GRAF 5
35) OÙ SONT LES MILLIONS DE << DISPARUS >> ?
Les révisionnistes doivent naturellement se poser la question de
savoir ce qui a bien pu arriver aux juifs disparus s'ils n'ont pas été
gazés, et à combien il convient d'estimer le nombre des victimes
juives de la guerre et de la persécution dans la sphère d'influence
d'Hitler.
Celui qui s'attend à trouver ici des chiffres exacts sera déçu ;
il est impossible d'être précis. Indépendamment du
fait que la libre recherche est entravée, toute étude statistique
de la population juive se heurte à d'innombrables obstacles :
la question de savoir qui est juif -- la différence entre juifs
et non juifs est souvent difficile à faire actuellement, en ce temps
d'assimilation et de mariages interraciaux ; le fait que les États-Unis
ne recensent pas leur population juive ; le manque de fiabilité
notoire des statistiques soviétiques et sionistes. On doit donc
se contenter d'estimations.
C'est à l'Américain d'origine allemande Walter Sanning qu'on
doit l'étude démographique de loin la plus importante sur
le destin des juifs pendant la seconde guerre mondiale. Dans son oeuvre
novatrice, The Dissolution of Eastern European Jewry (Costa Mesa,
1990), Sanning procède comme suit : il s'appuie presque exclusivement
sur des sources juives et alliées et n'accepte des documents allemands
que s'il est prouvé qu'ils émanent de source antinazie. Nous
résumons brièvement ici les enquêtes de Sanning sur
les pays clés que sont la Pologne et l'Union soviétique ;
ceux qui s'intéressent aux détails et aux statistiques concernant
les autres pays se procureront eux-mêmes le livre.
On parle souvent de quelque 3,5 millions de juifs vivant en Pologne en
1939. On arrive à ce chiffre en prenant pour base, pour les années
postérieures à 1931 -- date du dernier recensement qui avait
dénombré 3,1 millions de juifs--, un taux de croissance maximum
et en ne tenant pas compte de l'émigration massive des juifs. Entre
1931 et 1939, des centaines de milliers de juifs ont émigré
en raison des difficultés économiques et de l'antisémitisme
toujours plus agressif des Polonais. L'Institut d'histoire contemporaine
de Munich lui-même évalue à environ 100 000 par
année les émigrants juifs des années trente. Il s'ensuit
qu'il n'a pas pu se trouver plus de 2,7 millions de juifs en Pologne en
1939 (2,633 millions d'après Sanning).
Une partie importante de ces juifs vivait dans les territoires occupés
par l'Union soviétique en septembre 1939. En outre, lorsque Hitler
et Staline partagèrent la Pologne, des centaines de milliers de
juifs se réfugièrent de l'Ouest à l'Est. Il ne resta
dans la Pologne occidentale annexée par l'Allemagne et en Pologne
centrale, également passée sous domination allemande sous
le nom de << Gouvernement général >>,
qu'un million de juifs au plus (800 000 selon Sanning). Les juifs
demeurés sous contrôle allemand furent concentrés dans
des ghettos et devaient s'attendre constamment à être astreints
au travail obligatoire ; leur destin était donc de toute façon
funeste, avec ou sans chambres à gaz. Les épidémies
et la faim ont fait des dizaines de milliers de victimes dans les ghettos.
Lorsque les troupes allemandes pénétrèrent en Union
soviétique en juin 1941, la plus grande partie des juifs, 80 %
selon des informations soviétiques officielles (par exemple David
Bergelson, président du Comité antifasciste judéo
soviétique), furent évacués et disséminés
dans tout le territoire de l'immense empire. Il en alla de même pour
les juifs polonais passés sous le contrôle de Staline depuis
1939. Les juifs soviétiques qui se retrouvèrent sous domination
allemande n'étaient guère plus de 750 000. La guerre,
les massacres dus aux groupes d'intervention et les pogromes déclenchés
par la population indigène furent extrêmement sanglants, mais
la grande majorité des juifs survécurent.
A partir de 1942, les Allemands commencèrent à envoyer dans
les régions conquises à l'Est des juifs de tous les pays
soumis à leur contrôle. Ce fut la << solution finale
de la question juive >>. Les juifs transplantés furent
cantonnés dans des ghettos. Le destin de ces déportés
a été très peu étudié jusqu'ici ;
comme ces opérations de transfert contredisaient le Mythe, les vainqueurs
ont sans aucun doute détruit ou fait disparaître dans les
enfers des bibliothèques les documents relatifs à cette question
(les archives du ministère allemand des Affaires étrangères
confisquées par les fonctionnaires américains représentaient
quelque 485 tonnes de papier -- voy. W. Shirer, The
Rise and Fall of the Third Reich, New York, 1960, p. IX, X --
dont une partie seulement a été publiée à ce
jour) et les << témoignages de survivants >>
des déportés revenus tombaient fort mal, puisqu'ils allaient
à l'encontre de la thèse de la disparition des juifs européens
dans les camps d'extermination. Il n'en reste pas moins que les exterminationnistes
eux-mêmes admettent les déportations massives de juifs vers
la Russie ; Gerald Reitlinger, par exemple, traite le sujet de manière
relativement détaillée dans The Final Solution (éd.
Valentine, Mitchell & Co., 1953). Pour lui, le fait que les nazis aient
fait passer des masses de juifs à proximité de six camps
d'extermination fonctionnant à plein régime pour les envoyer
en Russie et les y établir, à un moment où ils avaient,
paraît-il, décidé depuis longtemps la destruction physique
intégrale du judaïsme, constitue un mystère.
On ne peut pas fixer le nombre de ces déportés. Le statisticien
SS Richard Korherr pense qu'au mois de mars 1943 le chiffre se montait
à 1,873 million. Mais il faut dire que le rapport Korherr n'est
pas absolument fiable.
Steffen Werner traite de l'établissement de juifs en Russie blanche
dans son livre Die zweite babylonische Gefangenschaft. Bien qu'il
faille le lire avec prudence, ce livre accumule les indices tendant à
montrer qu'un nombre très important de juifs furent envoyés
dans la partie orientale de la Russie blanche et qu'ils y restèrent
après la fin de la guerre. Un grand nombre des juifs polonais réfugiés
ou déportés en Union soviétique y sont certainement
restés volontairement, car ils avaient perdu en Pologne tous les
biens qu'ils possédaient et auraient dû repartir à
zéro. En outre, le gouvernement soviétique menait encore
à ce moment-là une politique ostensiblement philosémite
qui ne changea que peu avant la mort de Staline.
Il paraît invraisemblable qu'un nombre appréciable de juifs
d'Europe occidentale et d'Europe centrale soient restés volontairement
en Union soviétique. Certains ont-ils été retenus
contre leur gré ? Combien ont trouvé la mort, sont rentrés
chez eux ou ont émigré plus loin ? Qu'est-il advenu,
par exemple, des milliers de juifs hollandais qui ont été
déportés en Russie via Birkenau et Sobibor ? Toutes
ces questions restent sans réponse. Le moment est venu, presque
un demi-siècle après la guerre, d'ouvrir les archives et
de favoriser la recherche historique sérieuse au lieu de traduire
en justice des chercheurs de valeur comme Faurisson, d'interdire des études
fondées sur les principes de la recherche scientifique comme le
Rapport Leuchter et de mettre à l'index un livre comme Le Mythe
d'Auschwitz de Stäglich.
36) LA DISPERSION
Après la guerre, des centaines de milliers de juifs ont émigré
en Palestine, aux États-Unis et dans divers autres pays (il existe
70 communautés juives réparties à travers le monde
et regroupées au sein du Congrès juif mondial). La description
de ces vagues d'émigration constitue l'un des aspects les plus fascinants
du livre de Sanning. Sanning montre par quelles voies fantastiques beaucoup
de juifs ont gagné leur nouvelle patrie. Certains échouèrent
à Chypre ou en Perse avant d'atteindre leur véritable destination ;
d'autres s'attardèrent au Maroc ou en Tunisie. Toutes ces informations
sont confirmées par des statistiques démographiques officielles
et par des citations tirées des oeuvres d'auteurs juifs.
D'après les calculs de Sanning, les pertes juives des territoires
d'Union soviétique occupés par les Allemands se montent à
130 000 et celles des États européens à un peu
plus de 300 000. Il indique que le nombre réel des victimes
pourrait être sensiblement inférieur ou au contraire plus
élevé de quelques centaines de milliers. La deuxième
possibilité nous paraît de loin la plus vraisemblable. Il
est, certes, hautement improbable mais pas tout à fait exclu, compte
tenu du nombre des facteurs d'incertitude, que les pertes humaines du peuple
juif de la sphère d'influence allemande se soient montées
à un million environ -- c'est de ce chiffre qu'est parti naguère
le pionnier révisionniste Rassinier.
37) LE CHIFFRE DE SIX MILLIONS
Le chiffre mythique de six millions de juifs assassinés est apparu
dès 1942 dans la propagande sioniste. Nahum Goldmann, futur président
du Congrès juif mondial, annonçait le 9 mai 1942 que, des
huit millions de juifs qui se trouvaient au pouvoir d'Hitler, deux à
trois millions seulement survivraient à la guerre. Par la suite,
les statistiques démographiques ont été manipulées
jusqu'à ce que le chiffre souhaité soit atteint, au moins
approximativement. Pour ce faire, les exterminationnistes procèdent
comme suit :
- La plupart du temps, ils ne tiennent compte de l'énorme émigration
d'avant-guerre que dans les cas de l'Allemagne et de l'Autriche ;
- Ils ignorent l'émigration non négligeable des juifs
pendant la guerre ;
- Ils s'appuient sur les résultats des premiers recensements
de l'après-guerre, qui datent de 1946 ou de 1947 et sont donc postérieurs
à l'émigration de centaines de milliers de juifs dans des
territoires extra européens ;
- Ils négligent l'évacuation massive, attestée
par des sources soviétiques irrécusables, des juifs soviétiques
après l'entrée des Allemands en Union soviétique et
passent sous silence la fuite d'une grande partie des juifs polonais vers
l'Union soviétique ;
- Tous les juifs transférés en Russie par les Allemands
et restés là-bas sont déclarés assassinés.
Sont également considérés comme victimes de l'Holocauste
tous les juifs morts dans les camps de travail soviétiques à
la suite des déportations staliniennes et tous les soldats juifs
alliés tombés au combat ;
- Les exterminationnistes ne prennent pas en compte des facteurs comme
les taux de croissance démographique négatifs consécutifs
à l'émigration massive des jeunes.
Nous proposons deux exemples des méthodes de travail des exterminationnistes.
Premier exemple : un juif polonais émigre en France
dans les années trente, comme des dizaines de milliers de ses coreligionnaires.
Il y est arrêté en 1942 et envoyé dans un camp de concentration.
Selon les calculs de l'avocat sioniste Serge Klarsfeld, 75 721 juifs
de France ont été déportés sous l'occupation
allemande. Plus de deux tiers d'entre eux étaient détenteurs
de passeports étrangers, Pétain voyant d'un mauvais oeil
la déportation de citoyens français. Afin de gonfler au maximum
le nombre des victimes, Klarsfeld, dans son Mémorial de la déportation
des juifs de France, déclare morts tous les juifs déportés
qui, fin 1945, n'avaient pas déclaré leur retour au ministère
des Anciens Combattants. Pourtant, une telle déclaration n'était
nullement obligatoire ! De plus, beaucoup des rescapés juifs
de nationalité étrangère ont émigré
immédiatement en Palestine, en Amérique ou ailleurs.
Admettons que le juif mentionné dans notre exemple ait émigré
en Amérique du Sud après son retour d'un camp de travail
en 1945. Il figure alors à deux titres dans les statistiques de
l'Holocauste : premièrement, il fait partie des juifs qui vivaient
encore en Pologne lors du dernier recensement de 1931 mais n'y étaient
plus après la guerre et avaient par conséquent été
gazés ; deuxièmement, il n'a pas déclaré
son retour au ministère des Anciens Combattants avant fin décembre
1945 et a par conséquent été l'un des juifs de France
gazés. Il est donc mort deux fois.
Deuxième exemple : une famille juive, appelons-la Süssmann,
est arrêtée par les nazis en 1942. Le mari est envoyé
dans un camp de travail, la femme et ses deux enfants sont placés
dans un ghetto où se crée une nouvelle communauté
familiale. La guerre terminée, la femme émigre en Israël
avec ses enfants et son nouveau partenaire, qu'elle épouse là-bas.
Elle fait porter son premier mari disparu et celui-ci entre dans les statistiques
de l'Holocauste. En réalité, en 1945, il a émigré
aux États-Unis où il a fait enregistrer le décès
de sa femme et de ses enfants. Mais si quelqu'un avait par la suite l'idée
de chercher aux États-Unis un certain Jakob Süssmann, il en
serait pour ses frais, car Jakob Süssmann n'existe plus. Avis de décès
paru dans Aufbau, journal juif germanophone new-yorkais : << Le
14 mars 1982 est décédé subitement notre cher père,
beau-père et grand-père James Sweetman (Süssmann --
NdlA), anciennement Danzig (...) >>.
La revue Historische Tatsachen (n° 52) donne d'autres exemples,
tirés de Aufbau, de semblables changements de noms :
Königsberger devient King, Oppenheimer Oppen, Malsch Maier, Heilberg
Hilburn, Mohrenwitz Moore, Günzburger Gunby. -- La famille Süssmann
a donc fourni quatre noms aux statistiques de l'Holocauste, bien que tous
ses membres aient survécu à la guerre.
38) LA CLÉ DE LA QUESTION DÉMOGRAPHIQUE SE TROUVE EN
UNION SOVIÉTIQUE
Selon le recensement de 1939, il y avait à l'époque en Union
soviétique un peu plus de trois millions de juifs. C'est tout juste
si, à ce moment-là déjà, compte tenu du taux
de natalité extrêmement bas de la minorité juive et
d'une tendance croissante à l'assimilation, on pouvait encore parler
d'un accroissement naturel de cette catégorie de la population.
Le premier recensement d'après-guerre (1959) n'a dénombré,
il est vrai, que 2,267 millions de juifs soviétiques, mais tous
les sionistes s'accordent à dire que ce chiffre ne correspond à
aucune réalité ; il régnait déjà
à l'époque en Union soviétique un climat empreint
d'antisionisme et quiconque s'avouait juif devait s'attendre à des
ennuis. De plus, beaucoup de juifs se sentaient et se déclaraient
russes, ukrainiens, etc. plutôt que juifs et chacun pouvait donner,
lors des recensements soviétiques, la nationalité qu'il estimait
être la sienne.
Même après le début de l'émigration massive
des juifs soviétiques en Israël et aux États-Unis, qui
commença à la fin des années soixante, des sources
juives et israéliennes estimaient à plus de quatre millions
le nombre des juifs soviétiques, et le New York Post écrivait
le 1er juillet 1990 :
On estimait naguère qu'il vivait en Union soviétique deux
à trois millions de juifs. Cependant, des émissaires israéliens
qui, grâce à l'amélioration des relations diplomatiques,
peuvent se rendre librement en Union soviétique annoncent que le
nombre véritable se monte à plus de 5 millions.
Selon des sources officielles, le nombre des émigrés
qui ont quitté l'Union soviétique à partir des années
soixante se monterait à 1 million environ. En admettant un léger
accroissement de population dû à la natalité, et pour
autant que les chiffres du New York Post soient exacts, il a dû
vivre en Union soviétique avant le début de la vague d'émigration
près de 6 millions de juifs -- au moins trois millions << de
trop >> du point de vue de la statistique de 1959 --, ce qui
prouve qu'une grande partie des juifs polonais prétendument gazés,
de même que beaucoup de juifs d'autres pays européens -- de
Roumanie et des Balkans principalement -- ont été absorbés
par l'Union soviétique.
On aura une idée de la manière dont les exterminationnistes
utilisent les mathématiques en lisant l'anthologie publiée
en 1991 par Wolfgang Benz sous le titre de Dimension des Völkermordes,
dans laquelle figure une contribution d'un certain Gert Robel. Selon Robel,
il y avait en Union soviétique, au début de la guerre germano-soviétique,
plus de 5 millions de juifs, ce qui correspond dans une large mesure au
nombre calculé par Sanning. Robel prétend que 2,8 millions
de juifs soviétiques ont été massacrés par
les Allemands.
12 % au moins de la population soviétique ont trouvé
la mort pendant la guerre, principalement en raison des évacuations
massives ordonnées par Staline et de sa politique de la terre brûlée.
Il n'y a aucune raison pour que le pourcentage des victimes juives de la
guerre ait été inférieur. Donc, des quelque 2,2 millions
de juifs qui, selon Robel, ont survécu aux massacres allemands,
264 000 au minimum ont péri pour d'autres causes liées
à la guerre. Par conséquent, si nous suivons M. Robel,
il ne pouvait rester en Union soviétique, en 1945, que 1,9 million
de juifs au grand maximum - probablement beaucoup moins. Comment ce nombre
a-t-il pu tripler, compte tenu du faible taux de natalité des juifs
soviétiques et de leur tendance à s'assimiler ?
39) QUELQUES CAS CÉLÈBRES
Beaucoup de cas particuliers montrent que, si les épidémies
et les privations provoquèrent d'innombrables décès
dans les camps de concentration, il n'y eut pas d'extermination systématique.
Après l'occupation de l'Italie par les Allemands, Primo Levi se
joignit aux résistants. Il fut fait prisonnier et on l'envoya travailler
à Auschwitz. Il a survécu et a écrit après
sa libération son livre Si c'est un homme (Julliard, 1987).
Le juif autrichien et socialiste de gauche Benedikt Kautsky aurait dû
trouver cent fois la mort. Il passa sept ans dans les camps : Dachau,
Buchenwald, Auschwitz et Buchenwald encore. Il a écrit après
la guerre son ouvrage Teufel und Verdammte (<< Démons
et damnés >>, Zurich, 1946). Sa mère octogénaire
mourut à Birkenau en décembre 1944. Enfermer de si vieilles
gens est une honte, mais ne démontre pas une volonté d'extermination.
Mme Kautsky reçut des soins médicaux ;
il n'est pas certain qu'en liberté elle aurait vécu plus
longtemps dans les affreuses conditions du dernier hiver de la guerre.
Otto Frank et ses filles Anne et Margot ont survécu à Auschwitz.
Anne et Margot furent déportées à Belsen où
elles moururent au début de l'année 1945, vraisemblablement
du typhus. Otto Frank est mort en Suisse à un âge avancé.
Dans Le Paradoxe juif (Stock, 1976), Nahum Goldmann, qui fut pendant
des années président du Congrès juif mondial, écrit
ceci :
Mais en 1945, il y avait quelque 600 000 survivants juifs des camps
de concentration qu'aucun pays ne voulait accueillir.
Si les nazis avaient voulu exterminer les juifs, comment 600 000
juifs auraient-ils pu survivre aux camps allemands ? Entre la Conférence
de Wannsee et la fin de la guerre, les Allemands avaient eu trois ans et
trois mois pour accomplir leur oeuvre d'extermination !
Jetons un coup d'oeil à la longue liste de noms de juifs éminents
qui ont survécu à Auschwitz ou à d'autres camps et
prisons allemands. Nous y trouvons, parmi beaucoup d'autres :
- Léon Blum, chef du gouvernement du Front populaire de la
France d'avant guerre ;
- Simone Veil, qui deviendra plus tard présidente du Parlement
européen ;
- Henri Krasucki, qui deviendra plus tard le numéro 2 du syndicat
français CGT ;
- Marie-Claude Vaillant-Couturier, qui deviendra plus tard membre
du comité central du Parti communiste de France ;
- Gilbert Salomon, actuel PDG de SOCOPA (viandes et bétail)
et des Boucheries Bernard ;
Jozef Cyrankiewicz, qui deviendra plus tard chef du gouvernement
polonais ;
- Dov Shilanski et Sheevach Weiss, ancien et actuel présidents
de la Knesseth ;
- Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992 ;
- Roman Polanski, cinéaste (Rosemary's Baby) ;
- Leo Baeck, considéré par beaucoup comme le plus grand
rabbin du siècle ;
- Jean Améry, philosophe ;
- Samuel Pisar, écrivain français ;
Erik Blumenfeld, homme politique, membre de la CDU ;
Hermann Axen, homme politique, membre du SED ;
Paul Celan, poète (<< Der Tod ist ein Meister
aus Deutschland >> ) ;
- Simon Wiesenthal, le fameux << chasseur de nazis >> ;
Ephraim Kishon, auteur satirique ;
- Heinz Galinski et Ignatz Bubis, ancien et actuel présidents
du Conseil central des juifs allemands ;
- Georges Wellers et Schmuel Krakowski, tous deux co-auteurs de l'anthologie
Les Chambres à gaz, secret d'État (Éditions
de Minuit, 1984) ;
- Et Élie Wiesel.
En janvier 1945, Élie Wiesel, détenu d'Auschwitz, souffrit
d'une infection à un pied. Il cessa donc d'être apte au travail.
Il fut admis à l'hôpital et subit une petite intervention
chirurgicale. Pendant ce temps, l'Armée rouge approchait. Les détenus
furent informés que les gens en bonne santé seraient évacués
et que les malades pourraient rester s'ils le voulaient. Élie et
son père faisaient partie des malades. Que choisirent-ils ?
De rester et d'attendre leurs libérateurs ? Non, ils se joignirent
volontairement aux Allemands -- à ces Allemands qui avaient, devant
les yeux d'Élie Wiesel, jeté des bébés dans
les flammes d'une fosse et poussé des juifs adultes dans le feu
d'une autre fosse plus grande, où les victimes avaient << agonisé
durant des heures dans les flammes >>, ainsi qu'on peut le lire
dans La Nuit.
On enseigne aux enfants des écoles que l'objectif d'Hitler était
l'extermination des juifs et que l'anéantissement des juifs fut
décidé le 20 janvier 1942 à la Conférence de
Wannsee. Si les professeurs d'histoire et les livres d'histoire avaient
raison, ce ne sont pas 600 000 anciens détenus juifs des camps
de concentration qui auraient survécu, mais 600 dans le meilleur
des cas. N'oublions pas que le IIIe Reich était
un État policier extrêmement efficace.
Dans son brillant exposé sur les perspectives historiques de la
légende de l'Holocauste, Arthur Butz émettait l'avis que
les historiens à venir reprocheraient aux révisionnistes
l'étrange aveuglement qui les a conduits à permettre aux
arbres de leur cacher la forêt. En d'autres termes, à force
de se concentrer sur des détails, les révisionnistes ont
négligé cette évidence : à la fin de la
guerre, les juifs étaient toujours là.
On peut s'en convaincre en lisant les notices biographiques reproduites
ci-dessous et que Martin Gilbert consacre aux personnes mentionnées
dans son livre Auschwitz and the Allies. Gilbert cite les personnalités
juives suivantes :
- Sarah Cender, qui fut déportée à Auschwitz
en 1944 et émigra en Amérique après la guerre ;
- Wilhelm Fildermann, qui survécut à la guerre en Roumanie
fasciste ;
- Arie Hassenberg, qui fut envoyé à Auschwitz en 1943
et s'en échappa en janvier 1945 ;
- Erich Kulka, qui survécut à Dachau, Neuengamme et
Auschwitz, et coucha sur le papier, en 1975, ses expériences dans
les camps ;
- Schalom Lindenbaum, qui s' << échappa de
la colonne en marche >> après l'évacuation d'Auschwitz ;
- Czeslaw Mordowicz, qui s'enfuit d'Auschwitz en mai 1944 et émigra
en Israël en 1966 ;
- Arnost Rosin, qui fut détenu à Auschwitz de 1942 à
1944 et qui, en 1968, devint fonctionnaire au service de la communauté
juive de Düsseldorf ;
Katherina Singerova, qui fut déportée à Auschwitz
au printemps 1942 et devint, après la guerre, directrice du Fonds
national tchécoslovaque en faveur des créateurs artistiques ;
- Dov Weissmandel, qui fut envoyé à Auschwitz et qui
<< s'échappa en pratiquant une lucarne dans le wagon
à l'aide d'une scie introduite clandestinement dans le train à
l'intérieur d'une miche de pain >> ;
- Alfred Wetzler, co-auteur du War Refugee Board Report et
auteur de la brochure Auschwitz : Grab von vier Millionen Menschen,
qui s'enfuit d'Auschwitz en mai 1944, en compagnie du fameux Rudolf Vrba.
D'autres juifs mentionnés par Gilbert ne furent pas déportés
par les nazis mais choisis -- ce fut le cas de Rudolf Kastner -- comme
interlocuteurs ou utilisés comme espions -- ce fut le cas d'Andor
Gross. Dans son épais ouvrage, Martin Gilbert ne cesse de parler
de gazages, mais il ne donne pas le nom d'un seul gazé ! Au
contraire, comme nous venons de le voir, il énumère quantité
de gens non gazés. Les millions de gazés sont, pour reprendre
une expression d'Orwell, des << non existing people >>.
L'article << Dann bin ich weg über Nacht >>,
paru dans le Spiegel (n° 51/1992) évoque les juifs
suivants :
Rachel Naor, 20 ans, dont le grand-père << a
survécu aux camps d'extermination des nazis >> (pourquoi
n'a-t-il pas été exterminé ?) ;
- Ralph Giordano, qui vécut la guerre en Allemagne en liberté,
au vu et au su de la Gestapo ;
- Leo Baeck, qui prophétisa, après sa libération
de Theresienstadt, que l'époque des juifs d'Allemagne était
définitivement terminée ;
- Yohanan Zarai, qui a survécu à la période nazie
au ghetto de Budapest ;
Inge Deutschkron, qui a décrit, dans son autobiographie Ich
trug den gelben Stern, sa jeunesse en Allemagne ;
Theodor Goldstein, 80 ans, que les nazis déportèrent
au camp de travail de Wullheide.
A la suite de cet article, le Spiegel publie un entretien avec le
président du Conseil de la communauté juive allemande, Ignatz
Bubis, survivant de l'Holocauste, successeur de Heinz Galinski, lui aussi
survivant de l'Holocauste.
Certes, tous ces survivants prétendent en avoir réchappé
par miracle, mais, justement, les miracles à la chaîne ne
sont plus des miracles. Loin d'être des témoins clés
de l'Holocauste, tous ces gens apportent la preuve qu'il n'y a pas eu d'Holocauste.
Alors que, selon Goldmann, 600 000 juifs ont survécu aux camps
de concentration, il est vraisemblable que 200 000 à 300 000
juifs sont morts dans ces mêmes camps, principalement de maladie,
mais aussi de faim durant les derniers mois chaotiques de la guerre. Le
peuple juif a vécu une tragédie, même sans chambres
à gaz.
40) LA RÉUNION DE FAMILLE DES STEINBERG
Le State Time (Baton Rouge, Louisiane, États-Unis) du 24
novembre 1978 rapporte ce qui suit :
Los Angeles (Associated Press) -- Autrefois, les Steinberg florissaient
dans un petit village juif de Pologne. C'était avant les camps de
la mort d'Hitler. Voici qu'un vaste groupe de plus de deux cents survivants
et leurs descendants sont ici réunis pour participer ensemble à
une célébration spéciale de quatre jours qui a opportunément
commencé le jour d'Action de Grâce (Thanksgiving day). Des
parents sont venus jeudi du Canada, de France, d'Angleterre, d'Argentine,
de Colombie, d'Israël et d'au moins treize villes des États
Unis. << C'est fabuleux >>, a dit Iris Krasnow, de
Chicago. << Il y a ici cinq générations qui vont
de trois mois à quatre-vingt-cinq ans. Les gens pleurent de bonheur
et passent un merveilleux moment. C'est presque comme une réunion
de réfugiés de la seconde guerre mondiale. >>
Sam Klaparda de Tel Aviv était stupéfait par un vaste arbre
généalogique installé dans le salon de l'hôtel
Marriott de l'aéroport international de Los Angeles. << C'est
fantastique... ce que je peux avoir de parents >>, dit-il. L'idée
du pèlerinage provenait de Joe et Gladys Steinberg de Los Angeles.
Ils s'étaient assuré l'aide de plusieurs parents, dont une
belle fille, Elaine Steinberg, pour leur recherche des membres de la famille.
(...)
Pour la mère d'Iris Krasnow, Hélène, qui avait quitté
la Pologne pour la France, puis pour les État-Unis, c'était
un joyeux événement. << Je pleure, dit-elle, je
ne peux croire que tant de personnes ont survécu à l'Holocauste.
Il y a ici tant de vie -- une autre génération. C'est magnifique. >>
<< Si Hitler apprenait cela, il se retournerait dans sa tombe >>,
dit-elle (cité d'après Serge Thion, Vérité
historique ou vérité politique ?, La Vieille Taupe,
1980, p. 325-326).
Parmi les centaines de parents que les Steinberg n'ont pas réussi
à découvrir -- ils avaient fait paraître une annonce
-, beaucoup ont certainement perdu la vie sous la domination allemande.
D'autres, comme ceux que l'on a retrouvés, sont disséminés
dans tous les pays du monde occidental, d'Israël à l'Argentine
en passant par les États-Unis (il existe 70 communautés juives
réparties à travers le monde et regroupées au sein
du Congrès juif mondial). D'autres, plus nombreux, vivent dans les
immenses étendues de Russie ou y sont morts de mort naturelle.
41) UN HOLOCAUSTE N'A PAS SUFFI
Au massacre de six millions de juifs, les exterminationnistes ajoutent
le massacre de 500 000 Tziganes. C'est le sujet que traite Sebastian
Haffner dans son livre Anmerkungen zu Hitler :
A partir de 1941, les Tziganes des territoires occupés d'Europe
orientale furent exterminés aussi systématiquement que les
juifs qui y vivaient. Ce massacre (...) n'a guère été
étudié dans le détail, même plus tard. On n'en
a pas parlé beaucoup lorsqu'il a eu lieu et même aujourd'hui
on n'en sait pas beaucoup plus que le fait justement qu'il a eu lieu (Anmerkungen
zu Hitler, Fischer Taschenbuch Verlag, 1981, p. 130).
Il n'y a donc aucune preuve du massacre des Tziganes, mais on sait tout
de même qu'il a eu lieu ! Dans le numéro 23 de la revue
Historische Tatsachen, Udo Walendy se livre à une étude
approfondie du massacre supposé des Tziganes. Le numéro en
question a été, comme toute une série d'autres, interdit
par la censure de l'État allemand, bien que les censeurs se soient
montrés incapables de déceler la moindre inexactitude dans
l'étude de Walendy. -- << Aucun livre n'atteste leur
martyre, aucune monographie ne décrit leur marche vers les chambres
à gaz et les commandos d'exécution du IIIe Reich >>,
constate le Spiegel (n° 10/1979) confronté à
l'absence de tout document relatif à l'assassinat de cinq cent mille
Tziganes.
42) LE JUGEMENT DE ROBERT FAURISSON SUR LA LÉGENDE DE L'HOLOCAUSTE
Au premier abord, il paraît incompréhensible qu'un système
démocratique défende par le recours à la censure et
à la terreur une légende aussi exécrable que celle
du gazage de millions d'innocents. Il semble à première vue
encore plus inconcevable que ceux qui se cramponnent avec le plus d'acharnement
à ce mythe horrible soient précisément ceux pour qui
la fin de la légende du siècle signifierait la fin d'un cauchemar,
à savoir les juifs -- et les Allemands.
Si la légende est défendue par tous les moyens, c'est que
la victoire de la vérité historique représenterait
pour énormément de gens immensément puissants une
catastrophe incommensurable, irréparable à jamais.
Robert Faurisson qui, plus que tout autre peut-être, a contribué
à dévoiler le mythe (sans lui, le Rapport Leuchter n'aurait
jamais vu le jour), a résumé sa thèse en une phrase
de quatre-vingt-deux mots, que voici :
Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le
prétendu génocide des juifs forment un seul et même
mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière,
dont les principaux bénéficiaires sont l'État d'Israël
et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple
allemand, mais non pas ses dirigeants, le peuple palestinien tout
entier et, enfin, les jeunes générations juives que la religion
de l'Holocauste enferme de plus en plus dans un ghetto psychologique et
moral.
43) LES ENJEUX
Depuis 1952, la RFA a payé -- selon le Spiegel (n° 18/1992)
-- 85,4 milliards de DM à Israël et aux organisations sionistes,
ainsi qu'à des particuliers juifs. Une petite partie de cette somme
est allée à d'anciens prisonniers des camps de concentration ;
personne ne conteste le bien-fondé moral de ces versements. Mais
la plus grande partie de cet argent a été payée en
guise de réparation pour des chambres à gaz mythiques à
un État qui n'existait pas à l'époque du prétendu
génocide. Dans son autobiographie, Le Paradoxe juif (op.
cit., p. 152), Nahum Goldmann écrit ceci :
Sans les réparations allemandes, qui ont commencé à
intervenir au cours des dix premières années d'existence
de l'État, Israël n'aurait pas la moitié de son infrastructure
actuelle : tous les trains en Israël sont allemands, les bateaux
sont allemands, ainsi que l'électricité, une grande partie
de l'industrie (...) sans même parler des pensions versées
aux survivants.
Quelques pages plus loin (p. 160), Goldmann montre le bout de
l'oreille :
Je veux maintenant vous raconter deux épisodes qui appartiennent
au chapitre << Comment gagner des millions en racontant des
histoires >> (...).
L'Holocauste constitue en outre pour Israël un moyen éprouvé
de s'assurer l'appui inconditionnel des États-Unis. Ce sont les
Palestiniens qui font les frais de cette politique. Ils sont les principales
victimes du mythe de l'Holocauste et beaucoup d'entre eux vivent depuis
des décennies dans des camps de réfugiés misérables,
par suite de l'invention des chambres à gaz par les sionistes.
Enfin, tant l'État d'Israël que les organisations sionistes
internationales se servent de l'Holocauste pour maintenir en permanence
les juifs de tous les pays dans un état d'hystérie et de
de psychose de la persécution qui constitue le meilleur des ciments.
A y bien regarder, un seul lien unit encore tous les juifs du monde, Ashkénazes
et Sépharades, religieux et athées, gens de gauche et gens
de droite : l'effroyable traumatisme de l'Holocauste, la volonté
farouche de ne jamais plus être les agneaux que l'on mène
à la boucherie. C'est ainsi que l'Holocauste est devenu un succédané
de la religion, auquel peut croire même l'agnostique juif le plus
endurci ; c'est ainsi que les chambres à gaz d'Auschwitz sont
devenues le reliquaire le plus sacré du monde.
Pourtant, la raison principale pour laquelle, du point de vue israélien
et sioniste, la légende doit être préservée
à tout prix réside encore ailleurs. Le jour où le
mythe sera reconnu comme tel, l'heure de vérité sonnera en
Israël et chez les juifs du monde entier. Tout comme les Allemands
-- et les Autrichiens --, les juifs demanderont à leurs dirigeants :
<< Pourquoi nous avez-vous menti jour après jour ? >>
La perte de confiance que subira l'Établissement israélien
et juif -- politiciens, rabbins, écrivains, journalistes, historiens
-- devrait être irrémédiable. Dans ces conditions,
une terrible communauté de destin unit la caste dirigeante israélienne
et juive à la caste dirigeante allemande : toutes deux se sont
empêtrées dans un guêpier dont il n'est plus possible
de s'échapper et elles essaient désespérément
de repousser par tous les moyens l'arrivée du jour J.
(Voir suite dans GRAF 6)
Table des
matières
- GRAF 1 (Couverture, Préface et Chapitres 1
à 10) :
Préface
1. L'unique tabou
2. Les révisionnistes
3. Est-il concevable qu'on puisse douter de l'holocauste ?
4. Les << historiens >> face au
révisionnisme
5. La répression se substitue au dialogue
6. Pourquoi les exterminationnistes redoutent le dialogue
7. Les révisionnistes contestent-ils la persécution des
juifs sous Hitler ?
8. Chambres à gaz ou pas, qu'est-ce que ça
change ?
9. Qu'entendaient les nazis par << solution finale de la
question juive >> ?
10. Les camps de concentration.
- GRAF 2 (Chapitres 11 à 20) :
11. Les massacres du front de l'Est
12. Pourquoi les puissances victorieuses ont-elles ajouté
l'Holocauste et les chambres à gaz aux atrocités
allemandes réelles ?
13. L'image officielle de l'Holocauste
14. L'absence de tout document sur l'Holocauste et les chambres
à gaz
15. Le talon d'Achille des exterminationnistes
16. Les chambres à gaz des États-Unis
17. Le Zyklon B et les chambres de désinfection
allemandes
18. Trois témoins clés d'Auschwitz
19. Les lois de la nature ont-elles été abolies de 1941
à 1945 ?
20. Le Rapport Leuchter.
- GRAF 3 (Chapitres 21 à 28) :
21. L'invisible éléphant
22. Autres preuves
23. L'Holocauste -- propagande de guerre
24. Les fosses incandescentes d'Élie Wiesel
25. Belzec ou le camp d'extermination fantôme
26. Treblinka, une offense à la raison
27. Majdanek : zéro, trois ou sept chambres à
gaz ?
28. Les chambres à gaz des camps de l'Ouest
- GRAF 4 (Chapitres 29 à 34) :
29. La genèse du mythe d'Auschwitz
30. Hitler n'avait-il pas << annoncé >>
l'Holocauste ?
31. Le procès de Nuremberg
32. Les procès des camps de concentration en Allemagne de
l'Ouest
33. Frank Walus et John Demjanjuk
34. Les récits des juifs << survivants de
l'Holocauste >>
-
GRAF 5 (Chapitres 35 à 43) :
35. Où sont les millions de
<< disparus >> ?
36. La dispersion
37. Le chiffre de six millions
38. La clé de la question démographique se trouve en
Union soviétique
39. Quelques cas célèbres
40. La réunion de famille des Steinberg
41. Un Holocauste n'a pas suffi
42. Le jugement de Robert Faurisson sur la légende de
l'Holocauste
43. Les enjeux
-
GRAF 6 (Chapitres 44 à la fin) :
44. Pourquoi les responsables allemands et autrichiens craignent-ils
la vérité historique comme le diable l'eau
bénite ?
45. Pourquoi les gouvernants et les faiseurs d'opinion des
démocraties occidentales ont-ils intérêt à
ce que le mythe perdure ?
46. Les raisons de la croyance générale à
l'Holocauste
47. La fin du mythe de l'Holocauste nuit-elle à la
majorité des juifs ?
48. Pourquoi devons-nous venir à bout du mythe de
l'Holocauste ?
49. La légende du siècle peut-elle survivre à ce
siècle ?
50. Croire à l'Holocauste, c'est croire aux sorcières au
XXe siècle
-- Appendice :
16 questions aux exterminationnistes
-- Bibliographie
-- Note de l'éditeur (juin 1993)
-- Dernière minute (septembre 1993)