GRAF 6
44) POURQUOI LES RESPONSABLES ALLEMANDS ET AUTRICHIENS CRAIGNENT-ILS
LA VÉRITÉ HISTORIQUE, COMME LE DIABLE L'EAU BÉNITE ?
Le fait que les politiciens et les intellectuels allemands et autrichiens
soutiennent l'histoire de l'Holocauste paraît à première
vue en prouver l'authenticité. Pourquoi donc, demandera-t-on, ces
gens devraient ils charger leur propre peuple d'abominations inventées ?
Nous avons déjà vu que la RFA a accepté, pour des
raisons de politique intérieure comme de politique extérieure,
la conception de l'histoire imposée par les vainqueurs. D'une part,
les politiciens et intellectuels allemands ont voulu rééduquer
leur peuple en lui mettant régulièrement sous les yeux la
barbarie du national socialisme ; d'autre part, l'État ouest-allemand
a voulu donner l'image d'un allié modèle des États-Unis
et éviter une incessante campagne antiallemande du côté
des médias américains contrôlés par le sionisme.
Les conservateurs ouest allemands se seraient bien contentés d'une
propagande modérée concernant l'Holocauste et les chambres
à gaz. L'évocation d'Auschwitz deux fois par mois leur aurait
paru suffisante, mais la gauche, dont le but était l'extinction
totale de tout sentiment national, n'allait pas tarder à s'emparer
du sujet ; la presse, la télévision, les pasteurs et
les pédagogues ont entrepris de servir Auschwitz au peuple trois
fois par jour. Les conservateurs n'ont rien pu faire pour s'y opposer,
de crainte d'être accusés de vouloir disculper Hitler. Maintenant,
ils sont enfermés avec la gauche dans un piège dont il leur
est impossible de sortir : les politiciens, de la CSU aux Verts, les
gens des médias, les écrivains et -- ce ne sont pas les moindres
-- les << historiens >>, qui ont, pendant des décennies,
entretenu cette accusation contre leur propre pays et en ont parfois même
vécu, seront un jour l'objet du mépris indigné de
leurs compatriotes. Toute la classe dirigeante d'un État et tous
ceux qui en forment l'opinion se trouvent aujourd'hui le dos au mur et
tentent désespérément de repousser aussi longtemps
que possible le jour de la déconfiture -- par une censure de la
presse sans précédent dans l'histoire, par une propagande
holocaustique toujours plus insistante (on écrit beaucoup plus sur
l'Holocauste aujourd'hui qu'il y a dix ou vingt ans !) et, enfin,
par une interminable série de procès au cours desquels l'unique
argument qu'on oppose aux révisionnistes consiste à dire
que l'assassinat de six millions de juifs est un fait prouvé.
L'Autriche se trouve dans une situation semblable et les agissements de
la caste régnante y ont pris des allures extravagantes. Tout Autrichien
qui prouve qu'en vertu des lois de la physique et de la chimie les chambres
à gaz d'Auschwitz n'ont pas pu fonctionner risque dix ans d'emprisonnement.
45) POURQUOI LES GOUVERNANTS ET LES FAISEURS D'OPINION DES DÉMOCRATIES
OCCIDENTALES ONT-ILS INTÉRÊT À CE QUE LE MYTHE PERDURE ?
Pour les maîtres des démocraties occidentales autres que l'Allemagne
et l'Autriche, la fin de la légende ne serait certes pas mortelle
mais, et ce serait des plus désagréable, la confiance de
la population dans le système démocratique serait ébranlée
durablement : qu'est-ce donc qu'une démocratie qui a maintenu
en vie, grâce à des moyens primitifs dignes d'un État
policier, une légende de cette taille ?
La fin de la légende de l'Holocauste constituerait pour nos historiens,
journalistes et intellectuels, une débâcle sans précédent.
En fin de compte, ils se sont tous étendus complaisamment sur le
thème de l'assassinat de six millions de juifs. Ils seront montrés
du doigt quand la vérité réussira à sortir
du puits ! Il n'est donc pas étonnant que la censure soit maniée
avec la plus grande rigueur -- en se battant pour les chambres à
gaz, les gens des médias et les historiens officiels se battent
pour leur propre cause.
46) LES RAISONS DE LA CROYANCE GÉNÉRALE À L'HOLOCAUSTE
Toute personne élevée dans la société occidentale
a subi sans cesse, dès sa plus tendre enfance, l'évocation
de l'extermination des juifs. Dans ces conditions, n'importe quel doute
émis à ce sujet ne peut que paraître au premier abord
aussi absurde que le serait la mise en question de la seconde guerre mondiale.
Même celui qui est confronté aux preuves de la supercherie
se révèle le plus souvent incapable, après tant d'années
de lavage de cerveau, de modifier sa manière de penser. Bien entendu,
il y a des gens qui savent, ou à tout le moins subodorent, qu'on
nous ment, mais ils ne se soucient guère de le dire tout haut, car
ils connaissent le prix à payer à la démocratie libérale
pour une telle hérésie : des attaques incessantes de
la part des médias, la terreur même à l'encontre de
leur famille, l'anéantissement de leur existence professionnelle
et, dans certains États, des amendes et des peines de prison.
47) LA FIN DU MYTHE DE L'HOLOCAUSTE NUIT-ELLE À LA MAJORITÉ
DES JUIFS ?
Pour les dirigeants de l'Etat d'Israël et des organisations sionistes,
la victoire de la vérité historique représente une
catastrophe.
Pour l'écrasante majorité des juifs, c'est-à-dire
plus de 99 %, qui croient à l'Holocauste parce qu'on leur a
menti exactement comme on a menti aux non-juifs, la révélation
de la supercherie constituera, passé le premier choc, une délivrance :
l'idée que six millions de leurs coreligionnaires ont été
exterminés uniquement parce qu'ils étaient juifs, la peur
de voir se répéter pareille tragédie ne peut qu'être
pour les juifs un interminable cauchemar. Comme l'écrit Faurisson,
le mythe de l'Holocauste enferme les juifs dans un ghetto invisible et
les sépare du reste de l'humanité.
Que tombent les murs de ce ghetto et ce sera pour le peuple juif dans sa
totalité une bénédiction.
48) POURQUOI DEVONS-NOUS VENIR À BOUT DU MYTHE DE L'HOLOCAUSTE ?
Nous devons venir à bout du mythe pour lui-même, car un mythe
aussi monstrueux est comme un poison qui intoxique le monde.
Nous devons en venir à bout parce qu'il constitue une falsification
éhontée de l'histoire. Des hommes souffrent et meurent dans
toutes les guerres et la seconde guerre mondale a causé plus de
souffrances et de morts qu'aucune autre. Rien qu'à Léningrad,
640 000 civils russes environ sont morts de faim pendant le blocus ;
en 1944, les Polonais ont vu réduire en cendres leur capitale et
mourir dans les décombres 180 000 de leurs compatriotes ;
peu avant la fin de la guerre, lors du bombardement de Dresde, 130 000
personnes au moins ont péri carbonisées, peut-être
même le double. Léningrad, Varsovie et Dresde symbolisent
plus de 40 millions de morts en tout. Pourtant, on parle davantage des
souffrances et des sacrifices d'un seul peuple que de ceux de tous les
autres peuples réunis, et on multiplie abusivement par six ou par
douze les pertes humaines de ce peuple-là.
Nous devons venir à bout du mythe parce que nous ne pouvons pas
construire une Europe composée de peuples égaux en droit
tant que l'un des peuples européens est diffamé quotidiennement
pour un crime de génocide par chambres à gaz qu'il n'a pas
commis.
Enfin, nous devons en venir à bout parce qu'il nous a rendus malades
et qu'il entretient en nous un complexe de culpabilité et de haine
de soi qui paralyse notre volonté de nous affirmer et de défendre
nos intérêts légitimes.
49) LA LÉGENDE DU SIÈCLE PEUT-ELLE SURVIVRE À
CE SIÈCLE ?
Vraisemblablement non, et si oui, de quelques années au plus. Jamais
encore dans l'histoire les pouvoirs en place n'ont réussi à
étouffer durablement une vérité par la censure ou
la terreur. En 1616, par exemple, l'Index interdisait les ouvrages enseignant
que la Terre tourne. Mais, dès ce moment, des voix s'élevèrent
de toutes parts pour contester ce décret, si bien qu'en 1757 l'interdiction
était levée et qu'en 1835 toute mention de l'affaire Galilée
était effacée de l'Index.
Ainsi, la cosmologie copernicienne a fini par s'imposer malgré la
défense de Rome. De même, si les mesures de répression
étatiques et la censure imposée par les médias peuvent
retarder la victoire du révisionnisme, elles ne pourront l'empêcher
et, dans un proche avenir, les chambres à gaz prendront le chemin
des oubliettes.
50) CROIRE À L'HOLOCAUSTE, C'EST CROIRE AUX SORCIÈRES
AUX XXe SIÈCLE.
Le mythe de l'Holocauste est obscène. Il est une offense à
tout esprit réfléchi qui connaît les faits. Il ne se
passe guère de jour que les journaux n'évoquent un << survivant
de l'Holocauste >> -- si les Allemands avaient vraiment
voulu exterminer les juifs, il n'en serait pas resté beaucoup en
mai1945.
Les << historiens >> nous racontent qu'on a assassiné
à Auschwitz un million de juifs au moyen de Zyklon B, à
Belzec et à Treblinka un total de 1,4 million de juifs par des gaz
d'échappement de moteurs Diesel. On aurait brûlé à
ciel ouvert une grande partie des morts d'Auschwitz et tous ceux de Belzec,
Treblinka, Chelmno et Sobibor, sans laisser trace de cendres ou d'ossements.
Cet édifice mensonger se serait effondré immédiatement
si, en 1949, le premier gouvernement de RFA avait commandé, au prix
de quelques milliers de marks, trois expertises : la première
à un spécialiste de la lutte contre les parasites familiarisé
avec les particularités du Zyklon B, la deuxième à
un constructeur de moteurs Diesel, la troisième à un spécialiste
de la crémation. Le premier expert aurait démontré
que les << témoignages oculaires >> et les
<< aveux des coupables >> concernant les massacres
au Zyklon B étaient en contradiction avec les lois de la nature ;
le deuxième aurait montré que des massacres aux gaz d'échappement
de moteurs Diesel, quoique théoriquement possibles au prix de grandes
difficultés, étaient impensables dans la pratique, parce
que le moteur à essence habituel est, lui, une arme beaucoup plus
meurtrière que le moteur Diesel ; le troisième aurait
affirmé catégoriquement que l'élimination de millions
de cadavres à l'air libre et sans qu'il en subsiste la moindre trace
était une stricte impossibilité matérielle. Trois
expertises réalisées en 1949 auraient épargné
au monde des décennies de propagande abrutissante !.
Les historiens du futur aboutiront sans aucun doute à la conclusion
que la croyance à l'Holocauste du XXe siècle
équivaut exactement à la croyance aux sorcières du
Moyen Age.
Au Moyen Age, toute l'Europe, y compris ses plus grands esprits, croyait
aux sorcières. Les sorcières, convaincues de relations luxurieuses
avec le diable, avaient confessé leurs honteux agissements. On savait
par leurs aveux que le pénis de Satan était couvert d'écailles
et son sperme glacé. Des chercheurs avaient réussi à
établir, grâce à des expériences scientifiques,
que nombre de sorcières ne quittaient pas leur lit durant la nuit
de Walpurgis, alors qu'au même moment elles traversaient les airs
à cheval sur leur balai pour aller s'accoupler avec le prince des
ténèbres. En d'autres termes, ce n'étaient pas les
corps des sorcières qui chevauchaient les balais, mais leur deuxième
ego, leur âme. Des milliers d'hérétiques impies finirent
sur le bûcher, comme les sorcières, pour avoir contracté
un pacte avec le diable ; la teneur de ce pacte avait été
reconstituée avec exactitude, grâce au travail minutieux de
tribunaux parfaitement légaux. Des légions de témoins
dignes de foi confirmaient ces constatations scientifiques sous la foi
du serment. Les livres consacrés aux sorcières, au diable,
à l'enfer et à la sorcellerie remplissaient des bibliothèques
entières.
A notre époque, au siècle d'Einstein, de la fission nucléaire
et des vols vers Saturne, des docteurs en droit, des professeurs d'histoire,
des intellectuels spécialistes de la littérature universelle
aux connaissances encyclopédiques, des éditeurs de magazines
d'information renommés, des journalistes vedettes, des professeurs
de philosophie, des théologiens conservateurs ou modernistes et
des écrivains allemands candidats au prix Nobel croient que 360 000
juifs ont été assassinés dans la salle de douches
de Majdanek, au moyen de boulettes de Zyklon B introduites par les
pommes des douches, sur quoi les boulettes se transformaient sans délai
en un gaz qui, bien que spécifiquement plus léger que l'air,
descendait immédiatement et << déchiquetait les
poumons >> (Prof. Kogon) des malheureux. Ils croient que
Joseph Mengele a personnellement gazé 400 000 juifs tout en
sifflant des mélodies de Mozart. Ils croient que l'Ukrainien John
Demjanjuk a fait entrer à coups de bâton dans la chambre à
gaz de Treblinka 800 000 juifs, à qui il avait préalablement
coupé les oreilles, pour les asphyxier par les gaz d'échappement
du moteur Diesel d'un char russe bon pour la casse. Ils croient que la
chambre à gaz de Belzec pouvait contenir 32 personnes au mètre
carré. Ils croient que les commandos spéciaux d'Auschwitz
entraient dans une chambre à gaz saturée d'acide cyanhydrique,
une petite demi-heure après le gazage de 2 000 personnes, non
seulement sans masque à gaz mais la cigarette à la bouche,
tout en demeurant indemnes. Ils croient que l'on peut perpétrer
des massacres au moyen d'un gaz explosif juste à côté
d'un crématoire sans que le bâtiment, théâtre
de l'opération, ne vole en éclats, qu'on peut brûler
des milliers de cadavres sans qu'il en reste la moindre trace de cendre
ou d'ossements, que la graisse s'écoulait des cadavres pendant la
crémation et que les SS jetaient des nouveaux-nés dans cette
graisse humaine en ébullition, que Rudolf Höss a visité
en juin1941 le camp de Treblinka créé en juillet 1942, que
Simon Wiesenthal a survécu à douze camps d'extermination
sans être exterminé dans aucun de ces douze camps, qu'on peut
par un judas percé dans la porte suivre l'agonie de 2 000 personnes
enfermées dans une chambre à gaz de 210 mètres carrés,
comme si la personne debout devant le judas n'allait pas boucher complètement
la vue de l'observateur. Ils croient qu'Hitler avait ordonné au
début de 1942 l'extermination totale des juifs, et ne sont pas le
moins du monde ébranlés dans leur conviction quand ils lisent
chez Nahum Goldmann qu'on a dénombré après la guerre
600 000 survivants juifs des camps de concentration. Ils croient à
toutes ces choses avec un fanatisme religieux inconditionnel et quiconque
en doute se rend coupable du pire péché qui se puisse commettre
même dans les années quatre-vingt-dix de notre siècle.
Car enfin, tout cela est prouvé par des témoignages dignes
de foi et par les aveux obtenus des coupables lors de procès légaux
irréprochables !.
Les livres consacrés à l'Holocauste remplissent des bibliothèques
entières, des légions d'auteurs et de producteurs profitent
de l'Holocauste, Claude Lanzmann est devenu une célébrité
mondiale grâce à son film Shoah, dans lequel il décrit
comment 16 ou 17 coiffeurs coupent les cheveux de 70 femmes nues dans une
chambre à gaz de quatre mètres sur quatre, des << historiens >>
comme Poliakov, Hilberg, Langbein, Jäckel, Friedländer, Scheffler
et Benz doivent leurs lauriers universitaires aux chambres à gaz,
et dans de nombreuses écoles américaines, les << Holocaust
Studies >> sont matière obligatoire au même titre
que la physique ou la géométrie.
Quand cette folie aura cessé et que l'humanité se réveillera
de son cauchemar, nous éprouverons une honte immense, infinie, à
la pensée que nous avons pu croire de telles choses.
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Seize questions
aux exterminationnistes
Quiconque croit à la réalité de l'Holocauste et
des chambres à gaz doit être en mesure de répondre
aux 16 questions qui suivent. Posez ces questions aux historiens, aux journalistes
et aux autres personnes qui se sont penchées sur le destin des juifs
du IIIe Reich et défendent la conception officielle
de l'histoire.
Exigez d'eux des réponses claires à des questions claires !
Ne vous laissez pas circonvenir ! N'acceptez aucune formule du style
<< L'Holocauste est un fait établi >> ou << Quiconque
pose de telles questions assassine les morts une deuxième fois >>.
N'acceptez aucune photo de détenus des camps de concentration morts
du typhus. N'acceptez aucun aveu produit dans des procès illégaux !
1) Croyez-vous que, comme le commandant de Mauthausen Franz Ziereis
l'a avoué peu avant de mourir, un million à un million et
demi de personnes ont été gazées au château
de Hartheim près de Linz ? Si oui, pourquoi plus personne n'y
croit-il ? Sinon, pourquoi croyez-vous donc alors au gazage d'un million
à un million et demi de personnes à Auschwitz ? Pourquoi
la confession de Höss -- dont il est prouvé qu'elle fut arrachée
sous la torture -- devrait-elle être plus digne de foi que celle
de Ziereis dont plus personne ne parle depuis des décennies ?
2) Croyez-vous aux gazages de Dachau -- dont une pancarte atteste
qu'ils n'ont jamais eu lieu -- et de Buchenwald ? Si oui, pourquoi
donc aucun historien n'y croit-il plus depuis longtemps ? Sinon, pourquoi
croyez-vous donc aux chambres à gaz d'Auschwitz et de Treblinka ?
Quelles preuves de l'existence de ces chambres à gaz y a-t-il qui
n'ait pas également servi à prouver la réalité
des chambres à gaz de Dachau et de Buchenwald ?
3) Croyez-vous que des centaines de milliers de juifs ont été
assassinés à la vapeur à Treblinka, comme on l'a prétendu
au procès de Nuremberg en décembre 1945 ? Croyez-vous
au moulin à hommes dans lequel des millions de juifs ont été
électrocutés, si l'on en croit Stefan Szende, docteur en
philosophie ? Croyez-vous qu'à Belzec 900 000 juifs ont
été transformés en savon de marque RIF -- << Rein
jüdisches Fett >> [pure graisse juive] -- comme l'écrit
Simon Wiesenthal ? Croyez-vous aux fosses incandescentes de Monsieur
Élie Wiesel et aux wagons de chaux de Monsieur Jan Karski ?
Si oui, pourquoi aucun historien ne partage-t il plus votre croyance sur
ces points ? Sinon, pourquoi croyez-vous donc aux chambres à
gaz ? Pourquoi rejetez-vous une absurdité pour en retenir une
autre ?
4) Comment expliquez-vous que, pour le premier meurtre au couteau
venu, on produise au procès une expertise de l'arme du crime, alors
que dans aucun des procès des camps de concentration une telle expertise
n'a été ordonnée, quand bien même des millions
d'assassinats étaient en cause ?
5) Dessinez une chambre à gaz nazie dans laquelle des juifs
ont été assassinés au Zyklon B et expliquez son
fonctionnement !
6) Après l'exécution d'un condamné à mort
dans une chambre à gaz américaine, cette dernière
doit être soigneusement ventilée avant qu'un médecin
doté d'un tablier de protection, d'un masque à gaz et de
gants puisse y pénétrer. D'après la confession de
Höss et des témoignages oculaires, les commandos spéciaux
d'Auschwitz entraient dans la chambre à gaz saturée d'acide
cyanhydrique soit immédiatement, soit une petite demi heure après
le gazage de 2 000 prisonniers, non seulement sans masque à
gaz mais la cigarette à la bouche, et s'attaquaient à des
cadavres intoxiqués sans en être incommodés. Comment
était-ce possible ?
7) Que faisaient les SS d'Auschwitz-Birkenau quand, en juin 1944,
six heures après le gazage de 2 000 juifs, qui devaient être
remplacés par les 2 000 condamnés suivants (on gazait
à l'époque jusqu'à 12 000 voire 24 000 juifs
par jour dans l'ensemble des installations !), il restait encore 1 940
cadavres dans la chambre à gaz (puisque les 15 moufles du crématoire
n'avaient pu incinérer en 6 heures que 60 cadavres tout au plus) ?
8) Selon le professeur Raul Hilberg et d'autres historiographes de
l'Holocauste, 400 000 juifs hongrois ont été gazés
et brûlés à Birkenau en l'espace de 52 jours, de mai
à juillet 1944. En admettant que les crématoires de Birkenau
aient pu incinérer 5 cadavres par moufle et par jour et qu'ils aient
fonctionné en permanence -- ce qui n'était pas le cas --,
on aurait pu incinérer dans l'ensemble des 46 moufles 11 960
cadavres en 52 jours. Où a-t-on brûlé les 388 040
cadavres restants ? (Merci de ne pas nous resservir l'histoire des
incinérations dans les fosses ; elles sont impossibles, ne
serait-ce qu'en raison du manque d'oxygène.)
9) Pourquoi les nazis n'ont-ils pas commis le 1,4 million d'assassinats
de Belzec et de Treblinka au moyen d'un de leurs nombreux gaz toxiques
ultra-efficaces plutôt que de se servir de gaz d'échappement
de moteurs Diesel, arme inefficace et inappropriée s'il en est ?
10) Pas un seul historien ne prétend qu'il y ait eu des crématoires
dans les deux << purs camps d'extermination >> mentionnés
ci-dessus, ni à Sobibor ni à Chelmno. Comment les nazis ont-ils
pu faire disparaître les cadavres du 1,9 million de personnes assassinées
dans ces quatre camps de manière telle qu'il n'en est pas resté
la moindre trace ?
11) Nous n'avons pas besoin de témoignages ni d'aveux pour
savoir que les Américains ont largué des bombes atomiques
sur Hiroshima et Nagasaki en août 1945. Comment se peut-il qu'on
ne dispose d'aucune preuve quelconque, autre que des témoignages
et des aveux, pour un génocide ayant fait des millions de victimes
dans des chambres à gaz -- pas un seul document, pas de cadavres,
pas d'armes du crime, rien ?
12) Donnez le nom d'un seul juif gazé et fournissez la preuve
qu'il l'a été -- une preuve qu'accepterait un tribunal jugeant
selon les principes du droit commun dans un procès criminel apolitique
normal. Une preuve ! Une seule preuve !
13) Le recensement du début de 1939 dénombrait en Union
soviétique un peu plus de 3 millions de juifs. Pendant la seconde
guerre mondiale, le pays a perdu -- au moins -- douze pour cent de sa population
et le pourcentage de pertes juives a certainement été supérieur
du fait des massacres perpétrés par les Allemands. Le 1er juillet
1990, le New York Post, se référant à des experts
israéliens, constatait que plus de 5 millions de juifs vivaient
encore en Union soviétique alors que l'émigration massive
avait commencé depuis longtemps. Comme une croissance naturelle
de cette minorité n'est pas possible du fait d'un taux de natalité
très bas et d'une forte tendance à l'assimilation, il a dû
y avoir, statistiquement, environ 3 millions de juifs << de
trop >> dans ce pays avant le début de la vague d'émigration
des années soixante. Cet état de choses s'explique-t-il autrement
que par le fait qu'une grande partie des juifs polonais et beaucoup de
juifs d'autres États ont été absorbés par l'Union
soviétique ?
14) Selon Nahum Goldmann (Le Paradoxe juif), 600 000 juifs
ont survécu aux camps de concentration. Comment 600 000 juifs
ont-ils pu survivre aux camps allemands alors que l'extermination intégrale
des juifs avait été décidée en janvier 1942,
à la Conférence de Wannsee ?
15) Êtes-vous prêt à réclamer la suspension
des mesures légales dirigées contre les révisionnistes ?
Êtes-vous favorable au dialogue et à l'ouverture complète
des archives ? Seriez-vous prêt à discuter publiquement
avec un révisionniste ? Sinon, pourquoi pas ? N'avez-vous
pas confiance dans la valeur de vos arguments ?
16) Si les chambres à gaz n'ont pas existé, faut-il
le dire ou le cacher ?
Bibliographie
On trouvera une bibliographie exhaustive dans Der Holocaust-Schwindel
[La Fraude de l'Holocauste] du même auteur (édité chez
Guideon Burg Verlag, Postfach 52, CH 4009 Bâle, Suisse). C'est pourquoi
nous ne mentionnons ici que quelques ouvrages fondamentaux permettant une
première approche :
- Arthur Butz
The Hoax of the Twentieth Century
Historical Review Press, 19 Madeira Place
Brighton, Angleterre, 1976
- Robert Faurisson
Mémoire en défense contre ceux qui m'accusent de
falsifier l'histoire
La Vieille Taupe, B.P. 9805, 75224-Paris
Cedex 05, France, 1980
- Walter Sanning
The Dissolution of Eastern European Jewry
Institute for Historical Review, P.O. Box
2739, Newport Beach, Ca. 92659, États Unis,
1983
- Wilhelm Stäglich
Le Mythe d'Auschwitz
La Vieille Taupe, Paris, 1986
(Der Auschwitz Mythos, Grabert, 1979, (ouvra-
ge interdit en Allemagne))
- Serge Thion
Vérité historique ou Vérité politique ?
La Vieille Taupe, Paris, 1980.
Nous recommandons en outre la lecture des revues suivantes :
- Journal of Historical Review, Institute for Historical Review,
P.O. Box 2739, Newport Beach, Ca. 92659, États Unis ;
- Historische Tatsachen, Verlag für Volkstum und Zeitgeschichte,
D-4973 Vlotho/Weser, Allemagne ;
- Annales d'histoire révisionniste, n° 1 à
8, B.P. 9805, 75224 Paris Cedex 05, France (la publication a cessé
après le huitième numéro -- Toujours disponible) ;
- Revue d'histoire révisionniste, n° 1
à 6, B.P. 122, 92704 Colombes Cedex, France (la Revue d'histoire
révisionniste s'est vue contrainte de plonger provisoirement
dans la clandestinité au bout du sixième numéro --
Toujours disponible).
L'édition originale en anglais du RAPPORT LEUCHTER s'obtient
auprès de l'Institute for Historical Review (États-Unis)
ou auprès de l'Historical Review Press en Angleterre. Le rapport
original comporte 192 pages dont des annexes techniques destinées
aux spécialistes. Une traduction des 26 premières pages qui
constituent la synthèse des recherches conduites par Fred A. Leuchter
a été publiée dans les Annales d'histoire révisionniste
n° 5, été-automne 1988. L'abrégé en
allemand publié dans le cahier n° 36 des Historische
Tatsachen a été interdit par le gouvernement d'Allemagne
fédérale.
Note de l'éditeur
(1re édition : juin 1993)
Au moment de remettre à l'imprimeur les épreuves de cet ouvrage,
nous apprenons du professeur Faurisson, de retour des États-Unis,
que le monumental Holocaust Memorial Museum, inauguré à Washington
le 22 avril 1993, ne comporte aucune représentation physique
(photographie ou maquette) de la moindre chambre à gaz homicide
hitlérienne, ni aucune notice explicative du fonctionnement de cette
arme terrifiante. Seule est exposée une photographie partielle de
la chambre à gaz d'épouillage de Majdanek (Pologne).
Ainsi donc, treize années de préparation -- puisque le musée
fut conçu dès 1980 -- n'ont pas permis à ce fastueux
musée, qui a coûté des millions de dollars au contribuable
américain et à la communauté juive américaine,
sans compter l'argent versé par le contribuable allemand, de montrer
autre chose qu'une chambre à gaz... de désinfection, reconnue
comme telle par Jean-Claude Pressac lui-même dans son ouvrage intitulé
Auschwitz : Technique and Operation of the Gas Chambers, édité
par la Beate Klarsfeld Foundation (p. 555 et p. 557).
Dernière minute
(fin septembre 1993)
Nous avons pu assister récemment à un simulacre de débat
-- hors la présence des révisionnistes -- à l'occasion
de la publication en France d'un livre du pharmacien (protégé
de Serge Klarsfeld et de Pierre Vidal-Naquet) Jean-Claude Pressac, intitulé
Les Crématoires d'Auschwitz. La Machinerie du meurtre de masse,
CNRS éditions. Les grands médias ont présenté
l'ouvrage comme fournissant pour la première fois la preuve scientifique
de l'existence des chambres à gaz. Il n'en est rien. Contrairement
à ce qui a été dit et écrit, ce livre n'apporte
pas de découverte par rapport au précédent ouvrage
publié en anglais par cet auteur en 1989, Auschwitz : Technique
and Operation of the Gas Chambers, et mentionné ici à
plusieurs reprises. Un point cependant mérite d'être souligné :
J.C. Pressac évalue à 800 000 le nombre total des
morts d'Auschwitz (NdA).
Table des
matières
- GRAF 1 (Couverture, Préface et Chapitres 1
à 10) :
Préface
1. L'unique tabou
2. Les révisionnistes
3. Est-il concevable qu'on puisse douter de l'holocauste ?
4. Les << historiens >> face au
révisionnisme
5. La répression se substitue au dialogue
6. Pourquoi les exterminationnistes redoutent le dialogue
7. Les révisionnistes contestent-ils la persécution des
juifs sous Hitler ?
8. Chambres à gaz ou pas, qu'est-ce que ça
change ?
9. Qu'entendaient les nazis par << solution finale de la
question juive >> ?
10. Les camps de concentration.
- GRAF 2 (Chapitres 11 à 20) :
11. Les massacres du front de l'Est
12. Pourquoi les puissances victorieuses ont-elles ajouté
l'Holocauste et les chambres à gaz aux atrocités
allemandes réelles ?
13. L'image officielle de l'Holocauste
14. L'absence de tout document sur l'Holocauste et les chambres
à gaz
15. Le talon d'Achille des exterminationnistes
16. Les chambres à gaz des États-Unis
17. Le Zyklon B et les chambres de désinfection
allemandes
18. Trois témoins clés d'Auschwitz
19. Les lois de la nature ont-elles été abolies de 1941
à 1945 ?
20. Le Rapport Leuchter.
- GRAF 3 (Chapitres 21 à 28) :
21. L'invisible éléphant
22. Autres preuves
23. L'Holocauste -- propagande de guerre
24. Les fosses incandescentes d'Élie Wiesel
25. Belzec ou le camp d'extermination fantôme
26. Treblinka, une offense à la raison
27. Majdanek : zéro, trois ou sept chambres à
gaz ?
28. Les chambres à gaz des camps de l'Ouest
- GRAF 4 (Chapitres 29 à 34) :
29. La genèse du mythe d'Auschwitz
30. Hitler n'avait-il pas << annoncé >>
l'Holocauste ?
31. Le procès de Nuremberg
32. Les procès des camps de concentration en Allemagne de
l'Ouest
33. Frank Walus et John Demjanjuk
34. Les récits des juifs << survivants de
l'Holocauste >>
-
GRAF 5 (Chapitres 35 à 43) :
35. Où sont les millions de
<< disparus >> ?
36. La dispersion
37. Le chiffre de six millions
38. La clé de la question démographique se trouve en
Union soviétique
39. Quelques cas célèbres
40. La réunion de famille des Steinberg
41. Un Holocauste n'a pas suffi
42. Le jugement de Robert Faurisson sur la légende de
l'Holocauste
43. Les enjeux
-
GRAF 6 (Chapitres 44 à la fin) :
44. Pourquoi les responsables allemands et autrichiens craignent-ils
la vérité historique comme le diable l'eau
bénite ?
45. Pourquoi les gouvernants et les faiseurs d'opinion des
démocraties occidentales ont-ils intérêt à
ce que le mythe perdure ?
46. Les raisons de la croyance générale à
l'Holocauste
47. La fin du mythe de l'Holocauste nuit-elle à la
majorité des juifs ?
48. Pourquoi devons-nous venir à bout du mythe de
l'Holocauste ?
49. La légende du siècle peut-elle survivre à ce
siècle ?
50. Croire à l'Holocauste, c'est croire aux sorcières au
XXe siècle
-- Appendice :
16 questions aux exterminationnistes
-- Bibliographie
-- Note de l'éditeur (juin 1993)
-- Dernière minute (septembre 1993)