No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.

QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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Le Contre Rapport Bergier
Anatomie d'une falsification de l'Histoire
Jürgen Graf

"L’Histoire comporte des témoignages, des principes et des méthodes. Il faut se défier des témoignages, douter des principes et n’accepter que les méthodes."
Gustave Le Bon, 1918

 

3. La Suisse avait-elle connaissance, en 1942,
d’une extermination des Juifs?

 

En 1942, ce n’était un secret pour personne qu’une partie importante de la communauté juive dans les pays dominés par l’Allemagne était déportée dans des camps de concentration et des ghettos; de même, on connaissait les conditions difficiles qui accompagnaient ces déportations. Ainsi, en juillet 1942, Robert Jezler, un collaborateur du chef de la police Heinrich Rothmund, affirmait:

La concordance et la fiabilité des rapports sur la manière dont on procède aux déportations et la situation des milieux juifs à l’Est sont tellement atroces qu’il faut comprendre les efforts désespérés des réfugiés de se soustraire à ce destin, et qu’il devient dès lors presque impossible d’assumer la responsabilité d’une expulsion. (Bergier, p. 93.)

La Suisse officielle était également en possession d’informations faisant état d’exécution par les armes de Juifs (et de non-Juifs). J’ai déjà montré ailleurs que ces actions homicides doivent être envisagées dans le contexte d’une guerre de partisans usant de méthodes contraires aux règles du droit international, et n’ont jamais pu atteindre les dimensions qu’on leur prête 46 . Pourtant le rapport Bergier va bien au-delà et affirme, page 88, que les autorités fédérales ont eu connaissance, dès 1942, d’un «programme d’extermination des Juifs en Europe». Comme nous l’avons déjà vu, il n’existe pas la moindre preuve d’un tel programme, et Bergier se garde prudemment de citer à ce propos une quelconque source.

Personne en Suisse n’était mieux renseigné sur les événements en Europe durant la Seconde Guerre mondiale que l’historien Rudolf von Salis, qui était alors chargé par le Conseil fédéral de produire tous les quinze jours un communiqué radiophonique sur les événements mondiaux, à l’intention de la population. Dans une lettre à Arthur Vogt, von Salis écrivait le 5 juillet 1988 47: «Le commandement allié, grâce à son service de renseignements, devait être au courant, en 1944 déjà, de ces crimes. Mais, pour des raisons inconnues jusqu’à cette date, il les a gardés secrets et les a soustraits au public. Aussi nous devons considérer comme un fait bien établi que l’humanité, mais aussi une grande partie de la population allemande, n’ont rien su de ces crimes jusqu’à la fin de la guerre.»

Le second grand personnage parmi les historiens suisses, Edgard Bonjour, qui fut chargé après la guerre de la rédaction de l’ouvrage de référence sur l’attitude de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale, répondit, le 20 septembre 1988, à Arthur Vogt qui lui avait demandé quand il avait eu connaissance pour la première fois des chambres à gaz 48 : «Avant la fin de la guerre, déjà, au mois de mars 1945 environ, je trouvais dans ma boîte aux lettres la copie d’une lettre difficilement déchiffrable, non datée et non affranchie, selon laquelle il existait en Allemagne des chambres à gaz destinées à l’extermination des personnes indésirables. J’en parlais avec mes collègues. Nous tenions unanimement cette information pour le mensonge d’un fanatique égaré. Ce n’est qu’une fois la guerre terminée que j’eus connaissance de la terrible vérité.»

Le fait que Bonjour comme von Salis ont ultérieurement accepté la version en vigueur quant à la «Solution finale» n’est guère pertinent; par contre, le fait que, pendant la guerre, ils n’ont rien su, est, lui, décisif. En réalité, ce n’est qu’à partir de 1945, que l’ «extermination des juifs» devint un thème en Suisse. Katharina Wehrli, s’appuyant sur son mémoire de licence, ainsi que sur les chroniques de trois journaux suisses (la NZZ, le Volksrecht et l’Israelitisches Wochenblatt) pendant la guerre, écrit dans le Tagesanzeiger du 26 avril 1999, sous le titre «Wo Täter fehlen, werden die Opfer negiert» («Là où les coupables sont absents, les victimes sont niées»):

Pendant toute cette année 1942, des journaux helvétiques aussi importants que la «Neue Zürcher Zeitung» et le journal social-démocrate «Volksrecht» rapportèrent (…) de manière extrêmement fragmentaire ces événements, dans des textes rédigés selon une conception des plus étroites des règles de l’art. Pour la plupart d’entre eux, il s’agissait de communiqués de presse étrangers (y compris d’Allemagne) tenant en quelques lignes. (…) Le «Volksrecht», par exemple, publia, début août 1942, l’information selon laquelle 28000 Juifs en provenance de Paris furent déportés en Pologne. Les rédacteurs n’éprouvèrent pas le besoin de commenter de tels communiqués de presse. Ils ne critiquèrent pas plus les déportations qu’ils ne s’interrogèrent sur le sort des Juifs envoyés à l’Est. Eclatant fut le silence de la rédaction confrontée à ces communiqués, qui contenaient des informations sur les meurtres de masse.

Seul l’Israelische Wochenblatt, selon Katharina Wehrli, aurait suffisamment rendu compte de la «politique d’extermination national-socialiste». Malheureusement, Madame Wehrli s’abstient d’en tirer la seule conclusion possible. A la rédaction de la NZZ, tout comme à celle de Volksrecht, on ne croyait pas à ces histoires d’extermination, au contraire, on les tenait pour des inventions de la propagande. Cette attitude se fondait sur des raisons historiques très probantes. Dans le rapport Bergier, il est dit, à la page 88, que «certains» ( «Gewisse Kreise», certains milieux ou cercles, dans le texte en allemand, p. 91) auraient considéré les révélations quant à l’extermination des Juifs comme une réédition de la propagande noire dirigée contre l’Allemagne qui avait déjà eu cours durant la Première Guerre mondiale. Effectivement, on avait alors imputé aux Allemands, et en tout premier lieu les propagandistes anglo-saxons, un catalogue d’atrocités totalement inventées: des enfants aux mains coupées, des religieuses dont la poitrine aurait été sectionnée, des soldats canadiens crucifiés sur les portes des églises, des nourrissons embrochés sur des baïonnettes, la production de graisse à partir de cadavres humains, etc. 49  Même l’exécution en masse au moyen de gaz mortel fut déjà mentionnée à cette occasion. Le 22 mars 1916, le Daily Telegraph, quotidien londonien, rapportait sous le titre «Horribles crimes en Serbie: 700 000 victimes»; le même plus loin «Les Allemands et les Autrichiens ont procédé auprès des Bulgares à la répartition de bombes et autres engins destinés à la production de gaz mortel. Ils ont instruit les Bulgares dans l’utilisation de ces nouveaux instruments pour qu’ils les emploient à l’extermination de la population serbe». Plus personne, une fois la guerre achevée, ne croyait encore à ces histoires atroces. Le Daily Telegraph allait toutefois renouveler ses mêmes prouesses d’alors en annonçant, le 25 juin 1942: «Les Allemands tuèrent 700 000 Juifs en Pologne. Des chambres à gaz mobiles. Plus de 700 000 Juifs ont été exécutés par les Allemands à l’occasion des plus grands massacres de l’histoire mondiale. (…) L’exécution des Juifs par le gaz a débuté en novembre dans les territoires polonais incorporés au Reich.» Il est, dès lors, facilement concevable que de tels communiqués ne constituent en somme qu’une «réédition de la propagande sur les atrocités de la Première Guerre mondiale» !

Ce que le rapport Bergier avance pour «preuves» d’une connaissance avérée de la Suisse, en 1942, quant à une extermination des Juifs est particulièrement indigent. Ainsi on nous dit, aux pages 88-89 du rapport, qu’ «un homme d’affaires suisse» – le nom de l’intéressé n’est pas donné, ce qui prive d’avance cette «information» de toute valeur – aurait interpellé le Département politique fédéral à propos d’«informations glanées parmi des industriels actifs dans le secteur de l’énergie électrique en Allemagne» – aucun de ces «industriels» n’est non plus nommé! –, «comme prochaine mesure, il faut s’attendre au gazage de tous les Juifs mâles de 16 à 60 ans».

Révoltés, Bergier et consorts remarquent alors que le passage relatif à l’«information» supposée, se trouvant dans les notes qui résument ladite conversation: «ne fut pas même souligné dans la notice résumant l’entretien» (note 73, p. 89). De toute évidence, il a échappé à ces fameux historiens que cette «information» contredit fondamentalement la version de l’«Holocauste» telle qu’elle sera établie bien plus tard. Selon cette ultime version, ce sont les Juifs inaptes au travail qui furent éliminés au moyen de gaz homicide, alors que les Juifs aptes au travail (parmi lesquels, sans aucun doute, des hommes de 16 à 60 ans avant tout) ont dû être épargnés pour être astreints aux travaux forcés. Rappelons que dans les quatre «véritables camps d’extermination», Chelmno, Sobibor, Belzec et Treblinka, tous les Juifs, sans distinction, sont censés avoir été aussitôt mis à mort; aucun spécialiste de l’ «Holocauste» n’a pu encore fournir la raison de cette différence de traitement, de manière tant soit peu plausible.

Au sein du Département politique fédéral, on ne prenait manifestement guère au sérieux de telles «informations», pas plus d’ailleurs que les déclarations des époux berlinois P., à propos desquels on lit à la page 158 du rapport Bergier:

Le 3 décembre 1942, tard dans la soirée, Herta et Felix P., un couple juif de Berlin, sont dans un poste-frontière suisse près de St. Margrethen et renseignent les fonctionnaires des douanes sur les circonstances de leur fuite. Felix P. raconte qu’ils ont quitté Berlin à la dernière minute, parce qu’ils se savaient voués au même destin cruel que la plupart de leurs parents et connaissances de religion juive. Ces derniers avaient été déportés dans un camp dénommé Auschwitz où ils avaient été assassinés. «Je ne sais pas de quelle manière, tout ce que je sais, c’est que 48 heures après leur arrivés à Auschwitz ils étaient tous morts.»

D’où Felix P. pouvait-il bien tenir, à propos de ses parents et connaissances déportés à Auschwitz, soit à plusieurs centaines de kilomètres de Berlin, que «48 heures après leur arrivée à Auschwitz ils étaient tous morts», cela reste une énigme.

A la page 86 du rapport Bergier nous apprenons que le consul de Suisse à Cologne, von Weiss, fit remettre au chef du service des renseignements militaires, le colonel Masson, des photographies représentant «la sortie de wagons allemands de cadavres de Juifs qui ont été asphyxiés». Une note en bas de page nous apprend à ce sujet qu’il ne s’agit nullement de morts en provenance des chambres à gaz, mais, au contraire, des «victimes du pogrome de Jassy». Pourquoi un pogrome en Roumanie, pays que l’Allemagne n’a occupé à aucun moment, devrait-il constituer une preuve d’une politique allemande d’extermination, nul ne peut le savoir.

A présent, il est temps d’examiner les rapports qu’ont fait circuler, à partir de 1942, des organisations juives, rapports concernant l’exterminations des Juifs en Pologne. Nous sommes avant tout redevables au professeur Arthur Butz de s’être voué à l’étude de cette question 50 .

Ce qui apparaît comme étant probalement le premier rapport faisant état de tueries en masse de Juifs au moyen de gaz provient de la Jewish Telegraphic Agency, qui communiquait, le 22 décembre 1941 51 : «Nous savons, à partir de sources dignes de confiance, que plus de 1 000 victimes du typhus dans le ghetto surpeuplé de Varsovie ont été achevées par gazage.» Nous sommes à même de nous faire une idée de la fiabilité de ces sources, puisque depuis longtemps plus aucun historien ne parle de gazage dans le ghetto de Varsovie. Selon la version de l’ «Holocauste» actuellement en vigueur, les massacres de masse perpétrés contre les Juifs ont eu lieu comme suit:

1) Meurtre dans les chambres à gaz stationnaires de cinq camps d’extermination

2) Meurtre dans des chambres à gaz mobiles au camp d’extermination de Chelmno et sur le front de l’Est (ainsi qu’en Serbie)

3) Exécution au moyen d’armes à feu sur le front de l’Est (et en Serbie).

Considérons les atroces nouvelles que diffusent les organisations juives à partir de fin 1941; il apparaît immédiatement que les versions de cette époque ne s’accordent pratiquement jamais avec la version actuellement en vigueur. Ainsi le New York Times rapporte, le 30 juin 1942, que des milliers de Juifs sont fusillés chaque jour dans un «abattoir» qui n’est pas localisé 52 . Le 7 février 1943, le New York Times promène ses lecteurs avec des histoires d’installations d’empoisonnement du sang en Pologne et, en date du 8 août de la même année, des récits de cellules d’exécution par la vapeur. Cette dernière histoire a bénéficié d’une existence moins précaire que les installations d’empoisonnement du sang puisque, le 14 décembre 1945, le gouvernement polonais remit au Tribunal de Nuremberg un document dans lequel on pouvait lire 53 : «Toutes les victimes devaient ôter leurs vêtements et leurs chaussures, qui étaient ensuite rassemblés, avant que les victimes, femmes et enfants d’abord, ne fussent poussées dans les chambres de la mort. (…) Une fois les chambres complètement remplies, elles étaient hermétiquement fermées, et on injectait alors la vapeur. (…) A partir des rapports qui nous sont parvenus, nous pouvons estimer que plusieurs centaines de milliers de Juifs ont été exterminés de la sorte à Treblinka.» Moins de trois mois plus tard, la cour de justice de Nuremberg avait déjà oublié les chambres à vapeur… En février 1946, Samuel Rajzmann, Juif polonais, déclarait à Nuremberg qu’il y avait eu à Treblinka au total treize chambres à gaz destinées à la mise à mort d’êtres humains 54 .

Le 1er décembre 1942, on pouvait lire, à propos du camp de Belzec 55 , dans le Polish Fortnightly Review, journal des exilés polonais publié à Londres:

Après qu’on les eut déchargés, les hommes étaient amenés dans une baraque à droite, les femmes dans une baraque à gauche, où ils se dévêtaient, apparemment pour se rendre aux bains. Une fois dévêtus, les deux groupes se rendaient dans une troisième baraque, où il y avait une plaque de métal électrique; c’est là qu’avaient lieu les exécutions.

Une autre variante de l’extermination des juifs à Belzec nous est fournie par Stefan Szende, Juif hongrois 56 :

Le moulin à hommes comprend un espace d’environ 7 kilomètres de diamètre. (…) Les trains remplis de Juifs entraient par un tunnel dans les locaux souterrains du lieu d’exécution (…) Les Juifs étaient conduits nus dans des salles gigantesques. Ces salles pouvaient contenir plusieurs milliers de Juifs à la fois. Elles n’avaient pas de fenêtres, étaient en métal et leur sol était escamotable. Le sol de ces salles, avec les milliers de Juifs, descendait dans un bassin plein d’eau situé au-dessous d’une façon telle cependant que les gens debout sur la plaque métallique n’étaient pas complètement immergés. Lorsque tous les Juifs debout sur la plaque métallique avaient déjà de l’eau jusqu’aux hanches, on faisait passer dans l’eau un courant à haute tension. Après quelques instants, tous les Juifs, des milliers à la fois, étaient morts. Puis le sol de métal s’élevait hors de l’eau. Les cadavres des suppliciés y gisaient. Une autre ligne électrique était branchée et la plaque métallique se transformait en un cercueil crématoire, chauffé à blanc, jusqu’à ce que tous les cadavres fussent réduits en cendres. De puissantes grues soulevaient alors le gigantesque cercueil crématoire et évacuaient les cendres. (…) Chaque train amenait trois à cinq mille Juifs, parfois même plus. Il y avait des jours où la ligne de Belzec avait acheminé vingt de ces trains ou plus. La technique moderne triomphait avec le système nazi. Le problème de l’exécution de millions d’hommes était résolu.

C’est tout autrement que le témoin oculaire Jan Karski, un Polonais non-juif, a vécu l’extermination des Juifs à Belzec 57 :

Le plancher du train [contenant les Juifs] avait été recouvert d’une épaisse couche d’une poudre blanche, de la chaux vive. Tout le monde sait ce qui arrive quand on verse de l’eau sur la chaux. (…) Il fallait trois heures pour que le train soit tout à fait rempli. Ceux qui se trouveraient dans le train seraient brûlés lentement jusqu’aux os (…) Le crépuscule tombait lorsque les 45 wagons (je les avais comptés) furent pleins. Le train, avec son chargement de chair torturée, vibrait et hurlait comme s’il était ensorcelé. Dans le camp, quelques douzaines de corps s’écroulèrent sur le sol dans les dernières convulsions de la mort. L’arme fumante au poing, les policiers allemands couraient de-ci de-là, donnant le coup de grâce aux mourants. A présent le calme régnait dans le camp. Seuls les cris de douleur en provenance du train brisaient le silence. Bientôt ils se turent aussi, on ne sentait plus que l’odeur douceâtre et nauséabonde du sang répandu flottant dans l’air.

En 1943, Karski voyagea en Amérique en tant que messager du mouvement de résistance polonais. Là-bas, il fut reçu entre autres par Félix Frankfurter, juge d’origine juive. Ce dernier réagit on ne peut mieux aux horribles histoires rapportées par son hôte 58 : «I can’t believe you» – (Je ne puis vous croire). Au contraire des membres d’une certaine «Commission Indépendante d’Experts», Frankfurter avait gardé manifestement la tête sur les épaules.

Voici, à présent, une vue d’ensemble de ce qui est affirmé quant au nombre des victimes et aux méthodes d’exécution dans le camp de BELZEC. (Les sources documentaires concernant ce camp n’ont pas été conservées, et quiconque se rend à Belzec trouve là-bas un champ et rien d’autre.)

Nombre des victimes:

¨ 3 000 000 (Rudolf Reder 59 );

¨ «Des millions» (Stefan Szende);

¨ 900 000 (Simon Wiesenthal 60 );

¨ 600 000 (Encyclopédie de l’Holocauste 61 ).

Méthodes d’exécution:

¨ une plaque électrique dans une baraque (Polish Fortnightly Review);

¨ une plaque électrique dans un réservoir d’eau souterrain, incinération des cadavres, soit leur réduction en cendres sur cette même plaque (Stefan Szende);

¨ une plaque électrique dans un compartiment de douche, les cadavres étant recyclés pour produire du savon (Simon Wiesenthal 62 );

¨ chaux vive (Jan Karski);

¨ monoxyde de carbone tiré de bouteilles (Josef Oberhauser 63 );

¨ Zyklon-B (Adalbert Rückerl 64 );

¨ camions à gaz (Rudolf Reder 65 );

¨ gaz d’échappement d’un moteur Diesel (Kurt Gerstein 66 ).

Pour des raisons inexplicables, l’Encyclopédie de l’Holocauste a tranché en faveur du moteur Diesel 67 , bien que n’importe quel toxicologue reconnaisse le caractère relativement peu dangereux des gaz d’échappement d’un moteur Diesel; un moteur à essence (benzine) se serait révélé incomparablement plus efficace 68 .

La version du moteur Diesel a pour origine les déclarations d’un déséquilibré du nom de Kurt Gerstein, qui prétend avoir assisté, à Belzec, à des crimes de masse perpétrés par ce moyen. Selon Gerstein, vingt à vingt-cinq millions d’êtres humains auraient été gazés; trente-deux victimes par mètre carré étaient entassées les unes contre les autres dans les chambres à gaz; non loin de là s’élevaient jusqu’au ciel les montagnes de chaussures des gazés, d’une hauteur de trente-cinq mètres; à Auschwitz, des millions d’enfants seraient morts, parce qu’on leur aurait appliqué sous le nez des tampons d’ouate imbibés d’acide prussique 69 .

Pour TREBLINKA, le nombre affirmé des victimes ainsi que méthodes d’exécutions apparaissent comme suit:

Nombre des victimes:

¨ 3 000 000 (Vassili Grossman 70 );

¨ 1 000 000 (Rachel Auerbach 71 );

¨ 870 000 (Encyclopédie de l’Holocauste 72 );

¨ 750 000 (Raul Hilberg 73 ).

Méthodes d’exécution:

¨ asphyxie par vide d’air provoqué dans des chambres ad hoc (Vassili Grossman 74 );

¨ ébouillantement par la vapeur (Document PS-3311 du Tribunal de Nuremberg);

¨ balle dans la nuque sur un tapis roulant (Le Livre Noir du Congrès juif mondial 75 );

¨ gaz d’échappement d’un moteur Diesel (Encyclopédie de l’Holocauste 76 ).

Et voici les estimations correspondantes pour AUSCHWITZ:

Nombre des victimes:

¨ 9 000 000 (Le film Nuit et Brouillard);

¨ 8 000 000 (Office français de la Recherche des crimes de guerre 77 );

¨ 5 000 000, dont plus de 4 500 000 Juifs (Le Monde du 20 avril 1978);

¨ 4 000 000, (Document URSS-008 du Tribunal de Nuremberg);

¨ 3 000 000, seulement jusqu’à la fin novembre 1943 (La confession de Höss 78 );

¨ 2 000 000 (Lucy Davidowicz 79 );

¨ 1 250 000, dont 1 000 000 de Juifs (Raul Hilberg 80 );

¨ entre 1 000 000 et 1 500 000 (Jean-Claude Pressac en 1989 81 );

¨ entre 850 000 et 950 000 (Gerald Reitlinger 82 );

¨ entre 775 000 et 800 000 (Jean-Claude Pressac en 1993 83 );

¨ entre 631 000 et 711 000 (Jean-Claude Pressac en 1994 84 ).

Méthodes d’exécution:

¨ des bains électriques, un marteau pneumatique, un canon pneumatique, des gaz de combat (communiqués du mouvement de la résistance polonaise 1942/1943 85 );

¨ une poudre blanche (Kitty Hart 86 );

¨ un tapis roulant électrique (la Pravda, 2 février 1945);

¨ des tampons d’ouate imbibés d’acide prussique (Kurt Gerstein);

¨ crémation de corps encore en vie dans des fosses (Elie Wiesel 87 );

¨ crémation de corps encore en vie dans des fours, où des wagons déversaient les victimes (E. Aroneanu 88 );

¨ du Zyklon-B (la variante dominante à partir du printemps 1945).

Les déclarations des témoins à propos du pogrome de BABY YAR 89 nous donnent l’image suivante:

Nombre des victimes: de 33 000 à 300 000.

Méthodes d’exécution: exécution par les armes; au moyen de mitrailleuse; noyade dans le Dnjepr; écrasement par des tanks; ensevelissement de personnes encore vivantes; gaz d’échappement; massacre à la grenade; massacre au moyen de mines 90.

Ainsi, ce sont des rapports de ce type que les organisations juives allèrent colporter auprès des gouvernements des puissances alliées et des Etats neutres, dès la fin de 1941. En Suisse, en particulier, c’est un certain Gerhard Riegner, repésentant du Congrès juif mondial à Genève, qui s’appliqua remarquablement à diffuser de telles histoires (rapport Bergier, p. 69 entre autres). Riegner affirmait détenir ses informations d’un industriel allemand, dont le nom devait absolument être tenu secret jusqu’à la fin des temps…91. En septembre 1942, un certain Isaac Sternbuch, représentant suisse de la Fédération des rabbins orthodoxes (Bund Orthodoxer Rabbiner), fit circuler la rumeur selon laquelle les cadavres des Juifs assassinés étaient transformés en savon et en engrais chimiques92 . Les destinataires de ces informations les auront considérées pour ce qu’elles sont: de la propagande de guerre.



Le Contre Rapport Bergier

1.

Introduction

2.

Le nombre des réfugiés juifs refoulés et leur destin

3.

La Suisse avait-elle connaissance, en 1942, d’une extermination des Juifs ?

4.

Que savait-on à l’étranger?

5.

Le silence des historiens

 

Ce que cache le rapport Bergier - Philippe Brennenstuhl

6.

NOTES




Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"


Louis Farrakhan
Benjamin Franklin
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( "Les negociations de paix" au Moyen Orient! )
Enfin, maintenant nous avons trouvé un negociateur
Palestinien acceptable pour Israel. Commencons a negocier.



"Les negociations de ` paix ´" au Moyen Orient!


 





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