Environ 46 délégations, dont celles de plus de 30 chefs d'État ou de gouvernement, participeront à la "Conférence internationale sur l'Holocauste" qui doit se tenir à Stockholm autour du 27 janvier 2000. Sont attendus, en particulier, un représentant de Bill Clinton (peut-être Hillary Clinton), Robin Cook (représentant Tony Blair), Lionel Jospin, Gerhard Schröder et Ehud Barak. Elie Wiesel sera le président d'honneur de cette conférence. Claude Lanzmann, auteur du film Shoah, sera présent. A proximité du lieu de cette conférence se tiendra une autre conférence, celle du Congrès juif mondial ; elle sera présidée par le milliardaire Edgar Bronfman, lequel a déclaré qu'il convenait pour les juifs d'être "près des décideurs".

Au-delà des motifs invoqués, la véritable raison de cette rencontre internationale extraordinaire est de contrecarrer l'expansion dans le monde entier, largement grâce à Internet, du révisionnisme historique.

Stockholm est généralement considéré comme le centre mondial le plus actif du révisionnisme historique grâce à "Radio Islam" et à son fondateur et responsable Ahmed Rami, citoyen suédois d'origine marocaine. (Documentation ˜ textes et audio ˜ sur Internet : www.abbc.net/islam et abbc.net/faurisson.)  

 Auschwitz n'a jamais été un "camp d'extermination" mais un camp de concentration.
La date du 27 janvier marque l'anniversaire de l'entrée des troupes soviétiques dans ce camp en 1945. Les Soviétiques ont alors eu la stupéfaction de découvrir un camp de concentration beaucoup plus humain et bien mieux équipé que leurs propres camps de concentration, et cela, malgré le spectacle des malades ou des morts demeurés sur place avec d'autres détenus auxquels les Allemands avaient permis de rester. Pendant quatre jours le grand quotidien moscovite Pravda n'a rien dit d'Auschwitz. Quand, enfin, il a mentionné le camp, cela a été pour prétendre ˜ haut et fort ˜ qu'à Auschwitz les Allemands utilisaient principalement· l'électricité pour tuer systématiquement les  détenus ! C'est seulement quatre mois plus tard, le 6 mai 1945, que la Pravda a changé un bobard pour un autre : celui propagé par les juifs américains pour qui Auschwitz était un camp où les Allemands tuaient les internés dans des vastes chambres à gaz. C'est ce dernier bobard qui a encore cours aujourd'hui.

"Un grand faux témoin : Elie Wiesel" : tel est le titre d'une étude rédigée par le Français Robert Faurisson, professeur d'université, spécialiste de l'analyse des textes et des documents. Dans son ouvrage autobiographique, La Nuit, l'imposteur E. Wiesel, ancien détenu d'Auschwitz, a "oublié" de mentionner les chambres à gaz ! Pour lui, les Allemands déversaient leurs victimes dans des fournaises ! Bien traité dans le camp, il avait  choisi, le 18 janvier 1945, avec son père, de quitter Auschwitz avec les Allemands, c'est-à-dire avec les "bourreaux" SS, plutôt que d'attendre les "libérateurs" Soviétiques (www.abbc.net/islam/french/textes/wiesel.htm ou
www.abbc.net/islam/english/revision/wiesel.htm ).

Depuis plus d'un demi-siècle, les organisations réunies au sein du Congrès  juif mondial utilisent avec le plus grand cynisme l'imposture des prétendues chambres à gaz nazies et du prétendu génocide des juifs à des fins politiques et mercantiles. Elles justifient ainsi la cruelle occupation militaire de la Palestine par les juifs ainsi qu'une politique colonialiste, annexionniste, impérialiste. Elles accusent les Allemands d'avoir commis un crime abominable que ceux-ci n'ont, en fait, jamais commis. Elles accusent les alliés de l'Allemagne d'avoir participé à ce prétendu crime. Elles accusent les pays neutres d'y être restés indifférents. Elles accusent même les Alliés d'avoir laissé perpétrer ce crime fictif. Toutes ces accusations mensongères permettent un incessant chantage en direction des gouvernements, des groupes industriels, des commerces, des banques. Nous assistons actuellement à une frénésie de revendications, toutes plus sordides les unes que les autres, de la part d'une multiplicité de maffias juives ou sionistes. Enfin, cette imposture et ce chantage s'accompagnent d'une répression féroce contre les intellectuels, les universitaires, les chercheurs, les historiens qui s'efforcent de combattre LE GRAND MENSONGE DU XXe SIÈCLE et de rétablir la vérité historique. Sous la pression des organisations juives, des pays de tradition démocratique se dotent des lois d'exception contre les révisionnistes. Cette imposture, ce chantage, cette répression sont devenus INTOLÉRABLES.

Sous la haute surveillance des lobbies juifs et sionistes du Congrès juif mondial, les participants de la Conférence internationale sur l'Holocauste entonneront les couplets habituels de l'antiracisme et de la "mémoire". Ils chanteront faux. Pour eux, "A bas les racismes !" signifie : "A bas les racismes sauf le racisme du peuple élu !" et, chez eux, "Pour la mémoire !" veut dire :  "Pour la mémoire juive !" Ces riches, ces puissants, ces persécuteurs parleront comme s'ils étaient pauvres, faibles et persécutés. A l'heure de la mondialisation forcée, du roi dollar et de la pensée unique, ils voudront nous mettre au pas et à leurs bottes. Mais l'impérialisme du mensonge ne passera pas. Il trouvera sur sa route tous ceux qui luttent pour un véritable antiracisme, sans exclusive, pour une vraie mémoire, la mémoire des souffrances de tous les peuples sans exception et, enfin, pour la liberté de pensée, de recherche et d'expression, garantie, pour tous, d'une véritable indépendance.