�liens, allaient d�filer, notamment � Paris, o� � pour la premi�re fois depuis ao�t 1944, � la lib�ration de Paris � on a fait sonner le bourdon de la cath�drale Notre-Dame. L�intimidation a �t� si forte qu�il ne s�est pas trouv� un minimum de soixante d�put�s et s�nateurs pour oser saisir le Conseil constitutionnel et lui demander si cette loi �tait conforme ou non � la Constitution de la R�publique fran�aise.
Mais, une fois adopt�e, la loi antir�visionniste s�est r�v�l�e d�une application laborieuse. La premi�re condamnation a �t� prononc�e en avril 1991, � Paris, contre le professeur Faurisson et, dans ces quinze derni�res ann�es, il est probable que le total des autres condamnations d�finitives prononc�es, soit contre le professeur, soit contre d�autres r�visionnistes, s�est �lev� � une vingtaine. Les peines financi�res ont �t� parfois tr�s lourdes et, dans ces derniers temps, diverses peines de prison ferme ont �t� prononc�es, mais jusqu�� pr�sent personne n�a �t� effectivement incarc�r� en France sur le seul fondement de la loi antir�visionniste du 13 juillet 1990.
Cette loi est de nature sovi�tique. Elle supprime surtout la libert� de recherche. Or cette libert�-l� ne peut normalement se voir assigner de limite en mati�re d�histoire. L�histoire des hommes est faite de milliards d��v�nements sur lesquels chacun est, en principe, autoris� � se poser des questions et � proposer librement son interpr�tation. On se demande donc comment un point, et un seul, de l�histoire des hommes, parmi des milliards d�autres, peut �tre ainsi mis � part et interdit de vraie recherche. Car c�est interdire la recherche que de d�cr�ter d�avance le r�sultat auquel le chercheur doit parvenir. Il est stalinien de dire, par exemple, � un chercheur qui �tudie � le probl�me des chambres � gaz nazies � : � 1) Vous devrez conclure de votre recherche que les chambres � gaz nazies ont r�ellement exist� et fonctionn� bien que nous ne poss�dions aucune expertise criminelle �tablissant l�existence d�une seule de ces armes de destruction massive ; 2) Vous devrez, en outre, conclure que ces abattoirs chimiques ont eu une existence r�elle dans tel camp et une existence fictive dans tel autre camp ; 3) Vous devrez enfin conclure que le total des morts juives dans la Deuxi�me guerre mondiale reste invariablement de six millions comme l�ont d�cr�t� ex cathedra les juges de Nuremberg sans pouvoir s�appuyer sur aucune expertise criminelle *�.
Il est stup�fiant qu�une loi de la R�publique fran�aise d�clare ainsi l�infaillibilit�, en mati�re d�histoire, d�un simple tribunal, celui de Nuremberg. Ce tribunal se disait � militaire � alors qu�il ne l��tait pas. Il se disait � international � alors qu�il n��tait qu�interalli�. Il n��tait pas m�me un tribunal au sens propre du mot car, exclusivement constitu� de vainqueurs jugeant exclusivement et � chaud leurs propres vaincus, il �tait juge et partie. Il jugeait souverainement sans possibilit� d�appel. Il pratiquait la r�troactivit� des lois. Il instituait la responsabilit� collective. Il n��tait � pas li� par les r�gles techniques relatives � l�administration des preuves � (article 19 de son Statut). Il n�exigeait pas que f�t rapport�e la preuve de � faits � qu�il consid�rait, sans donner ses raisons, comme � de notori�t� publique � et il accordait automatiquement � valeur de preuve authentique � � tout rapport des commissions des crimes de guerre accusant les vaincus (article 21).
Si, en France, cette loi a �t� exig�e par les juifs les plus influents, c�est parce que ces derniers ont �t� pris de panique en constatant que les historiens en place �taient incapables de r�pondre aux r�visionnistes sur le plan de l�argumentation scientifique, technique et historique. Quand, en 1978-1979, le professeur Faurisson a clairement mis en �vidence les impossibilit�s techniques des pr�tendues ex�cutions massives dans des chambres � gaz et quand il a lanc� : � Expliquez-nous comment un tel meurtre de masse a �t�, pour vous, possible techniquement �, on lui a piteusement r�pondu : � Il ne faut pas se demander comment un tel meurtre de masse a �t� possible techniquement ; il a �t� possible techniquement puisqu�il a eu lieu � (Le Monde, 21 f�vrier 1979). Le m�me professeur a ainsi pos� toute une s�rie de questions d�une grande simplicit� auxquelles on a �t� incapable de r�pondre. En outre, il a prouv� que des photographies et des documents invoqu�s par ses accusateurs avaient �t� soit d�natur�s ou falsifi�s, soit d�tourn�s de leur sens. On a r�pondu au professeur par des agressions physiques, par l�interdiction, en fait, d�enseigner et, surtout, par des proc�s. Mais ces proc�s n�ont pas vraiment pris la tournure esp�r�e par les juifs. Bien s�r, le professeur Faurisson a �t� condamn�, par exemple, pour � dommage � autrui � mais jamais, ainsi que le demandaient les juifs, pour � falsification de l�histoire �. Au contraire, le 26 avril 1983, la premi�re chambre de la Cour d�appel de Paris l�a condamn� en rendant toutefois un hommage appuy� � la qualit� de son travail sur ce qu�elle a appel� � le probl�me des chambres � gaz �. Cette cour a conclu que, dans le travail du professeur sur ce sujet, il n�y avait aucune trace de l�g�ret�, de n�gligence, d�ignorance d�lib�r�e ou de mensonge et qu�en cons�quence tout le monde d�sormais devait avoir le droit d�affirmer que les chambres � gaz n�avaient pas exist� ! Dans le langage des magistrats, cela donnait exactement : � La valeur des conclusions d�fendues par M. Faurisson [sur le probl�me des chambres � gaz] rel�ve DONC de la seule appr�ciation des experts, des historiens et du public �. Dans cette p�riode qui allait conduire au vote de la loi antir�visionniste, les juifs savaient aussi que le professeur avait �t�, sur le plan historique et scientifique, l�inspirateur et l�organisateur de la d�fense d�Ernst Z�ndel dans ses deux longs proc�s de Toronto, en 1985 et en 1988. Ces proc�s ont tourn� � la confusion pour l�ensemble des tenants de la th�se du pr�tendu � Holocauste �. Le proc�s de 1985 a �t� une catastrophe particuli�re pour les juifs Raul Hilberg et Rudolf Vrba. Le premier pouvait �tre consid�r� comme l�historien Number One et le second comme le t�moin Number One de la pr�tendue � destruction des juifs d�Europe �.
Les r�visionnistes ont ainsi accumul� une longue s�rie de victoires. Mais le grand public l�ignore. L�emprise des juifs sur les m�dias et leurs multiples proc�d�s d�intimidation sont tels que le public a �t� largement tenu dans l�ignorance de ces victoires. Aujourd�hui encore, en d�pit du d�veloppement g�n�ralis� d�Internet, cette ignorance persiste.
Aujourd�hui, la loi antir�visionniste fran�aise est encore en vigueur mais ceux qui s�imaginaient qu�elle serait un rempart contre les progr�s du r�visionnisme doivent d�chanter. Du simple fait de son existence, cette loi est en quelque sorte devenue l�une des meilleures preuves que l�histoire officielle est impuissante � se d�fendre avec des arguments, des preuves et des documents dans un libre d�bat public.
Ce d�bat au grand jour, les r�visionnistes n�ont cess� de le proposer et, quelle que doive �tre la violence de la r�pression qu�on exerce contre eux, ils ne cesseront de le r�clamer. Les r�visionnistes n�ont pas peur de la lumi�re ; au contraire, ils la recherchent.
* Les juges de Nuremberg ont �crit que ce chiffre de six millions venait d�Eichmann. Or, ils savaient qu�il s�agissait l� d�une estimation pr�t�e par l�un des collaborateurs de l�accusation am�ricaine, le SS Wilhelm H�ttl, � son coll�gue Adolf Eichmann (qui avait disparu). En 1961, � J�rusalem, ce dernier opposera un d�menti formel devant la justice isra�lienne et, en 1987, W. H�ttl finira par dire qu�il ne fallait pas accorder d�importance � cette � estimation � car Eichmann � �tait ivre le jour o� il avait tenu ce propos d�s � septembre 1944 !