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La Chronique de Maxime Pale
7

L´"Holocauste": un commerce lucratif!

PARDON A L'HISTOIRE

Du révisionnisme et de l'exterminationnisme

________________________

"Le seul fait que se manifeste une dissidence armée favorise le processus de militarisation du commandement capitaliste, l'exacerbation des contradictions de la démocratie bourgeoise, la militarisation de la politique."
Frédéric Oriach


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La secte exterminationniste d'Etat


Le révisionnisme, vous savez, ce n'est pas un jeu, un petit truc intellectuel pour les historiens. A nous, on nous parle de ces mecs qui ont osé remettre en cause, qui les chambres à gaz, qui le Génocide. Et toute une cosmologie du langage, avec ça. Il y a les négationnistes, ça c'est du point de vue des gentils. C'est le langage des héros de la République. Et je crois que le but du jeu est de donner une image négative de la chose.
C'est un petit glissement sémantique, la guerre de mots et des idées.
Le négationniste, c'est le gars qui nie. Ce n'est pas un historien, le négationniste. Il ne fait pas de recherche, ce n'est pas un intellectuel. Au mieux, dans la presse républicaine, c'est un pseudo-intellectuel (sic). Un faux, un menteur, qui travesti la réalité. Un illusionniste. Accepter le terme de révisionniste n'est pas supportable, aux yeux des défenseurs de l'holocauste. Ce serait rentrer dans la logique des damnés, admettre que leur travail possède une quelconque légitimité intellectuelle et universitaire.
Mais à pinailler sur les termes, les défenseurs de la vérité génocidaire se font prendre à leur propre piège, au fil des discours ultra-médiatiques et des débats houleux qui ne sont que condamnations répétées des révisionnistes. Ils accusent Faurisson et les autres de monstruosité idéologique, de perversité intellectuelle, d'aveuglement historique et les soupçonnent de déviance quasi-mythologique. Et cela parce qu'ils remettent en question le bien, la sainteté historique construite sur le souvenir de cadavres.
Le souvenir du Génocide, c'est tout une mythologie.
Le bien contre le mal, la lumière contre les ténèbres, une religion, en fait. Faute de chrétienté écrasée par la République qui en a récupéré les morceaux les plus mièvres. Une nouvelle religion, presque une secte. Et en cela, la République est un Etat quasi-religieux, théocratique, qui s'appuie sur une vérité ancestrale dont la légitimité ou la véracité objective n'ont nul besoin d'être prouvées. Pas de problème. Il y a le conflit fondateur, la Seconde Guerre Mondiale, et les créatures du mal, les fascistes. Et puis la pureté, la sainteté, la brise océane des libérateurs originels contre la putréfaction déviante.
Une religion, que l'on étudie ligne par ligne et mot par mot. Pour en tirer la sagesse, les enseignements théologiques. Il faut méditer, réfléchir et hocher la tête avec cérémonie. Comprendre l'ampleur du mal et la force du bien. J'ai dit une religion, plutôt une caricature, une sorte de construction à la va-vite. Un empilement de symboles grossiers et de tabous hâtivement scellés. Voilà pourquoi je parle plutôt de secte. Rien à voir avec nos traditions religieuses séculaires. Plus un fatras mystique et idéologique, vulgarisé à souhait pour le filtre médiatique, manichéen comme il faut pour plaire au peuple et ses enfants. Une farce religieuse, une parodie de la Chrétienté, de l'Islam.
L'exterminationnisme, on l'appelle comme ça.
Ses défenseurs sont les porte-paroles de l'horreur, qu'ils jettent pourtant à la face de leurs adversaires. Ils accusent les révisionnistes de propager le mensonge et de remettre en question l'histoire établie. Ils les accusent d'être en cela des créatures terribles, des mecs mauvais jusqu'au plus profond de leur âme, du genre satanistes, hérétiques. Et pourtant, les monstres ne sont pas ceux que l'on croit. Bien au contraire, ce ne sont presque jamais ceux que l'on désigne de façon officielle comme tels. Un consensus, en effet, sur le dénigrement d'un individu, d'une école de pensée ou d'un comportement est bien plus souvent révélateur d'une construction idéologique totalitaire, subjective.
Un tel consensus sur la traque des révisionnistes, ça devrait pourtant éveiller des questions, chez certains. Je ne sais pas, moi, on dirait que ça ne dérange personne qu'une poignée d'intellectuels subisse les foudres solidaires des médias, des politiques et des universitaires français ou européens. Comme si c'était logique, normal. Comme si tout ça coulait d'une putain de source et satisfaisait tout le monde.
Mais la bête maléfique de la mythologie exterminationniste n'est pas si terrible.
En effet, si on y regarde de près, c'est quoi, son problème, à la bête? C'est de se pencher sur une période de l'histoire pas bien fameuse, un grand massacre et tout ça. Et puis c'est de dire qu'il y a des choses qu'on nous a cachées là-dessus. Que la réalité, si horrible soit-elle, a été travestie pour asseoir des puissances manipulatrices. Les millions de morts ne sont pas tant que ça, et les instruments de tortures légendaires, n'ont pas d'existence prouvée. Voilà qui est étrange? Si peu, en fin de compte. Juste une normalité dans la recherche historique, une démarche rationnelle qui contourne les lieux communs de la culture historique populaire.
Et puis de la lumière, je pense. Car le révisionnisme, c'est quand même un peu une bonne parole, non? Moi, je préfère la version des faits de ces gars, plutôt que celle que j'ai apprise dans les bouquins d'histoire. Vous comprenez, ça me rassure un peu, sur l'humanité en général. Savoir que le plus grand massacre de l'histoire des hommes, ou presque, n'est qu'un mythe populaire à vocation instrumentale.
C'est quand même plus cool, ça.
Savoir que le Génocide n'est pas d'une telle ampleur. Quelque part, ça me soulage. Et je dois bien remercier les révisionnistes pour cet apport historique, ce petit rétablissement intellectuel. Le siècle mourant me parait moins glauque, tout à coup. Bon, d'accord, il y a eu un paquet de mort, c'est pas bien, je sais. Mais pas tant que ça. C'était la guerre. Rien à voir avec la mystique agonie des juifs qu'on veut nous faire avaler. Je dis pas qu'une lumière blanche est venue me baigner quand j'ai découvert Garaudy et ses potes, c'était pas ce genre de chose, pas une illumination. N'empêche, ça ôte un poids.
Enfin, je dis ça, mais à la base, je m'en foutais un peu, de la guerre et des camps et tout ça. C'était pas trop mon problème. Si j'en rajoute, là, maintenant, c'est pour bien montrer que les plus à plaindre, c'est les exterminationnistes. Ces types-là, à force de vouloir combattre la religion morale d'Etat, ils sont devenus les défenseurs de l'immonde.
Ce sont les champions de la mort et des massacres. Ils sont tellement accrochés à leur version manipulée des faits, qu'ils ne se rendent pas compte de l'horreur de leurs positions intellectuelles. Leur pessimisme morbide, leur fixation glauque sur des événements monstrueux qui les fascinent. Et ils en rajoutent, et dans la surenchère, pas de problème. C'est à celui qui sera le plus navrant, le plus sombre, le plus terrible. Chacun lève le bras en hurlant les chiffres sacrés de l'extréminationnisme, des millions et des millions. Ils vocifèrent, ils tordent la bouche en hurlant les vérités officielles. Un spectacle rare.
C'est ça, surtout, qui m'a un peu chauffé les oreilles.
Le fait que l'optimisme humaniste des révisionnistes se heurte à une secte de fanatiques du Génocide qui vous jette des millions de morts chaque jour à la figure. Et ils prétendent défendre la cause des juifs? Et les juifs qui participent de ce délire mystique prétendent se battre au nom de l'honneur de leur peuple? Laissez-moi rire. Je ne savais pas qu'il était si important pour un peuple de savoir que ses parents ou grands-parents ont été massacrés avec allégresse. Je ne savais pas qu'il y avait une fierté intouchable dans le souvenir d'atrocités commises contre sa famille, et que la haine était si importante qu'il fallait la préserver à tout prix, générations après générations.
J'aurais honte, d'être exterminationniste. J'aurais honte de défendre l'horreur à n'importe quel prix. Mobiliser la morale et la répression d'Etat pour créer la surenchère d'une histoire dont la seule vocation est la culpabilisation.
Bien sûr, ils n'ont pas honte, eux. Ils savent bien qu'ils défendent une idéologie d'Etat, une pseudo-religion sectaire, c'est pratique. C'est porteur et ça fait vendre. Ces mecs auraient végété dans leurs petites recherches historiques ou intellectuelles navrantes s'ils n'avaient pas eu le révisionnisme à combattre. Ils seraient restés dans l'ombre, à l'écart des grands médias de masse, en bons serviteurs de l'ordre moral qu'ils sont. Les révisionnistes ont donné du boulot à ces mecs. Ils se sont trouvés une vocation, les grands prêtres. Ils célèbrent la messe noire de l'histoire, celle de la haine entre les peuples qui fonde les totalitarismes républicains, sionistes et tant d'autres dans le monde.
Ces gars-là, les exterminationnistes, sont les adorateurs de l'histoire du mal.
* * *

La croisade révisionniste

Le pire, je crois, c'est que les extérminationnistes sont bien contents, en fin de compte, que le Génocide ait eu lieu. Ils s'en frottent les mains, c'est un commerce lucratif, pour eux. Prenez un révisionniste, n'importe lequel, qui publie un bouquin sur le thème concerné. Pas de chance, ça ne rapporte pas. Son livre est censuré, rejeté, limité à une diffusion confidentielle. On est bien loin des succès des trucs écrits par les historiens du mensonge, qui sont diffusés avec pertes et fracas dans les librairies, les universités.
L'horreur fait vendre.
Elle leur remplit le porte-monnaie, à tous ces mecs qui se délectent devant l'ampleur des chiffres de l'holocauste qu'ils ont eux-mêmes inventés. Mieux encore, ils affichent avec sérénité une légitimité intellectuelle inébranlable. Ils critiquent les révisionnistes sur la méthode de travail elle-même. Ils n'ont donc que cela à se mettre sous la dent? Leur vision étriquée de l'histoire et de la recherche universitaire dans ce domaine devient chez eux une valeur universelle, un point de passage obligé. Eux, qui ne font que répéter à souhait les lieux communs de la morale officielle, eux qui se contentent de suivre les vents favorables de l'approbation médiatique et idéologique, ils se permettent de donner des leçons d'intégrité intellectuelle et historique à tout va. Et sans sourciller, là.
Et c'est vrai qu'eux aussi, ils cherchent. Leurs travaux sont pleins de ces preuves de la réalité du Génocide qu'ils veulent prouver. Et c'est une bonne chose. Car c'est un pas en avant pour le révisionnisme. Même ces mecs sont obligés aujourd'hui de prouver l'existence réelle du mythe de l'holocauste. Leur démarche n'en demeure pas moins morbide. Ils déterrent les morts, espérant chaque jour en découvrir un peu plus. Encore un et encore un, bientôt un petit million de plus à inventer au passage. Mais ce qui était autrefois l'objet d'une certitude mystique doit être à présent de nouveau prouvé. Bouffis de certitudes, ils pensaient leurs mythes inébranlables, leur petite secte lucrative éternelle.
Mais le doute s'est insinué, ici ou là. Et la morale qui faisait du révisionnisme une monstruosité intellectuelle n'a pas fonctionné à plein. Quand les lois du genre Gayssot ont été votées, tout le monde a bien senti qu'il y avait un vent de panique, dans l'air. Même au sein des exterminationnistes, certains ont senti le danger.
Car l'empressement républicain à rendre le révisionnisme illégal était bien le meilleur moyen de faire douter même les âmes les plus serviles.
J'exagère, mais presque.
Rendre le révisionnisme condamnable du point de vue juridique, c'était franchir un pas de plus vers l'officialisation de l'histoire. Et c'était ainsi aller à l'encontre des plus vieilles traditions de liberté de recherche et de pensée. La République défendait une secte avec ses propres armes administratives et pénales. Elle instaurait ainsi une inquisition que même l'église catholique, en d'autres temps, n'avaient su rendre aussi parfaite, c'est à dire aussi intimement liée au pouvoir d'Etat.
La théocratie, ou plutôt la sectocratie, qui en est une perversion.
Les lois contre le révisionnisme participent du même état d'esprit qui voudrait voir le Front National interdit en France. Même des historiens exterminationnistes ont été gênés. De la même façon que nos politologues renommés hésitent à prôner une interdiction du parti de Lepen. Ce serait en effet montrer la démocratie pour ce qu'elle est vraiment à savoir une vague idéologie totalitaire et exclusive de plus.
Gageons qu'une interdiction du FN soulèverait des vagues de mécontentement et de violences politiques que la République apeurée ne saurait pas capable d'endiguer. Dans le cas du révisionnisme, ça n'a pas fait tant de vague. Parce que ses défenseurs ne possèdent pas la force d'un parti politique de masse. Qu'importe, des tas de types se sont aperçus que l'on essayait de leur cacher quelque chose. La mise hors-la-loi du révisionnisme, c'est à dire d'une poignée de chercheurs qui n'avaient pas l'apparence des créatures maléfiques que l'on prétendait. Des gens se sont tout de même posés des questions. Moi, par exemple.
Des tas de questions.
Une minorité de types étaient mis au banc de la société. Leur travail devenait passible d'une sanction pénale et leurs livres étaient interdits. A l'époque, je n'étais pas forcément au fait de toutes ces choses, sur la République. Mais ça ne m'a pas empêché de tiquer. Pourquoi s'en prendre à une minorité? Pourquoi déclencher les foudres de l'Etat et de la morale sur quelques mecs isolés? Je ne comprenais pas trop, en fait. Si on les attaquait, c'était que leurs idées étaient gênantes, c'est à dire vraies.
C'est plus fort que moi, ce genre de choses.
Quand je vois une minorité persécutée par un Etat ou par une société, je ne peux pas m'empêcher de prendre fait et cause. Et là, c'était au peuple français tout entier que la République demandait de s'unir dans l'opprobre consensuel. Elle venait de créer une loi morale auquel nous devions tous adhérer sous peine de punition.
C'est comme les lois contre le racisme.
Ou alors, un peu comme ces organisations qui luttent contre l'antisémitisme. Des énormités. Moi, je n'aurais pas le droit de haïr qui je veux? Je n'aurais pas le droit de m'exprimer sur mon prochain, à moins que ce ne soit en termes doucereux, mièvres et gentillets? Cette affaire-là m'a vite tapé sur le système, vous savez.
D'autant plus que les révisionnistes ne s'en prenaient à personne en particulier. Au contraire, il soulageait l'âme humaine et l'histoire du siècle d'un grand poids. Ils n'insultaient personne, même pas les juifs, à moins que ces derniers n'aient retiré quelque complaisance masochiste du souvenir de leurs ancêtres massacrés. Ce à quoi je ne crois pas un seul instant, cela va de soi. Nous sommes entre gens civilisés. Mais alors mon problème restait le même. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi l'Etat s'en prenait aux révisionnistes.
Maintenant, de vous à moi, c'est évident, je sais.
Mais le plus important, c'est que d'autres comme moi ont sans aucun doute été effarés devant les mesures prises à l'encontre d'une minorité. Aujourd'hui, en ces temps heureux, on hurle au scandale international dés qu'une minorité ethnique est soumis à la répression d'un peuple ou d'une Nation. C'est normal, après tout, et dans le cas des intellectuels français, c'est un peu à la mode. Mais on parle moins des minorités intellectuelles. Et pendant que des gars font la queue en France pour obtenir la nationalité que l'on sait sous l'oeil attendri des fayots de l'oligarchie, des français comme on les aime se font piétiner dans la boue parce que leurs opinions divergent de la sainte morale exterminationniste.
Je ne peux la blâmer entièrement, si on y réfléchit bien, la République.
Sans sa petite mythologie étatique, elle perd du poids, elle maigrit, l'oligarchie. Fièrement, elle s'est consolidée sur le sang de victimes qu'elle a sans cesse voulu voir plus nombreuses à agoniser sous sa charpente. Crânement, elle s'est vautrée dans la mémoire de hurlement et de tortures innombrables. Il est normal qu'elle veuille aujourd'hui protéger ces flots d'atrocité qu'elle exalte dans son idéologie d'Etat.
A ce sujet, je me souviens d'un texte d'un gars nommé Frédéric Oriach. Je ne sais pas si ce nom vous dit quelque chose. Ce mec était un militant marxiste-léniniste favorable à la lutte armée dans le cadre européen, à savoir la guérilla menée par des groupes comme Action Directe en France, les Brigades Rouges en Italie ou la Rote Armee Fraktion en Allemagne, vous voyez de quoi je parle.
Pour lui, le système se maintient grâce à la légalité de contestation mise en place par l'Etat. La démocratie bourgeoise parvient à canaliser les revendications à l'aide de tas de petites concessions comme le droit de grève, les associations, les partis politiques, et qui e sont que des moyens d'éviter toute contestation réelle et efficace. Cette dernière, orientée par l'Etat qui en a défini le cadre légal, est ainsi rapidement étouffée et oubliée.
Dans l'édredon mou de la Démocratie bourgeoise, dit-il.
L'oligarchie, je traduis.
La solution est simple. Il faut provoquer et défier l'appareil répressif d'Etat. L'illusion démocratique, face à la violence politique, disparaîtra alors dans la répression. Les contradictions de l'oligarchie apparaîtront au grand jour quand elle sera forcée de radicaliser son attitude pour sauver le système qu'elle a créé. Face à la contestation violente en marge de la légalité, elle mettra en route son appareil répressif. Elle apparaîtra alors sous son vrai jour. Celui du totalitarisme, bien caché pour le moment.
Je demande pas aux révisionnistes de prendre les armes.
Néanmoins, le gars Oriach soulève un truc pas mal. En effet, le révisionnisme, de par sa contestation, est devenu intolérable à l'ordre moral et fasciste de la République. Celle-ci, habituée à digérer l'agitation sociale et intellectuelle dans ses propres institutions, n'était pas prête à affronter une remise en question plus profonde de son pouvoir et de l'appareil idéologique qu'elle avait mise en place. D'où les lois de censure et de condamnation pénale et morale du révisionnisme.
Mais cette loi rentre bien dans la stratégie énoncée par Oriach. Elle est la preuve que l'oligarchie sectaire de la République n'accepte aucune contestation réelle en son sein. Elle montre que l'appareil répressif ne met pas longtemps à resurgir au grand jour quand les fondements du système sont menacés. Présenté tel qu'il est vraiment, l'Etat perd de sa splendeur démocratique. Il montre son vrai visage, la répression totalitaire, abandonnant les contradictions que son discours sur les libertés et les droits de l'homme l'oblige à développer pour diriger la société attendrie.
La loi contre le révisionnisme est une autre bourde de l'oligarchie républicaine. Pire, elle porte atteinte à tous les autres régimes politiques qui se sont assis lourdement sur le souvenir du Génocide pour justifier leur totalitarisme ou leur néo-colonialisme. Elle rend suspecte toute référence à l'holocauste dans un but d'ordre moral et de justification politique. Elle sème le doute, en France, en Europe, en Israël et aux Etats-Unis, sur la légitimité du culte voué au souvenir des cadavres. Et c'est une loi de persécution quasi-religieuse.
Mais nous devons l'applaudir, la chanter et la louer.
Et la provoquer, pour qu'elle soit renforcée et que l'oligarchie s'enfonce encore plus dans la répression et prouve à ceux en qui le doute germe déjà que la pensée est aujourd'hui surveillée, en France. C'est quand tous comprendront que le pouvoir qui se planque derrière la démocratie est un système totalitaire et intolérant, que la façade s'effondrera. L'Etat totalitaire ne cherchera plus à se faire passer pour ce qu'il n'est pas. Il déploiera tout son arsenal pénal et repressif pour éliminer les dissidents au culte national des morts. Mais déjà, toute crédibilité l'aura quitté et les maigres illusions républicaines s'envoleront, une à une.
C'est une révolution, que provoquera le révisionnisme.
Les sanctions pénales prises contre le révisionnisme sont donc une bénédiction. Car elles provoquent des fissures dans l'idéologie rassurante de la République. Et plus ces sanctions tomberont, plus la République perdra en légitimité, et plus elle sera contestée.
Elle, et sa religion d'Etat odieuse.
Et si je devais répondre au mystique par le mystique, j'emploierai le terme de croisade révisionniste. Parce que la minorité intellectuelle frappée par la loi Gayssot-je-ne-sais-quoi s'en prend à une idéologie d'Etat, mais aussi à une mythologie. Et en cela, les révisionnistes ne se contentent pas de réviser l'histoire. Ils en font la rédemption.
Ils la pardonnent.


Maxime Pale





Les Chroniques de Maxime Pale

   1. La "démocratie" totalitaire

   2. Sur les bancs de la République

   3. Les mythes fondateurs...

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   6. La rafle de la mémoire

   7. L´"Holocauste": un commerce lucratif!

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   9. Honte et péché de la République française

  10. Qu'est-ce qui succédera au mensonge?

  11. Le révisionnisme face à la répression


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- David Ben-Gourion, premier ministre israélien, cité par Nahum Goldmann dans "Le Paradoxe Juif", page 121.


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