GRAF 3
21) L'INVISIBLE ÉLÉPHANT
Les révisionnistes ayant réglé la question des chambres
à gaz, force est de constater que les histoires de chambres à
gaz sont en fait des atrocités inventées, qui ont été
colportées après la guerre par les vainqueurs, puis par leurs
alliés allemands, pour des raisons de propagande politique.
Comment le monde a-t-il appris pour la première fois l'existence
des chambres à gaz et comment a-t-il réagi ?
L'historien judéo-britannique Walter Laqueur s'attaque à
cette question dans son livre The Terrible Secret paru en 1980 (Londres,
Weidenfeld & Nicolson). Laqueur part du fait que les Alliés
disposaient d'un réseau d'informateurs efficace aussi bien dans
les pays occupés par l'Allemagne qu'en Allemagne même. Il
en conclut qu'un crime aussi monstrueux que l'assassinat de millions de
gens dans des chambres à gaz ne pouvait en aucun cas leur rester
caché pendant des années, d'autant que les organisations
juives ne cessaient, à partir de 1942, de rapporter ces atrocités.
Pourtant, écrit Laqueur, Washington, Londres et Moscou se contentèrent
de faibles protestations alibis et ne firent rien pour sauver les juifs.
Ils ne prévinrent pas ces derniers de l'extermination qui les menaçait,
pas plus qu'ils n'attirèrent l'attention du peuple allemand sur
le génocide perpétré par son gouvernement.
Selon lui, le pape fut au courant de bonne heure de ce qui se passait dans
la Pologne catholique, mais il ne s'en émut pas autrement, les victimes
n'étant pas catholiques. Même la Croix-Rouge resta les bras
croisés et garda le silence sur le génocide jusqu'à
la fin de la guerre.
Dans Auschwitz and the Allies, Martin Gilbert se penche sur le plus
grand des camps de concentration. Celui-ci se trouvait dans une zone industrielle.
Il comprenait, outre le camp principal d'Auschwitz I et le camp de
Birkenau (Auschwitz II), le complexe industriel de Monowitz (Auschwitz III)
-- qui devait attirer l'attention des Alliés par le simple fait
de son importance économique et stratégique --, ainsi qu'une
quarantaine de sous-camps. Les détenus étaient continuellement
en contact avec des ouvriers libres et rétribués de diverses
nationalités. De plus, il arrivait constamment que des prisonniers
d'Auschwitz fussent transférés dans d'autres camps. Enfin,
il y eut aussi un nombre non négligeable de libérations (selon
Laqueur, il y en eut 978 en 1942, quelques-unes l'année suivante,
et, en 1944, de nombreuses juives furent libérées sur intervention
d'un industriel allemand).
Toujours selon M. Gilbert, s'il y avait un endroit d'Europe où
il était totalement impossible de dissimuler un massacre industriel,
c'était bien Auschwitz ; pourtant, durant deux années
complètes, le monde ignora tout de la chose inconcevable qui s'y
déroulait : les massacres commencèrent en été
1942 et ce n'est qu'en été 1944 que les premiers comptes
rendus parurent dans la presse.
Pour Laqueur et Gilbert, l'incompréhensible silence qui entoura
l'Holocauste est un casse-tête. Manifestement, aucun des deux n'a
abouti à la solution la plus simple : << Je ne vois
pas d'éléphant dans ma cave. S'il y avait un éléphant
dans ma cave, je le verrais très certainement. Donc il n'y a pas
d'éléphant dans ma cave >>.
Nous devons cette sentence à l'ingénieur en électronique
et informaticien américain Arthur Butz. Son livre The Hoax of
the Twentieth Century (L'imposture du XXe siècle)
est considéré à ce jour comme le plus grand classique
du révisionnisme.
Dès lors, il est possible de répondre à quelques questions
qui se posent constamment :
- << Pourquoi les juifs se sont ils laissé déporter
vers les camps d'extermination et conduire à l'abattoir comme des
moutons, sans opposer de résistance ? >> Les juifs
se sont laissé déporter vers des camps de travail et des
camps de transit parce qu'ils savaient que par camps de travail et camps
de transit les Allemands entendaient camps de travail et camps de transit.
<< Pourquoi les Alliés n'ont-ils pas bombardé
les chambres à gaz ? Ils auraient peut être tué
beaucoup de détenus, mais il en auraient sauvés incomparablement
plus. >> Les Alliés n'ont pas bombardé les chambres
à gaz parce qu'il n'y avait pas de chambres à gaz.
- << Pourquoi les dirigeants nazis qui avaient survécu
à la guerre ont-ils commencé par nier impudemment l'extermination
des juifs ? >> Les dirigeants nazis ont nié l'extermination
des juifs parce qu'il n'y a pas eu d'extermination des juifs. Quand, au
cours du procès de Nuremberg, des personnalités marquantes
du IIIe Reich, comme Albert Speer et Hans Frank, tournèrent
casaque et admirent avoir été moralement complices du génocide,
ils le firent parce que, comme des centaines de millions d'autres gens,
ils s'étaient laissé tromper par la confession de Höss
et les preuves forgées par les vainqueurs.
- << Pourquoi le Vatican et la Croix Rouge ont-ils trahi
leurs principes humanitaires en gardant le silence sur le plus grand crime
de l'histoire de l'humanité ? >> C'est que le Vatican
et la Croix Rouge n'ont eu connaissance qu'après la fin de la guerre
de ce << plus grand crime de l'histoire de l'humanité >>,
qui a été en vérité la plus grande imposture
de l'histoire de l'humanité.
22) AUTRES PREUVES
Dès 1942, le service de renseignements britannique réussit
à intercepter les communications radio entre le Quartier général
SS à Berlin et les camps de concentration, et à en déchiffrer
le code. Tous les décès étaient annoncés dans
les rapports quotidiens. La plupart étaient dus à la maladie,
mais il était aussi fait mention d'exécutions par balles
ou par pendaison. De gazages, en revanche, pas un mot, pas même à
Auschwitz !
Le professeur Hinsley, actuellement maître de conférences
à Cambridge, spécialiste pendant la guerre du déchiffrement
des codes ennemis, confirme la chose dans son livre British Intelligence
during the Second World War ( Cambridge University Press, New York,
1981, p. 673) : les messages radio allemands ne contenaient pas de
références à des gazages, << no references
to gassings >> !
A partir de 1943, les avions de reconnaissance alliés photographièrent
régulièrement Auschwitz. Au cours de 32 missions au total,
ils prirent des centaines de photos jusqu'à la libération
du camp par l'Armée rouge en janvier 1945. Sur aucune de ces photos
on ne peut voir des files de gens devant la << chambre à
gaz >> aisément reconnaissable ! Quelques-unes de
ces photos aériennes ont été mises à la disposition
du public en 1979 et peuvent être examinées aux Archives nationales
de Washington.
23) L'HOLOCAUSTE -- PROPAGANDE DE GUERRE
En mars 1916, le Daily Telegraph annonçait que les Autrichiens
et les Bulgares avaient gazé 700 000 Serbes. Nous ne savons
pas si les lecteurs du journal britannique se sont laissé circonvenir,
mais en tout état de cause, peu après la guerre, plus personne
ne croyait aux 700 000 Serbes gazés.
Le 2 août 1990, les troupes irakiennes envahissaient le Koweit. Les
USA tentèrent de convaincre l'ONU d'intervenir militairement pour
libérer l'émirat, mais se heurtèrent dans un premier
temps à la résistance de l'organisation. Toutefois, l'humeur
changea quand, en octobre, une jeune fille koweitienne et un chirurgien
de la ville de Koweit, en larmes, décrivirent devant une commission
des droits de l'homme comment les barbares irakiens s'étaient déchaînés
à l'hôpital de la capitale occupée : ils avaient
fracassé les couveuses, jeté les bébés sur
le sol où ils les avaient laissés mourir misérablement !
Ce récit souleva l'indignation du monde entier et contribua largement
au succès des partisans de la solution militaire. Puis, en mars
1992, l'imposture vola en éclats : l'histoire des couveuses
avait été concoctée par une agence de publicité
new-yorkaise à qui l'Emir du Koweit en exil avait versé 10
millions de dollars. Le chirurgien n'en était pas un et la jeune
réfugiée était la fille d'un diplomate koweitien en
poste aux États-Unis. Tous deux avaient répété
leur << témoignage oculaire >> pendant des
jours et des cours d'anglais leur avaient été dispensés
tout exprès.
Contrairement aux contes épouvantables nés de la première
guerre mondiale et de la guerre du Golfe, ceux qu'a produits la seconde
guerre mondiale se racontent toujours, parce que d'immenses intérêts
politiques et financiers y sont liés.
Les premiers rapports sur l'extermination des juifs apparurent en 1942
dans des journaux contrôlés par les sionistes, comme le New
York Times, et étaient dus, selon toute vraisemblance, au Congrès
juif mondial (voy. A. Butz, op. cit.). L'objectif principal
de cette propagande de l'horreur était sans doute de faire voir
aux gouvernements et à la population des États alliés
la nécessité d'un foyer national pour le peuple juif.
Arthur Butz, dans The Hoax of the Twentieth Century, retrace la
genèse de la légende du siècle. Outre les chambres
à gaz, toutes les méthodes d'assassinat imaginables hantèrent
les colonnes du New York Times. Le 30 juin 1942, il y fut question
d'un << bâtiment d'exécution >> où
1 000 juifs auraient été fusillés chaque jour,
le 7 février 1943 de << stations d'empoisonnement du
sang >> en Pologne occupée. Alors que le bâtiment
d'exécution et les stations d'empoisonnement du sang disparaissaient
avant même la fin de la guerre, les cellules d'exécution à
la vapeur connurent un succès plus grand. Elles firent encore une
apparition au procès de Nuremberg. Le 14 décembre 1945, à
Nuremberg, il fut porté au procès-verbal ce qui suit :
Toutes les victimes devaient retirer leurs vêtements et leurs
chaussures qui étaient ensuite recueillis, sur quoi les victimes
au complet, femmes et enfants en tête, étaient poussées
dans les chambres de mort (...) Dès que les chambres étaient
bourrées, elles étaient fermées hermétiquement
et on y introduisait de la vapeur (...). Les rapports reçus permettent
d'estimer que plusieurs centaines de milliers de juifs ont été
exterminés à Treblinka (document de Nuremberg PS 3311).
Soixante-quinze jours plus tard, exactement, le Tribunal avait oublié
à son tour les chambres à vapeur ; il était question
tout à coup des chambres à gaz de Treblinka. Ce n'est donc
qu'après la fin de la guerre qu'on s'est mis d'accord sur la forme
définitive de la légende !
24) Les fosses incandescentes d'Élie Wiesel
Dans Legends of Our Time (New York, Avon Books, 1968, p. 177-178),
Élie Wiesel écrivait ceci :
Tout juif, quelque part en lui, devrait se ménager une zone de
haine -- une haine saine et virile - pour ce que l'Allemand personnifie
et pour ce qui persiste dans l'Allemand. Agir autrement serait trahir les
morts.
En 1986, Élie Wiesel s'est vu décerner le Prix Nobel
de la Paix sur proposition, notamment, de 83 députés du Bundestag.
L'attribution de ce prix, estimaient les parlementaires, constituerait
un grand encouragement pour tous ceux qui s'engagent activement en faveur
du processus de réconciliation.
Né en 1928, Élie Wiesel fut interné à Auschwitz
d'avril 1944 à janvier 1945 (voy., ci-dessous, p. 110-111).
Dans La Nuit, son << témoignage >>
paru en 1958, il ne souffle mot des chambres à gaz (attention :
les chambres à gaz apparaissent soudain dans la version allemande,
Die Nacht zu begraben, Elischa, traduction de Curt Meyer-Clason,
publiée par les éditions Ullstein ; chaque fois que
<< crématoire >> apparaît dans l'original,
Meyer-Clason traduit par << chambre à gaz >>).
Wiesel n'a donc pas vu les chambres à gaz, pas plus qu'il n'en a
entendu parler, sans quoi il les aurait mentionnées.
A défaut de chambres à gaz, Wiesel a vu ce qu'à part
lui personne n'a vu :
Non loin de nous, des flammes montaient d'une fosse, des flammes gigantesques.
On y brûlait quelque chose. Un camion s'approcha du trou et y déversa
sa charge : c'étaient des petits enfants. Des bébés !
Oui, je l'avais vu, de mes yeux vu... Des enfants dans les flammes. (Est-ce
donc étonnant si depuis ce temps là le sommeil fuit mes yeux ?)
Voilà donc où nous allions. Un peu plus loin se trouvait
une autre fosse, plus grande, pour des adultes.
(...)
<< Père >>, lui dis-je, << s'il
en est ainsi, je ne veux plus attendre. J'irai vers les barbelés
électrifiés. Cela vaut mieux qu'agoniser durant des heures
dans les flammes. >>
Mais l'interminable agonie dans les flammes fut épargnée
à Élie Wiesel sans qu'il eût à recourir aux
barbelés électrifiés, car :
Notre colonne n'avait plus à franchir qu'une quinzaine de pas.
Je me mordais les lèvres pour que mon père n'entende pas
le tremblement de mes mâchoires. Dix pas encore. Huit, sept. Nous
marchions lentement, comme après un corbillard, suivant notre enterrement.
Plus que quatre pas. Trois pas. Elle était là maintenant,
tout près de nous, la fosse et ses flammes. Je rassemblais tout
ce qui me restait de forces afin de sauter hors du rang et me jeter sur
les barbelés. Au fond de mon coeur, je faisais mes adieux à
mon père, à l'univers tout entier et, malgré moi,
des mots se formaient et se présentaient dans un murmure à
mes lèvres : Ytgadal veyitkadhach, chmé raba... Que
Son nom soit élevé et sanctifié... Mon coeur allait
éclater. Voilà. Je me trouvais en face de l'Ange de la mort.
(...)
Non. A deux pas de la fosse, on nous ordonna de tourner à gauche
et on nous fit entrer dans une baraque (La Nuit, Éditions
de Minuit, 1958, p. 57-60).
Nous avons vu que, même après la fin de la guerre, outre les
chambres à gaz, toutes sortes d'autres méthodes de mise à
mort étaient véhiculées par la propagande. L'une d'entre
elles consistait à brûler les gens vivants. Cette variante
du mythe de l'extermination s'est maintenue dans les milieux juifs jusque
vers 1960. Comme le dit R. Faurisson, Élie Wiesel devait choisir
entre deux mensonges de la propagande alliée et s'empressa de choisir
le mauvais.
25) BELZEC OU LE CAMP D'EXTERMINATION FANTÔME
Situé en Pologne orientale, le camp de Belzec (à ne pas confondre
avec Bergen-Belsen) fut, selon l'historiographie officielle, au troisième
rang des camps d'extermination ; 600 000 juifs y auraient été
gazés.
L'histoire de Belzec est une version en miniature de l'ensemble de la légende
de l'Holocauste, ce qui lui vaut d'être présentée ci-après
de manière relativement détaillée.
Belzec fut ouvert en mars 1942. Il servait de camp de transit pour les
juifs déportés en Russie. Peu après l'ouverture du
camp, il courut des rumeurs sur des massacres qu'on y aurait perpétrés.
Le révisionniste italien Carlo Mattogno se penche sur ces rumeurs
dans son étude sur le mythe de l'extermination des juifs (<< Le
Mythe de l'extermination des juifs >>, Annales d'histoire
révisionniste n° 1, printemps 1987, p. 15-107).
* Première variante : les juifs étaient poussés
dans une baraque où ils devaient se tenir debout sur une plaque
métallique à travers laquelle on faisait passer un courant
électrique mortel (rapporté en décembre 1942 par le
journal du Gouvernement polonais en exil Polish Fortnightly Review).
* Deuxième variante : les juifs étaient fusillés
et ceux qui ne l'étaient pas étaient gazés ou électrocutés
(déclaration faite par le Comité d'information inter-allié
le 19 décembre 1942).
* Troisième variante : les juifs étaient tués
par la chaleur dans un four électrique. C'est ce qu'affirme Abraham
Silberschein (Die Judenausrottung in Polen, Genève, août1944)
* Quatrième variante, décrite par Stefan Szende, docteur
en philosophie, dans son livre Der letzte Jude aus Polen (Europa-Verlag
Zurich/New York, 1945, p. 290 sqq.) :
Le moulin à hommes comprend un espace d'environ 7 kilomètres
de diamètre. Cette zone est protégée par du fil de
fer barbelé et toutes sortes de dispositifs de sécurité.
Personne n'a le droit de s'approcher de cette zone. Personne n'a le droit
de quitter cette zone (...) Les trains remplis de juifs entraient par un
tunnel dans les locaux souterrains du lieu d'exécution (...) On
leur prenait tout (...) Les objets étaient soigneusement classés,
inventoriés et naturellement mis au service de la race des seigneurs.
Pour échapper à ce travail compliqué et long, tous
les convois furent plus tard livrés nus. Les juifs nus étaient
conduits dans des salles gigantesques. Ces salles pouvaient contenir plusieurs
milliers de personnes à la fois. Elles n'avaient pas de fenêtres,
étaient en métal et leur sol était escamotable.
Le sol de ces salles avec les milliers de juifs descendait dans un bassin
plein d'eau situé au-dessous, d'une façon telle cependant
que les gens debout sur la plaque métallique n'étaient pas
complètement immergés. Lorsque tous les juifs debout sur
la plaque métallique avaient déjà de l'eau jusqu'aux
hanches, on faisait passer dans l'eau un courant à haute tension.
Après quelques instants, tous les juifs, des milliers à la
fois, étaient morts.
Puis le sol de métal s'élevait hors de l'eau. Les cadavres
des suppliciés y gisaient. Une autre ligne électrique était
branchée et la plaque métallique se transformait en un cercueil
crématoire, chauffé à blanc, jusqu'à ce que
tous les cadavres fussent réduits en cendres.
De puissantes grues soulevaient alors le gigantesque cercueil crématoire
et évacuaient la cendre. De grandes cheminées d'usine évacuaient
la fumée. La procédure était accomplie.
Le train suivant attendait déjà avec les nouveaux juifs devant
l'entrée du tunnel. Chaque train amenait trois à cinq mille
juifs, parfois même plus. Il y avait des jours où la ligne
de Belzec avait acheminé vingt de ces trains ou plus. La technique
moderne triomphait dans la régie nazie. Le problème de l'exécution
de millions d'hommes était résolu.
* Cinquième variante : les juifs étaient électrocutés
dans des douches électriques puis transformés en savon. Cette
version émane de Simon Wiesenthal :
Les gens, pressés les uns contre les autres, poursuivis par les
SS, les Lettons et les Ukrainiens, entraient en courant, par la porte ouverte,
dans la << salle de bains >>. Elle pouvait contenir
500 personnes à la fois. Le sol de la << salle de bains >>
était en métal et des pommes de douche pendaient du plafond..
Quand la salle était pleine, la SS envoyait du courant à
haute tension, 5 000 volts, dans la plaque métallique. Simultanément,
les pommes de douche crachaient de l'eau. Un cri bref et l'exécution
était terminée. Un médecin-chef SS, le Dr. Schmidt,
constatait la mort des victimes par le judas, on ouvrait la deuxième
porte, le << commando des cadavres >> entrait et
enlevait rapidement les morts. Il y avait de nouveau de la place pour les
500 suivants (Der neue Weg, Vienne, n° 19/20, 1946).
Selon Simon Wiesenthal, les cadavres des victimes n'étaient pas
<< réduits en cendres dans un cercueil crématoire
chauffé à blanc >> comme le déclare Stefan
Szende ; les bourreaux en faisaient du savon de la marque RIF, << Rein
jüdisches Fett >>, en français << pure
graisse juive >> (N.B. : RIF signifiait << Reichstelle
für industrielle Fettversorgung >> ; en français :
<< Service d'approvisionnement industriel en matières
grasses du Reich >>) :
La dernière semaine de mars (1946), la presse roumaine a annoncé
une nouvelle extraordinaire : dans la petite ville roumaine de Folticeni,
on a solennellement porté en terre au cimetière juif, lors
d'une cérémonie d'inhumation conforme aux règles,
20 caisses de savon (...) Les caisses portaient la marque RIF -- << Rein
jüdisches Fett >> (...) C'est à fin 1942 que fut
prononcée pour la première fois l'horrible expression << transport
de savon ! >> C'était dans le Gouvernement général
et la fabrique était en Galicie, à Belzec. 900 000 juifs
furent utilisés comme matière première dans cette
fabrique d'avril 1942 à mai 1943 (...) Le monde culturel ne peut
peut-être pas concevoir le plaisir avec lequel les Nazis et leurs
femmes contemplaient ce savon dans le Gouvernement général.
Ils voyaient dans chaque morceau de savon un juif qu'on y avait fait disparaître
par enchantement et qu'on avait ainsi empêché d'élever
un deuxième Freud, Ehrlich ou Einstein (...) L'inhumation du savon
dans une petite ville roumaine a quelque chose de surnaturel. La douleur
ensorcelée qui gît dans ce petit objet d'usage quotidien brise
le coeur déjà pétrifié de l'homme du XXe siècle.
A l'ère atomique, le retour dans la sombre cuisine moyenâgeuse
des sorcières fait l'effet d'un spectre ! Et pourtant c'est
la vérité ! (Der neue Weg, Vienne, n° 17/18,
1946).
* Sixième variante : les juifs étaient assassinés
à la chaux vive. Cette version est due au Polonais, non juif, Jan
Karski, auteur du livre Story of a Secret State paru en 1944 (Houghton
Miffling Co, Boston, The Riverside Press, Cambridge), publié
en français en 1948 sous le titre de Mon témoignage devant
le monde (éditions S.E.L.F., Paris) et dont nous extrayons le
passage suivant (cité d'après R. Faurisson, Réponse
à Pierre Vidal-Naquet, 1982, p. 44) :
Le plancher du train [contenant les juifs] avait été
recouvert d'une épaisse couche de poudre blanche, de la chaux vive.
Tout le monde sait ce qui arrive quand on verse de l'eau sur la chaux (...)
La chair moite mise au contact avec la chaux se déshydrate rapidement
et brûle. Ceux qui se trouveraient dans le train seraient brûlés
lentement jusqu'aux os (...) Le crépuscule tombait lorsque les 45
wagons (je les avais comptés) furent pleins. Le train, avec son
chargement de chair torturée, vibrait et hurlait comme s'il était
ensorcelé.
* Septième variante : les juifs étaient tués
au moyen de Zyklon B qui était introduit dans les locaux de
douches grâce à une tuyauterie. C'est pour cette version que
se décida un tribunal allemand en 1965, lors du procès de
Belzec, suivi en cela par Adalbert Rückerl, ancien directeur de l'Office
central de Ludwigsbourg chargé de l'information sur les crimes nazis,
dans son livre Nationalsozialistische Vernichtungslager im Spiegel deutscher
Strafprozesse (Deutscher Tachenbuchverlag, 1977, p. 133). Le tribunal
et M. Rückerl précisent qu'on a passé aux gaz d'échappement
au bout de quelques semaines. Manifestement, il a fallu quelques semaines
à ces pauvres SS pour s'apercevoir que les granulés de Zyklon B
refusaient de passer par les tuyaux. -- D'ailleurs, si l'on en croit les
exterminationnistes, les SS ont suivi dans d'autres camps le chemin inverse,
passant des gaz d'échappement au Zyklon B.
* Huitième variante : les juifs étaient assassinés
par les gaz d'échappement de moteurs Diesel. Nous citons ici un
passage du Rapport Gerstein, rapport qui passe, avec la confession de Höss,
pour la preuve la plus importante de l'Holocauste. L'officier SS du Service
de santé Kurt Gerstein se rendit aux troupes de la 1re Armée
française qui occupaient le Wurtemberg en avril 1945 et, avant de
se suicider dans sa prison en juillet de la même année, il
déposa sa confession, plus exactement ses six confessions puisque,
comme le Français Henri Roques l'a brillamment démontré
dans sa thèse de doctorat, il n'existe du Rapport Gerstein pas moins
de six versions qui divergent parfois considérablement. Selon ses
six confessions, Gerstein visita Belzec et Treblinka en août 1942.
A son avis, d'après l'une des versions de sa confession, 25 000 000
de personnes furent gazées. A Belzec, 700 à 800 personnes
s'entassaient dans une chambre à gaz de 25 m2, soit
28 à 32 personnes par mètre carré ! -- et c'est
un ingénieur qui le dit ! L'évocation d'un tas de chaussures
de détenus assassinés pouvant atteindre, selon certaines
versions, une hauteur de 35 à 40 mètres couronne ce témoignage
qui figure pourtant dans presque tous les manuels scolaires et livres d'histoire.
Voici donc un extrait tiré de l'une des six confessions (André
Chelain, Faut-il fusiller Henri Roques ?, Polémiques,
Ogmios Diffusion, 1986, p. 90-91 ; le livre de Chelain contient
le texte complet de la thèse Roques Les << confessions >>
de Kurt Gerstein. Étude comparative des différentes versions.
Édition critique) :
Les chambres se remplissent. << Chargez bien >>,
a ordonné le capitaine Wirth. Ils se marchent sur les pieds les
uns les autres. De 700 à 800 êtres humains sur 25 m2,
sur 45 m3 (...) Les portes se ferment.
Pendant ce temps, les autres attendent dehors nus (...) Mais la machine
Diesel ne fonctionne pas (...).
Wirth arrive. On voit qu'il lui est pénible que cela se passe juste
aujourd'hui où je suis là. Oui, je vois tout et j'entends
tout ! Ma montre a tout bien enregistré, 50 minutes, 70 minutes
-- le Diesel ne démarre pas ; l'humanité attend dans
ces chambres en vain. On les entend pleurer et sangloter << comme
à la synagogue >> remarque le professeur Pfannenstiel
qui a collé l'oreille contre la porte en bois (...).
Après 2 heures 49 minutes -- mon chronomètre l'a bien enregistré
-, le Diesel démarre. Jusqu'à cet instant, ces êtres
humains vivent dans les chambres déjà remplies : 4 fois
750 êtres dans 4 fois 45 mètres-cubes.
A nouveau 25 minutes passent. Il est vrai que beaucoup sont déjà
morts ; on voit cela à travers la petite fenêtre éclairant
un instant la chambre de lumière électrique (...).
28 minutes plus tard, rares sont ceux qui vivent encore. Enfin, après
32 minutes tout est mort ; (...)
Pour des raisons inexpliquées, l'histoire a retenu le Rapport
Gerstein, soit la huitième variante évoquée plus haut.
Les gaz d'échappement des moteurs Diesel ne contiennent que peu
de CO toxique (voy. Friedrich Paul Berg, << The Diesel Gas Chambers :
Myth Within A Myth >>, Journal of Historical Review,
vol. 5, n° 1, printemps 1984, p. 15-46). Les prisonniers
de la chambre à gaz bondée seraient morts asphyxiés
bien avant que le CO n'ait exercé ses effets. N'importe quel moteur
à essence aurait fait un instrument meurtrier bien meilleur qu'un
moteur Diesel. En réalité, s'ils avaient voulu gazer massivement
des gens, les Allemands n'auraient évidemment pas utilisé
un moteur, mais un des nombreux gaz hautement toxiques que produisait leur
industrie. On se trouve donc en face d'une contradiction flagrante :
le génie technique qu'on attribue aux Allemands et qui devait leur
permettre de tuer des millions de personnes à l'insu du monde et
sans laisser la moindre trace est incompatible avec la sottise dont ils
auraient fait preuve dans la mise en oeuvre des massacres en choisissant,
de toutes les armes possibles, la moins efficace.
Quelles preuves avons-nous de l'assassinat de 600 000 juifs à
Belzec ?
Une inspection de l'emplacement de l'ancien camp de Belzec n'est d'aucun
secours, car on n'y trouve qu'un champ et rien d'autre.
Nous ne possédons pas un seul document à ce sujet -- les
nazis ont toujours donné oralement leurs ordres concernant les assassinats.
On n'a pas retrouvé de fosses communes -- les nazis ont brûlé
les cadavres.
Même les cendres des 600 000 victimes ont disparu -- les nazis
ont dispersé les cendres (on ne nous explique pas ce que sont devenus
les ossements ; la plupart des gens ignorent que les os ne brûlent
que partiellement et qu'ils doivent être broyés).
Des chambres à gaz, il n'est pas resté l'ombre d'un caillou
-- les nazis ont fait sauter les chambres à gaz et en ont évacué
les décombres.
Belzec est totalement absent des statistiques du SIR d'Arolsen dans lesquelles
le camp de concentration de Neuengamme, par exemple, figure avec exactement
5 780 décès incontestables -- les morts de Belzec n'ont
été enregistrés nulle part.
Il n'y a pas non plus de témoins oculaires ayant survécu
-- un seul des 600 000 juifs déportés à Belzec,
un certain Rudolf Reder, a survécu au camp, et il est décédé
dans les années soixante.
Quelle preuve avons-nous alors de l'assassinat de 600 000 juifs à
Belzec ?
Aucune ! Pas la moindre preuve !
26) TREBLINKA, UNE OFFENSE À LA RAISON
Le deuxième camp d'extermination fut, selon les exterminationnistes,
Treblinka, situé à 80 km à l'est de Varsovie.
Là bas non plus, il n'est pas resté trace des victimes (800 000
dans l'état actuel de la recherche historique officielle ;
en 1946, on était allé jusqu'à trois millions).
En fait et en vérité, Treblinka était, comme Sobibor
et Belzec, un camp de transit. Après la sanglante répression
du soulèvement du ghetto de Varsovie au printemps 1943, les survivants
furent envoyés, via Treblinka, soit dans des ghettos, soit dans
des camps de travail.
D'après le livre d'Adalbert Rückerl sur les << camps
d'extermination >>, il y avait en tout à Treblinka 35
à 40 SS. Comment ces 35 à 40 hommes pouvaient-ils gazer quotidiennement
plusieurs milliers de juifs ? Parce qu'ils étaient aidés
de 500 à 1 000 travailleurs juifs (Rückerl, p. 212) !
Ces travailleurs juifs étaient équipés de fouets qui
renforçaient leur autorité. Ils savaient qu'ils seraient
tôt ou tard gazés à leur tour, mais il ne leur vint
jamais à l'idée de tourner leurs fouets contre les 35 à
40 SS qu'ils aidaient, au contraire, à massacrer chaque jour jusqu'à
10 000 de leurs coreligionnaires ! Ces derniers eux-mêmes
se montraient coopératifs : l'accusé Suchomel a affirmé
au cours du procès de Treblinka à Düsseldorf qu'ils
<< entraient dans la chambre à gaz nus et en bon ordre >>
(Frankfurter Allgemeine Zeitung, 2 avril 1965).
Le film de Claude Lanzmann,Shoah -- neuf heures et demie de projection
--, est, selon la préface du livre du même nom qui contient
l'ensemble des dialogues du film, un document capital puisque, écrit
Simone de Beauvoir, << (...) Nous avons lu, après la
guerre, des quantités de témoignages sur les ghettos, sur
les camps d'extermination ; nous étions bouleversés.
Mais, en voyant aujourd'hui l'extraordinaire film de Claude Lanzmann, nous
nous apercevons que nous n'avons rien su. Malgré toutes nos connaissances,
l'affreuse expérience restait à distance de nous. Pour la
première fois, nous la vivons dans notre tête, notre coeur,
notre chair. Elle devient la nôtre (...) >>. De son côté,
Pierre Vidal Naquet considère Shoa comme un << grandiose
film historique >> et comme une << grande oeuvre
d'histoire >> (Les Assassins de la mémoire, éditions
La Découverte, Paris, 1987, p. 143 et 149). Nous citons ici
un bref extrait de la conversation qui se déroule entre le réalisateur
et le coiffeur de Treblinka Abraham Bomba (Shoah, éditions
Fayard, 1985, p. 143 sqq.) :
Lanzmann:Et la chambre à gaz ?
Bomba:Ce n'était pas grand, c'était une pièce de quatre
mètres sur quatre environ (...) Soudain, un kapo survint :
<< Coiffeurs, vous devez faire en sorte que toutes ces femmes
qui entrent ici croient qu'elles vont simplement avoir une coupe de cheveux,
prendre une douche, et qu'ensuite elles sortiront. >> Mais nous
savions déjà qu'on ne sortait pas de cet endroit (...)
Lanzmann:Et soudain elles arrivaient ?
Bomba:Oui, elles entraient.
Lanzmann:Comment étaient-elles ?
Bomba:Elles étaient dévêtues, toutes nues, sans habits,
sans rien (...).
Lanzmann:Il y avait des miroirs ?
Bomba:Non, pas de miroirs, des bancs, pas de chaises, seulement des bancs
et seize ou dix sept coiffeurs... (...)
Lanzamnn:Combien de femmes traitiez-vous en une fournée ?
Bomba:En une fournée ... à peu près... soixante à
soixante-dix femmes.
Lanzmann:Et ensuite, on fermait les portes ?
Bomba:Non. Quand on en avait fini avec le premier groupe, le suivant entrait
(...).
Il se trouvait donc, dans une chambre à gaz de quatre mètres
sur quatre, 16 ou 17 coiffeurs, 60 à 70 femmes nues et des bancs !
S'il s'agit là d'un << document capital sur l'extermination
des juifs >>, d'un << grandiose film historique >>
et d'une << grande oeuvre d'histoire >>, n'est-on
pas en droit de s'interroger sur la qualité des autres preuves ?
En août 1992, la Polish Historical Society (91 Strawberry
Hill Avenue, Suite 1038, Stamford, CT 06902, USA), société
groupant des citoyens américains, historiens amateurs, pour la plupart
d'origine polonaise, a réuni une documentation des plus volumineuses
qui démonte radicalement l'image du << camp d'extermination >>
de Treblinka. Arrêtons-nous aux points suivants :
a. La propagande au sujet de l'extermination commença peu après
la construction du camp de transit de Treblinka 2 en juillet 1942
(le camp de travail de Treblinka 1 avait été ouvert
fin 1941 à 3 km de là). Les méthodes de mise
à mort suivantes apparurent dans la propagande, pendant la guerre
et même après, à côté des massacres aux
gaz d'échappement de moteurs Diesel : gazage au Zyklon B ;
ébouillantage à la vapeur brûlante ; asphyxie
dans des chambres de décompression ; électrocution ;
exécution au fusil ; exécution à la mitrailleuse.
b. Les massacres aux gaz d'échappement de moteurs Diesel, sur lesquels
les << historiens >> se sont finalement mis d'accord,
sont pour ainsi dire impossibles. La Society renvoie au fait qu'en 1988,
à Washington, un train fonctionnant au Diesel resta bloqué
dans un tunnel ; celui-ci se remplit immédiatement de vapeur
et il s'écoula 40 minutes jusqu'à la délivrance, sans
qu'un seul des 420 passagers n'en subît de préjudice.
c. Treblinka 2 se trouvait à 240 m d'une importante ligne
de chemin de fer, à 270 m d'une grande route et à 800 m
du village le plus proche. On n'aurait pas pu y dissimuler les massacres
l'espace d'une semaine... En avril 1943, le Gouvernement polonais en exil
situait le << camp d'extermination >> 40 km
plus au nord, au coeur d'une zone boisée, à un emplacement
appelé << Treblinka 3 >>, mais, par la
suite, il renonça tacitement à cette version.
d. D'anciens détenus de Treblinka ont dessiné du camp une
quarantaine de plans qui se contredisent grossièrement en tous points.
Les << chambres à gaz >> changent de place
selon les plans.
e. Ainsi qu'Udo Walendy l'a lui-même mentionné dans le remarquable
numéro 44 de la revue Historische Tatsachen, l'Armée
rouge a complètement écrasé Treblinka 2 sous
les bombes et les projectiles d'artillerie, pour pouvoir prétendre
ensuite que les nazis avaient effacé toutes les traces de leurs
abominations.
f. Même après des siècles, on peut reconnaître
sur de bonnes photos aériennes des endroits où des fouilles
ont été pratiquées dans le passé, ce qui a
permis de précieuses découvertes archéologiques. Tout
comme Auschwitz, Treblinka a été photographié par
les avions de reconnaissance alliés. Les photos de Treblinka 2
montrent une seule fosse commune de 66 x 5 m (et profonde de 3 m,
d'après des photographies réalisées en 1944 par une
commission judéo-soviétique) qui pouvait contenir au maximum
4 000 cadavres. Comme près d'un million de juifs ont passé
par Treblinka et que les conditions de transport étaient souvent
très inhumaines, le chiffre de 4 000 victimes entre dans le
domaine du possible. A partir d'avril 1943, les Allemands ont exhumé
et brûlé les cadavres, car une crue du Bug aurait provoqué
un danger d'épidémie.
Cette documentation -- cent pour cent révisionniste -- a été
réunie par des Américains de souche polonaise dont le pays
d'origine a terriblement souffert sous le national socialisme. Ces hommes-là
font passer, tout comme un nombre croissant de chercheurs en Pologne même,
la vérité historique avant la poursuite de la propagande
de guerre contre l'ennemi d'hier. Sont-ils pour autant des nazis ?
27) MAJDANEK : ZÉRO, TROIS OU SEPT CHAMBRES À GAZ ?
Majdanek fut l'un des six camps d'extermination. Plus exactement, ce fut
d'un côté un camp d'extermination, mais d'un autre côté
ce n'en fut pas un, et pourtant, en fin de compte, c'en fut un malgré
tout, vraisemblablement, pour ne pas dire assurément.
Combien y a-t-il eu de morts à Majdanek ?
- 1,5 million selon une commission soviéto-polonaise (1944) ;
- 1,38 million selon Lucy Dawidowicz (The War against the
Jews, Penguin Books, 1987, p. 191) ;
- 360 000 selon Lea Rosh et Eberhard Jäckel (Der Tod
ist ein Meister aus Deutschland, Hoffmann und Campe, 1991, p. 217) ;
- 250 000 selon Wolfgang Scheffler (Judenverfolgung im Dritten
Reich, Colloquium Verlag, 1964, p. 40) ;
- 50 000 selon Raul Hilberg (La Destruction des juifs d'Europe ;
il est vrai que Hilberg ne parle que des victimes juives ; chiffre
fourni en 1961 et répété en 1985).
Combien y avait-il de chambres à gaz à Majdanek ?
- Zéro selon la célèbre lettre de Martin Broszat
publiée le 19 août 1960 par Die Zeit : Majdanek
ne figure pas dans l'énumération des camps dotés de
chambres à gaz ;
- Sept selon la Deutsche Volkszeitung du 22 juillet 1976 ;
- Sept aussi selon le journal télévisé de l'ARD
du 5 octobre 1977 : << Il ressort des documents de la SS
qu'ici, dans les sept chambres à gaz (...) >> ;
- << Au moins trois >> selon le jugement du procès
de Majdanek à Düsseldorf.
D'après le rapport de la commission soviéto-polonaise de
1944, 18 000 personnes furent gazées à Majdanek le 3
novembre 1943 au son d'une valse de Strauss. Lorsque l'impossibilité
technique de ce récit est devenue par trop évidente, on a
troqué le massacre par le gaz contre un massacre par balles.
28) LES CHAMBRES À GAZ DES CAMPS DE L'OUEST
Dans les premières années de l'après-guerre, il était
tenu pour acquis que presque tous les camps de concentration avaient possédé
une ou plusieurs chambres à gaz. Nous citons ici un << témoignage
oculaire >> sur la chambre à gaz de Buchenwald (Abbé
Georges Hénocque, Les Antres de la Bête, G. Durassie
et Cie, Paris, 1947, cité d'après R. Faurisson,
Mémoire en défense, 1980, p. 192 sqq.) :
(...) A l'intérieur, les murs étaient lisses, sans fissures
et comme vernissés. A l'extérieur, on apercevait, à
côté du linteau de la porte, quatre boutons, placés
l'un au-dessus de l'autre : un rouge, un jaune, un vert, un blanc.
Cependant, un détail me préoccupait : je ne comprenais
pas comment le gaz pouvait descendre des bouches d'arrosoir jusqu'en bas.
La pièce où je me trouvai était longée par
un corridor. J'y pénétrai et là, j'aperçus
un énorme tuyau, que mes deux bras n'arrivèrent pas à
entourer complètement, et qui était recouvert d'une épaisseur
d'un centimètre environ, de caoutchouc.
A côté, une manivelle, que l'on tournait de gauche à
droite, déclenchait l'arrivée du gaz. Par une forte pression,
il descendait ainsi jusqu'au sol, de sorte qu'aucune des victimes ne pouvait
échapper à ce que les Allemands appelaient << la
mort lente et douce >>.
Au-dessous de l'endroit où le tuyau formait coude pour pénétrer
dans la pièce d'asphyxie, étaient placés les mêmes
boutons qu'à la porte extérieure : rouge, vert, jaune
et blanc, qui servaient évidemment à mesurer la descente
des gaz. Tout était vraiment combiné et organisé selon
la science. Le Génie du mal n'aurait pas pu mieux trouver. Je rentrai
de nouveau dans la chambre à gaz pour essayer de découvrir
celle du crématoire.
Ce qui, dès l'abord, frappa mon regard, fut une sorte de civière
roulante en fer. Cet appareil perfectionné se manoeuvrait sans fatigue
et affrontait le contact brûlant des fours. On y entassait les
cadavres ramassés dans la pièce voisine et il les amenait
devant la fournaise.
Quand je fis cette inoubliable et troublante visite, les appareils étaient
en plein fonctionnement, avec leur charge complète (...).
Après avoir examiné une fois encore cet enfer et poursuivant,
dans un épais et lourd silence, ma lugubre promenade, j'ouvris la
porte d'une troisième pièce. C'était la chambre des...
réserves.
Là, étaient amassés les cadavres que l'on n'avait
pu brûler le jour même et qu'on réservait pour le lendemain.
Personne ne peut imaginer, s'il ne l'a vue, l'horreur de ce troisième
tableau. Dans un coin de la pièce, à droite, les morts, nus,
dépouillés, jetés pêle-mêle, sans aucun
respect, s'entassaient avec des positions bizarres. Les mâchoires
avaient été brisées pour en arracher les prothèses
en or, sans parler des << perquisitions >> odieuses
pratiquées sur ces corps pour s'assurer qu'ils ne dissimulaient
aucun bijou capable de grossir le trésor des monstres nazis (...)
***
Jetant un dernier regard sur ce lieu de scandale et d'épouvante,
je lus, à la lueur des flammes qui s'échappaient de la fournaise,
à huit ou dix mètres de hauteur, le quatrain cynique peint
sur les bâtiments du crématoire. En voici la traduction :
Le ver dégoûtant ne doit pas se nourrir de mon corps.
La flamme pure, c'est elle qui doit le dévorer.
J'ai toujours aimé la chaleur et la lumière.
Pour cela, brûle-moi et ne m'enterre pas.
Il me restait, enfin, à contempler ce spectacle dont devait s'enorgueillir
la science allemande : sur plus d'un kilomètre de longueur
et une hauteur d'environ un mètre cinquante, les cendres soigneusement
recueillies dans les fours et utilisées pour fumer les champs de
carottes et de choux !
C'est ainsi que des centaines de milliers d'êtres, entrés
vivants dans cette géhenne, ressortaient à l'état
d'engrais...
Maintenant, grâce à mon imprudente intrusion, j'avais vu tout
ce que je voulais voir.
Outre les << témoignages oculaires >>
de ce genre, il y a eu aussi des preuves aveuglantes de l'existence des
chambres à gaz sous forme d'aveux des coupables. Suhren, commandant
de Ravensbrück, son remplaçant Schwarzhuber, Treite,
médecin du camp, ont été exécutés ou
se sont suicidés après avoir avoué l'existence de
la chambre à gaz de Ravensbrück et avoir vaguement décrit
son fonctionnement. Et Franz Ziereis, commandant de Mauthausen, a révélé
sur son lit de mort (il avait été blessé de trois
coups de feu), la chose inconcevable qui s'était produite au château
de Hartheim, non loin de Linz : entre 1 et 1,5 million de personnes
avaient été gazées dans ce château.
Une installation de gazage camouflée en salle de bains fut construite
au camp de Mauthausen sur l'ordre du Dr. Kresbach, Hauptsturmführer
SS (...) Le Gruppenführer Glücks a donné l'ordre de faire
passer les prisonniers chétifs pour des aliénés et
de les assassiner dans une grande installation à gaz. 1 à
1,5 million de personnes environ y ont été assassinées.
Cet endroit s'appelle Hartheim et se trouve à 10 kilomètres
de Linz en direction de Passau (Simon Wiesenthal, KZ-Mauthausen,
Ibis-Verlag 1946, p. 7-8).
Or, bien que la croyance aux chambres à gaz des camps de l'Ouest
soit encore largement répandue dans le public, il n'y a plus d'historiens
sérieux pour croire aux gazages du château de Hartheim, de
Ravensbrück, de Buchenwald et de Dachau, et cela depuis des décennies.
La lettre adressée à Die Zeit le 19 août
1960 par Martin Broszat, alors collaborateur de l'Institut d'histoire contemporaine
de Munich dont il allait devenir le directeur, a sonné le glas de
toutes ces chambres à gaz :
Ni à Dachau, ni à Bergen-Belsen, ni à Buchenwald
des juifs ou d'autres détenus n'ont été gazés.
(...) L'anéantissement massif des juifs par le gaz commença
en 1941/1942 et il prit place uniquement en de rares points choisis à
cet effet et pourvus d'installations techniques adéquates, avant
tout en territoire polonais occupé (mais nulle part dans l'Ancien
Reich) : à Auschwitz-Birkenau, à Sobibor-sur-Bug, à
Treblinka, Chelmno et Belzec. (...) (cité d'après R. Faurisson,
Mémoire en défense, p. 183).
En quelques mots, Broszat admettait que tout ce qui avait été
dit sur les chambres à gaz du Reich allemand depuis 1945 était
mensonge (par << Reich allemand >>, on désigne
le territoire de l'Allemagne dans ses frontières de 1937). Ni dans
cette lettre, ni plus tard, Broszat n'a produit la moindre preuve de ses
allégations ; il n'a pas dévoilé non plus pourquoi
les déclarations de témoins relatives aux gazages d'Auschwitz
et de Sobibor devaient être plus dignes de foi que celles qui portaient
sur les gazages de Dachau et de Buchenwald.
Dès 1948, une commission d'enquête américaine dirigée
par les juges Simpson et Van Roden avait constaté que les aveux
sur les chambres à gaz du Reich allemand avaient été
obtenus par la torture : coups, testicules écrasés,
dents cassées, etc. Beaucoup d'accusés ont été
exécutés à la suite de ces aveux extorqués
(The Progressive, février 1949, p. 21-22).
(Voir suite dans GRAF 4)
Table des
matières
- GRAF 1 (Couverture, Préface et Chapitres 1
à 10) :
Préface
1. L'unique tabou
2. Les révisionnistes
3. Est-il concevable qu'on puisse douter de l'holocauste ?
4. Les << historiens >> face au
révisionnisme
5. La répression se substitue au dialogue
6. Pourquoi les exterminationnistes redoutent le dialogue
7. Les révisionnistes contestent-ils la persécution des
juifs sous Hitler ?
8. Chambres à gaz ou pas, qu'est-ce que ça
change ?
9. Qu'entendaient les nazis par << solution finale de la
question juive >> ?
10. Les camps de concentration.
- GRAF 2 (Chapitres 11 à 20) :
11. Les massacres du front de l'Est
12. Pourquoi les puissances victorieuses ont-elles ajouté
l'Holocauste et les chambres à gaz aux atrocités
allemandes réelles ?
13. L'image officielle de l'Holocauste
14. L'absence de tout document sur l'Holocauste et les chambres
à gaz
15. Le talon d'Achille des exterminationnistes
16. Les chambres à gaz des États-Unis
17. Le Zyklon B et les chambres de désinfection
allemandes
18. Trois témoins clés d'Auschwitz
19. Les lois de la nature ont-elles été abolies de 1941
à 1945 ?
20. Le Rapport Leuchter.
- GRAF 3 (Chapitres 21 à 28) :
21. L'invisible éléphant
22. Autres preuves
23. L'Holocauste -- propagande de guerre
24. Les fosses incandescentes d'Élie Wiesel
25. Belzec ou le camp d'extermination fantôme
26. Treblinka, une offense à la raison
27. Majdanek : zéro, trois ou sept chambres à
gaz ?
28. Les chambres à gaz des camps de l'Ouest
- GRAF 4 (Chapitres 29 à 34) :
29. La genèse du mythe d'Auschwitz
30. Hitler n'avait-il pas << annoncé >>
l'Holocauste ?
31. Le procès de Nuremberg
32. Les procès des camps de concentration en Allemagne de
l'Ouest
33. Frank Walus et John Demjanjuk
34. Les récits des juifs << survivants de
l'Holocauste >>
-
GRAF 5 (Chapitres 35 à 43) :
35. Où sont les millions de
<< disparus >> ?
36. La dispersion
37. Le chiffre de six millions
38. La clé de la question démographique se trouve en
Union soviétique
39. Quelques cas célèbres
40. La réunion de famille des Steinberg
41. Un Holocauste n'a pas suffi
42. Le jugement de Robert Faurisson sur la légende de
l'Holocauste
43. Les enjeux
-
GRAF 6 (Chapitres 44 à la fin) :
44. Pourquoi les responsables allemands et autrichiens craignent-ils
la vérité historique comme le diable l'eau
bénite ?
45. Pourquoi les gouvernants et les faiseurs d'opinion des
démocraties occidentales ont-ils intérêt à
ce que le mythe perdure ?
46. Les raisons de la croyance générale à
l'Holocauste
47. La fin du mythe de l'Holocauste nuit-elle à la
majorité des juifs ?
48. Pourquoi devons-nous venir à bout du mythe de
l'Holocauste ?
49. La légende du siècle peut-elle survivre à ce
siècle ?
50. Croire à l'Holocauste, c'est croire aux sorcières au
XXe siècle
-- Appendice :
16 questions aux exterminationnistes
-- Bibliographie
-- Note de l'éditeur (juin 1993)
-- Dernière minute (septembre 1993)